Mohamed est le prénom masculin le plus fréquent à Oslo : l’équivalent norvégien de l’INSEE juge la nouvelle “très excitante”

Statistics Norway (Statistisk Sentralbyrå – SSB) a compté la population d’Oslo et a constaté que Mohammed est le prénom masculin le plus fréquent à Oslo pour la première fois.

Jørgen Ouren du SSB a déclaré que : « C’est très excitant. »

Source : Thelocal.no via FDesouche.

Related Articles

22 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • Caractacusa , 1 septembre 2014 @ 4 h 21 min

    @Scaletrans..Au début , Mohamed ne pouvait pas se déclarer anti-chrétien, puisque Jannaba Khadija bint Khouwairi, la femme trois fois veuve, richissime en chameaux et autres biens, plus âgée que lui de 19 ans, et qui lui avait mis le pied à l’étrier dans son tour de passe-passe pseudo-religieux, était chrétienne. D’où la fumisterie coranique de reconnaître la naissance miraculeuse de Jésus par l’œuvre du Saint Esprit, mais, à la manière musulmane, c’est à dire qu’il serait descendu d’un palmier tel un fruit, après l’annonce de l’Archange Gabriel, dans le ventre de Marie. Vous avez dit l’Archange Gabriel? Bien sûr que Khadija la chrétienne nestorienne en avait entendu parler! Et comme elle se lamentait sans cesse du fait que les juifs et les hindous qui vivaient, nombreux, en Arabie avaient , contrairement aux arabes de souche, leurs prophètes…. “J’ai tout”, disait-elle. “De l’argent, du pouvoir. J’aimerais bien que nous aussi, les arabes, ayons notre grand prophète. Les hindous vont chaque année se faire purifier à Bénarès, dans les eaux du Gange. (Mohamed copiera cela plus tard pour la Mecque).Les juifs se rendent à Jérusalem et vers les autres lieux saints d’Israël. Pour nous, rien d’autres que des divinités païennes, au nombre de 360…”
    Aussitôt dit, aussitôt fait. Son cousin Warraqa bin Khouwairi, lui aussi chrétien nestorien et qui avait fait une virée vers le judaïsme, tout en se demandant s’il n’allait pas tâter de l’hindouisme, trouva l’idée géniale. Ayant repéré, dans le personnel de sa cousine, un jeune chamelier, pas tout à fait analphabète, mais épileptique et qui dans son enfance adorait aller s’asseoir sur les marches de leur église de quartier, un peu pour mendier, mais aussi pour écouter les chants qui s’en échappaient, il le lui signala. Khadija le nomma aussitôt chef comptable et l’épousa. Car en Arabie préislamique, les femmes riches et de caractère étaient libres comme le vent. L’épilepsie tombait à pic. En ces temps-là comme pendant les siècles à venir, les crises d’épilepsie était associées au commerce des esprits, bons ou mauvais. Or, Khadija avait dans sa propriété, une grotte appelée Hira. Quand son cher mari était la proie des convulsions, elle le consignait dans ladite grotte, non sans avoir posté une de ses servantes-esclaves les plus fidèles devant l’accès, afin que nul parmi ses autres employés ne le vît inondé de bave et autres sécrétions. Une fois sorti de là, Mohamed racontait avoir rencontré des démons, des “djinns”, qu’il en avait compté soixante-mille, que certains d’entre eux étaient gentils et d’autres pas, et que leur commandant-en-chef s’appelait Dajjal. Ce à quoi, Khadija agacée, répondait: “Non, tu dois dire que c’était l’Archange Gabriel!” “L’archange qui?” “Gabriel, sinon on va se moquer de toi!”
    Mohamed finit par entrer dans le jeu, alors que la servante mille fois interrogée, fouettée et secouée, persista à dire qu’elle n’avait jamais vu aucun ange auprès de Mohamed et qu’elle avait même une fois aperçu auprès de lui quelque chose de noir et terrifiant. On la fit disparaître.
    Les hadiths, pas seulement ceux de Bukhari, relatent abondamment la controverse. En tout cas, Khadija, tout en étant mariée à Mohamed , attendit très longtemps avant que de se convertir dans la nouvelle “religion” qui, selon moi, eût dû s’appeler “Khadijisme”.
    Une fois ragaillardi, Mohamed ne s’embarrassa plus de distinguer entre les gentils chrétiens et les juifs. Tous des “Infidèles”, des mécréants”, appelés, je cite “à finir dans les feux de l’enfer.”
    Enfin pour en revenir à la stratégie démographique de l’islam, les arabes ne purent jamais rattraper les indiens en termes de reproduction. “Rien ne sert de courir, il faut partir à point.”, dit le fabuliste. Les seules régions de l’Inde où les musulmans se multiplièrent jusqu’à atteindre, non pas la majorité, mais un pourcentage pouvant leur permettre de démontrer leur capacité de nuisance, furent celles dont ils héritèrent après la sanglante partition de 1947: Bangladesh et Pakistan. Bon débarras!
    En Chine, les 95% de Han n’avaient rien à craindre des autres minorités, encore moins des Ouïghours, descendants d’immigrés turkmènes. Mais la loi de l’enfant unique vint à point nommé pour stopper net leur désirs de jouer à l’ultra-fécondité avec leur polygamie savamment dissimulée (comme dans les banlieues parisiennes, dis!) Cette année, le gouvernement interdit dans toute la région du Xinjian, la leur, non seulement le port de barbes islamiques, calottes et autres caftans, mais aussi toute manifestation publique liée au Ramadan. Pendant ce temps, Anne Hidalgo, l’hispano-musulmane de Cadix, ornait la façade de l’Hôtel de Ville de Paris avec la banderole que l’on sait.
    Ailleurs, Staline, sentant venir le même danger chez les Tatars de Crimée ( eux aussi musulmans et turkoïdes), n’hésita guère à les déporter et disperser à travers l’URSS.
    Peut-être qu’un jour, en Occident, quelque dictateur intrépide décrétera la stérilisation des musulmanes. Si nous devions en arriver là…Facile! A travers les graines de semoule ou les merguez par exemple, ou des burqas imbibées de je ne sais quoi. Comme pour les pigeons, quoi…

Comments are closed.