Ouverture du débat sur le «mariage» homosexuel : Premier couac de Christiane Taubira

Alors que le débat parlementaire sur le « mariage » homosexuel débute aujourd’hui, Christiane Taubira a déjà fait un mécontent en la personne de Patrick Cohen. Le journaliste qui devait recevoir le ministre, dans sa matinale de mardi sur France Inter, n’a pas apprécié que le ministre de la Justice annule sa participation à l’émission à la dernière minute et l’a fait savoir à l’antenne.

« Nous avions pris rendez-vous de longue date ce matin avec celle qui va porter le projet de mariage homosexuel aujourd’hui à l’Assemblée, Christiane Taubira laquelle a hier soir annulé sa venue pour, nous a-t-on dit, mieux préparer le débat parlementaire. Ce qui est son droit », a déclaré l’animateur avant de lancer une pique à l’endroit du Garde des Sceaux : « Comme vous savez, un ministre a tous les droits y compris de ne pas tenir ses engagements. Reste pour le gouvernement à espérer que le débat sera conduit avec un peu moins de désinvolture que l’emploi du temps de sa ministre. »

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18 Comments

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  • Lach-Comte , 30 janvier 2013 @ 10 h 50 min

    Pardon, mais entre une gueuse et une autre, mon coeur ne balance pas …

  • Lach-Comte , 30 janvier 2013 @ 10 h 55 min

    Entre nous, que ce Patrick Cohen, “journaliste” de radio prompt, comme tous les autres journalistes, à faire l’article pour ce mariage avec celle qui l’a conçu, soit “scandalisé” par la légèreté de la dame, me laisse totalement froid…Cela aura évité qu’il lui donne la parole et qu’ils se mettent à deux pour en faire la promotion.

  • Alienor , 31 janvier 2013 @ 10 h 20 min

    Absolument vrai ! Vive le totalitarisme du parti ! Il n’y a pas pire totalitarisme que celui qui s’exerce sous couvert de liberté !

  • Le Soumonau , 31 janvier 2013 @ 10 h 21 min

    Avec sa pique contre Mme Taubira, Patrick Cohen s’est donné, à bon compte, un statut de chroniquer impartial et équitable.
    Il est assez intelligent pour avoir vite compris qu il y avait une belle occasion à ne pas rater;

    Il peut maintenant reprendre ses attitudes complaisantes et ses flagorneries envers les potes et les copains de la gauche bien pensante, comme 80 pour cent des journaleux propangandistes de France Inter.

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