Manifestation contre le RSI (régime social des indépendants) : “On est en dictature socialiste !”

Lundi 27 avril 2015, des centaines de commerçants, artisans, entrepreneurs manifestaient contre le RSI (régime social des indépendants) à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) :

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9 Comments

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  • hermeneias , 28 avril 2015 @ 22 h 59 min

    La socialie n’a besoin que d’esclaves – clients assistés .

    Elle n’a pas besoin , elle ne veut pas , de personnes libres et indépendantes .

    La socialie ne tolère pas , ne supporte pas , la critique .

    Nous l’avons vu avec le petit commissaire valSS la petite frappe de mhollande , l’exécuteur des basses oeuvres de momhollande le petit tyrano aux airs bonnasses de fonctionnaire “normal”

  • Lorong , 29 avril 2015 @ 5 h 28 min

    Ils semblent tous ignorer que les organismes dont ils dénoncent le fonctionnement sont des boites….privées. Et oui, le RSI est géré par le privé.
    Et le TASS, c’est le…public.

    SI vous vous faites entuber par les URSAAF, c’est parce que les URSAAF sont des boites privées avec des employés qui touchent des commissions sur chaque euro récupéré.
    Ils vous envoient des chiffres délirant pour s’en mettre un maximum dans les poches. C’est ça une gestion par le privé. Faire pression par des “derniers avis avant poursuite” comportant des sommes hors de toute proportion c’est penser que certains vont payer. J’ai connu ça en tant qu’auto-entrepreneur.

    Il suffit de regarder la différence entre les services des impôts et les URSAAF pour voir la différence public-privé.

  • hermeneias , 29 avril 2015 @ 8 h 44 min

    Qu’ess ki dit le lorong ?

    L’URSSAF une boite “privée” ? Je ne sais pas mais si c’est une boite “privée” , elle est complètement au service du gros état impotent , obèse et omnipotent et prédateur pour récupérer du fric tous azimuth !

    Et qui fixe les règles ? Qui légifère pour décider de l’impôt et des “charges sociales” ? Et qui décide , en toute connaissance de cause , de sous-traiter le ramassage du fric ?

    Allez pauvre lorong retournez chez vos pauvres petits copains et pines étatistes avec leurs vieilles lunes qui n’ont rien compris et qui espèrent s’installer au pouvoir confortablement dans les fauteuils du vieil étatisme .

  • jeanaimarre , 29 avril 2015 @ 12 h 17 min

    Artisan d’art, je crève ! Pas par manque de travail; non; seulement parce que je suis spolié par l’Etat et ses hauts fonctionnaires.Le RSI est une branche de cette dictature; la pieuvre ( la mafia ) est au coeur de notre système.

  • César , 29 avril 2015 @ 13 h 00 min

    Le problème est qu’en France la concurrence entre organismes d’assurances sociales est interdite. Privé ou Étatique ces organisme se comportent comme des dictatures du simple fait qu’ils sont en situations de monopole. Ce genre d’économie aboutie immanquablement à ce qu’était celle de l’ex URSS. Très vite la corruption, le clientélisme devient roi.

  • Eschyle 49 , 29 avril 2015 @ 14 h 48 min

    Madame Agnès Verdier-Molinié , directrice de l’iFRAP, la Fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques , de par ses responsabilités , est l’une des personnes les mieux informées de France de la structure de l’État et de son administration ; aux termes d’un considérable travail de compilation, elle vient de publier un ouvrage « On va dans le mur » aux éditions Albin Michel , qui recense un nombre considérable de dépenses et de gaspillages résultant du dérèglement de la gestion de la République .

    Cependant, n’ayant aucune idée de l’économie privée, elle ne peut appréhender que le bilan d’une entreprise se compose de deux masses, à savoir, d’une part, l’actif (à quoi est employé l’argent), d’autre part, le passif (d’où vient l’argent).
    Si cet auteur est incollable quant à l’actif, en l’espèce, plutôt quant à l’inactif , en revanche, le passif échappe à son entendement : il se situe dans un univers parallèle dont elle ne peut pas soupçonner l’existence .

    Et quel est cet univers ? Celui des TPE (très petites entreprises) , inconnues des statistiques (hormis pour les écraser d’impôts, taxes et cotisations), c’est-à-dire les artisans, les agriculteurs, les petits commerçants et les professions libérales, tous assujettis au RSI (réseau social des indépendants) , soit un agrégat de 2 800 000 entreprises, dont 2 230 000 de moins de 10 salariés , d’une prodigieuse productivité , mais incapables de se développer : assistez à une audience du tribunal des affaires de sécurité sociale, vous comprendrez que Kafka , Courteline et Alfred Jarry sont battus à plate couture .

    Or, ce sont les impôts, taxes et contributions prélevées sur les TPE qui constituent le passif, à savoir l’origine de l’argent qui fait fonctionner la sphère publique. Quand le CAC 40 réalise, pour certaines entreprises, 90 % de son chiffre d’affaires à l’étranger , que 50, voire 75 % de son capital est détenu en mains étrangères , qu’il peut se livrer à toutes les optimisations fiscales possibles et imaginables, à l’inverse les TPE en prennent « plein la gueule ” : il n’est nullement exceptionnel que 90 % du chiffre d’affaires partent en prélèvements obligatoires, que les salariés les plus anciens soient mieux payés que le patron, celui-ci connaissant ce que l’on appelle « la semaine des 35 heures » en l’espèce la semaine des 35 heures de sommeil : extinction des feux à une heure du matin , lever à six heures du matin, et ceci, depuis la création d’entreprise jusqu’à la retraite, celle-ci payée au minimum vieillesse, appelé aujourd’hui allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) , à égalité avec les étrangers résidant en France au titre du regroupement familial et n’ayant jamais travaillé , donc n’ayant jamais cotisé.

    Or, le budget de l’État est de 408 milliards d’euros ; le budget de la sécurité sociale de 476 milliards d’euros, c’est-à-dire que le budget de la sécurité sociale est supérieur à celui de l’État. Or, qu’est-ce que la sécurité sociale ? Une organisation créée par une ordonnance du 4 octobre 1945 : je vous invite à vous référer exclusivement au texte originel : il dit ceci : « Il est créé des CPAM , des CRAM , des CAF , et autant d’organismes qu’il sera besoin », organismes qui seront les futurs CANCAVA, MSA, RSI, URSSAF, etc.
    En dessous, le même texte ajoute systématiquement : « ces organismes sont constitués et fonctionnent selon la loi du 1er avril 1898, relative aux sociétés de secours mutuels », c’est-à-dire la charte de la mutualité, décalquée des lois sociales bismarckiennes . En clair, depuis 1945, tous les organismes de sécurité sociale, sans exception aucune, sont des mutuelles de droit français ; depuis 2003 , ils sont des mutuelles de droit communautaire européen. Or, relisez l’arrêt rendu le 23 mars 2015 par la Cour d’appel de Limoges, chambre sociale, dans l’affaire MANTRANT C/ RSI : sur six pages , le juge récite le
    ” manuel du politiquement correct ” , sans répondre aux conclusions dont il était saisi . Et pour cause : la caisse régionale de RSI n’avait, ni statuts (enfin, une espèce de bouillie pour les chats), ni dénomination sociale , ni forme sociale, ni siège social, ni représentant légal : en clair, cette caisse n’a pas d’existence légale.
    Et il en est ainsi pour tous les organismes de sécurité sociale, sans exception. En d’autres termes, aujourd’hui, en France, on gère un budget supérieur à celui de l’État sur du vide .

    Demain, si Mr MANTRANT le souhaite, il crée à Tallin (Estonie) une caisse de sécurité sociale , il satisfait aux formalités prescrites par les directives communautaires, il fait enregistrer sa caisse dans les 28 pays de l’Union et, à partir de là, il fédère les 2 800 000 entreprises aujourd’hui assujetties au RSI . Il n’a besoin de demander l’autorisation de quiconque, c’est automatique et imparable . Inutile de décrire les conséquences pour le Ministère de la Santé, les syndicats ouvriers siégeant aux divers conseils d’administration, l’accès aux comptes verrouillés depuis 1945, sans préjudice de ce que, les mutuelles étant, selon l’expression de Sophie Coignard, « le paradis des frères », il y aura nécessairement divulgation de l’identité des 300 000 francs-maçons , dont 175 000 actifs , pour reprendre le titre de son ouvrage : « un État dans l’État ».

  • penelope , 29 avril 2015 @ 16 h 21 min

    comment se fait-il que la cavicorg es été remplacé par me RSI,elle paie et mal et de plus n’envoie jamais au fisc le total des versements ,cela oblige à l’ajouter afin d’être en règle,on peut leur écrire où téléphoner ils s’en fiche,il continue comme si de rien n’était ;pourquoi le fisc ne réclame pas,sont-ils intouchables où au contraire trop près des hautes instances du pays?

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