“L’art autoroutier” ne convainc pas les automobilistes

Eric Martin
29 août 2016
Latest Update: 29 août 2016 9 h 28 min
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Les 70 “oeuvres” d’art officiel comptant pour rien qui jalonnent les 9 000 km du réseau autoroutier français laissent les automobilistes un peu perplexes. “On comprend, on ne comprend pas, ça dépend. Personnellement, je ne mettrais pas ça chez moi”, assure un homme interrogé par France 2 :

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borphi , 29 août 2016 @ 10 h 00 min
Pourquoi pas ! Dans la mesure où ce sont les concessionnaires autoroutiers qui les financent.
Ce qui est foncièrement choquant et scandaleux , ce sont des réalisations soit disant artistiques disposées temporairement ou définitivement dans des lieux publics et financées par les contribuables.
Alors que ces pouvoirs publics phagocitent 57% du produit intérieur brut et que des entrepreneurs ainsi que des particuliers doivent se déclarer en faillite parce qu’ils n’arrivent plus à payer ce que le trésor public leur réclame.
yves Tarantik , 29 août 2016 @ 10 h 56 min
C’est du mauvais fourrage pour les bovins que nous sommes dans l’esprit des ces “géniaux” créateurs.
“Ce qui sépare l’art contemporain de l’art au sens historique du terme est que ce dernier relève d’une économie du don et non pas d’une économie spéculative et marchande” (François Dérivery)
Droal , 29 août 2016 @ 16 h 11 min
C’est de l’art comme François est Président ou Pape.

Cela correspond à la célèbre et inconnue injonction de Luce Iferre:

” EN AVANT VERS RIEN!”
COUTAND , 29 août 2016 @ 22 h 59 min
L’art autoroutier ne convainc pas les automobilistes, parce que les automobilistes ont d’autres priorités à financer !
AURORE ANGELIQUE , 30 août 2016 @ 8 h 20 min
En général c’est plutôt moche …et on a autre chose à foutre qu’à regarder .. ces soi disants oeuvres.(les radars par exemple)
Pierre , 30 août 2016 @ 15 h 28 min
Peut être pour tenter de nous faire passer la pilule des autoroutes privées construites avec l’argent des français ? Ce n’est pas gagné surtout que si l’on veut s’extasier sur ces “oeuvres” on risque l’accident.