Saint-Étienne-du-Rouvray : “un ratage collectif” de la justice

Comment un homme repéré par les services antiterroristes, fiché S et incarcéré, a-t-il pu être remis en liberté avec un bracelet électronique, ce qui lui a ensuite permis d’égorger un prêtre catholique dans une église de France ? Quelques éléments de réponse avec le journaliste Clément Weill-Reynal dans le 12/13 de France 3 :

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10 Comments

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  • Boutté , 28 juillet 2016 @ 21 h 02 min

    Il y en a une qui jubile en ce moment où elle échappe à toute responsabilité parce qu’elle a mis en place une Magistrature telle qu’elle ne sera jamais jugée coupable

  • Vent d'Est, Vent d'Ouest , 29 juillet 2016 @ 18 h 34 min

    Je connaissais quelqu’un dans mon entourage qui avait fait de la prison. Il m’affirmait qu’entre repris de justice ils se passent des ficelles pour tromper le psychologue évaluateur et le juge, un peu comme dans la série américaine “Mentalist”, mais en inversant les rôles. Pour info, c’est une pratique courante, toujours d’actualité, qui date bien avant la création de cette fameuse série.

    Ceci étant, et contre l’avis du Parquet, remettre en liberté un fiché “S” dont la volonté d’aller en Syrie deux fois de suite me sidèrera toujours… Une première volonté aurait largement suffi à rendre méfiant, alors deux, et ce malgré ses propos de repentir. Je dis ça ou rien…

  • Guarani , 31 juillet 2016 @ 21 h 24 min

    Je ne vois pas où il y ratage! Ces braves petits tueurs, égorgeurs,écraseurs,selon la méthode utilisée, réalisent parfaitement leurs desseins:”tuer au nom d’Allah le miséricordieux”. Ils utilisent tous les moyens et artifices mis à leur disposition par nos sociétés gérées par des lois ineptes, genre “Gayssot-Pleyben”, sachant que le bon citoyen ne peut lever le petit doigt sans que les forces de police, gendarmerie, armée, ne lui tombent dessus pour faire respecter la loi, qui n’ait faite que pour le citoyen “lambda”, les malfrats ne la respectant pas par définition.

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