Au Salon de l’agriculture, échange tendu entre Manuel Valls et un agriculteur

Eric Martin
29 février 2016
Latest Update: 29 février 2016 9 h 43 min
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“Et les résultats, M. Valls ?” Accueilli dans le calme au Salon de l’agriculture 2016, Manuel Valls a eu plusieurs échanges tendus avec des agriculteurs dont l’un a exprimé son agacement face aux visites médiatiques des politiques dans les allées du Salon. “Si on ne vient pas, on est des trouillards, et si on vient on se pavane?”, a répondu sèchement le Premier ministre, soulignant que “cela ne fait pas avancer le schmilblick” :

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anastasy , 29 février 2016 @ 12 h 26 min
et alors, on n’a plus de goudron et de plumes pour l’accueil ?

ça aurait de la gueule pourtant !
lili , 29 février 2016 @ 12 h 47 min
Paroles paroles paroles !!!paroles paroles paroles !! toujours des paroles ,rien que des paroles
von reisner , 29 février 2016 @ 13 h 02 min
“Nous le ferons…” (dixit Valls)
Quand les agriculteurs seront mortes ?
von reisner , 29 février 2016 @ 13 h 02 min
“Nous le ferons…” (dixit Valls)
Quand les agriculteurs seront morts ?
rudi , 29 février 2016 @ 13 h 20 min
«Chacun doit assumer ses responsabilités»
c”st vrai , et la vraie responsabilité revient aux français qui ont permis l’élection de ces incapables, ceux-ci et ceux d’avant et ça dure depuis 1981 !
jmarie , 29 février 2016 @ 13 h 52 min
Il me semble évident qu’espérer voir l’agro-alimentaire et la grande distribution mieux rémunérer le producteur sans hausser les prix, c’est à dire en bouffant un peu leurs marges, faut pas trop espérer sans, soit leur coller des règlementations supplémentaires (restrictives), soit compenser le manque à gagner qu’ils seront prompts à dénoncer.

Frapper où çà fait mal (pas forcément au 9mm…) quelques trop riches pour les faire réfléchir, peut-être? Je ne crois pas trop à ce genre de pressions, ces “trop riches” participant beaucoup ou beaucoup à leurs campagnes électorales, moyennant quelques services aux frais de la princesse… JMD
jmarie , 29 février 2016 @ 14 h 01 min
Et le danseur de claquettes se permet encore d’être agacé par l’énervement de ces gens qu’il réduit tranquillement à disparaître…

Ce qu’il prétend être “avoir des couilles” en venant au salon relève soit de la provocation, soit de la totale déconnection des réalités de ce singe pas savant… “Béééh, le chef il a dit que le chômage avait significativement baissé, c’est que tout va bien en france, gueueueueuehhh…”
(je n’ai pas repéré l’assistant qui lui essuie la bave aux lèvres…) JMD