États-Unis : “Autant en emporte le vent” censuré sous la pression du lobby antiraciste

raconte LaPresse.ca :

Depuis 34 ans, le cinéma Orpheum de Memphis, au Tennessee, présente chaque année le film Gone with the Wind dans sa programmation de classiques.

Les récents événements de Charlottesville, en Virgine, ont toutefois fait que les propriétaires ont décidé d’annuler cette projection l’an prochain, après avoir reçu des plaintes, rapporte le New York Times.

Réalisé en 1939, le film a été récompensé de 10 Oscars à l’époque, dont celui remis à Hattie McDaniel, qui représente le premier prix d’interprétation remis à une actrice noire. Or, beaucoup considèrent que Gone with the Wind offre une vision trop romantique du Sud américain ainsi qu’un portrait stéréotypé des Noirs.

« Comme organisation qui a pour mission de divertir, d’éduquer et d’éclairer les communautés, l’Orpheum ne peut présenter un film qui est insensible à un grand segment de la population », a expliqué le propriétaire du cinéma dans un communiqué. Bien sûr, cette décision déplaît aussi à des spectateurs qui estiment qu’elle insulte tous les artisans de ce classique…

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8 Comments

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  • Marguerite , 30 août 2017 @ 8 h 13 min

    Ce chef-d’oeuvre littéraire et cinématographique ? Une honte ! Car il reflète ce que fut l’Histoire de l’époque ! Ce n’est pas en vociférant et en détruisant les statues, les films et autres que l’on effacera l’HISTOIRE !
    L’HISTOIRE est là, sera toujours là … Il faut faire avec ses pages glorieuses et ses pages sombres : tous pays en a !!!!!!!! On les assume et on essaie de ne pas refaire les mêmes erreurs.
    Tous ces refaiseurs d’Histoire : qu’ils aillent se coucher ! L’HISTOIRE ne peut s’effacer d’un coup de baguette magique !

  • Jean NOGUES , 30 août 2017 @ 9 h 32 min

    Dans votre message, J’accroche sur le passage:

    DEBUT PASSAGE

    Il faut faire avec ses pages glorieuses et ses pages sombres : tous pays en a !!!!!!!! On les assume et on essaie de ne pas refaire les mêmes erreurs.

    FIN PASSAGE

    Car il sou)entend que le film évoquerait des pages sombres de l’histoire des USA.
    En plus vous enfoncez le clou avec la fin :

    ” On essaie de ne pas refaire les mêmes erreurs”

    Donc à votre insu, vous véhiculez de la culpabilisation blanche à partir du passé.

    Et votre seule ”défense” contre cette culpabilisation, c’est de vous retrancher derrière les nécessités de l’HISTOIRE.

    Autrement dit, votre message est une sorte de soumission à la pensée antiraciste qui est en train d’assassiner le monde blanc.

    Le mot ”antiraciste” est en réalité, dans la pensée non-dire de ceux qui l’emploient pour interdire tout débat, un synonyme exact de ”antiblanc”.

    Les accusations de racisme, sous-entendues ou clairement explicites, s’adressent dans 99,99999999999999999999 % des cas, exclusivement à des personnes du onde blanc. Aimer la totalité de ce film inoubliable avec Clark Gable vous classe dans les racistes. Mais assassiner en réunion une jeune femme blanche par un viol collectif par une vingtaine de violeurs de tous âges, ça n’entraîne JAMAIS aucune accusation de racisme.

    En résumé, votre message est un témoignage de soumission subliminale particulièrement perverse à l’idéologie antiraciste, ce cancer du 21 ième siècle, cette forme atuelle des indéracinables idéologies marxistes.

  • Marguerite , 30 août 2017 @ 10 h 20 min

    Monsieur Jean Nogues : je ne m’identifie absolument pas à tous vos propos !
    Quand je parle de l’HISTOIRE, c’est en général et au cours des siècles et des millénaires et non pas au sujet exclusif évoqué par ce film.
    Je ne suis absolument pas raciste ni anti- tout ce qu’on veut ! Je suis une paisible arrière-grand-mère dans ma campagne tarnaise …

  • Jean NOGUES , 30 août 2017 @ 16 h 27 min

    Eh bien perso j’aime ce film sans complexes tel qu’il est sans me pose de questions. Ceux qui se posent des questions sont toujours les mêmes, et posent toujours les mêmes questions, c’est-à-dire dans le sens antiblanc, qu’il camouflent sous le mot ”racisme”.

    Jamais il ne me serait venu à l’idée d’utiliser ce film pour me lancer dans de grandes considérations sociales, comme par hasard toujours orientées dans le même sens et par les mêmes personnes, des marxistes.

    Si on tenter dans ces petits jeux-là, on n’ose plus bouger car rien n’est plus sûr, ce qu’on encense aujourd’hui risque de vous amener au bûcher trente ans après, même si ce que vous acier adoré, vous l’avez adoré sur l’ordre des puissants du moment.

    Et encore, même en se taisant constamment, dans des régimes dictatoriaux, on n’est mêe plus sûr d’avoir la paix ! il faut quand même avoir l’esprit tordu pour emmerder les gens avec des films qui ont enchanté les spectateurs d’il y a presque 80 ans ! qu’est-ce qu’on veut à la fin ? nous empêcher de lire ? de s’instruire, d’avoir notre petite opinion bien à soi ?

    Si quelqu’un me demande mon avis sur quoi que ce soit, il ne me restera plus qu’à répondre : ”que dois-je vous répondre pour vous être agréable s’il vous plaît ? e vous promets de vous le répondre à la virgule près, là, tenez (je lui tends un carnet) écrives-le moi là, ce que je dois vous répondre !

    On peut aller loin si l’on admet qu’on a commis des erreurs pour tout et n’importe quoi ! mon épouse, Alsacienne, n’avait pas le doits e parler français chez elle en 1944, sous peine d’être dénoncée aux autorités allemandes de l’époque. Alors dois-je redouter, si je vis assez pour voir ça, qu’un jour je me fasse interdire de parler français ici où je pense encore êtres chez moi, encore que si je défile derrière la pancarte ”on est chez nous”, je risque de me faire condamner pour racisme, comme NDF le sait très bien.

    Face à toutes ces folies, perso je préfère vivre dans un pais fier de lui, de ce qu’il est, capable de faire respecter cette fierté par les armes s’il le faut contre ceux qu’elle dérange. Qu’on se le dise, et le plus simple c’est de déclare, tan que j’en ai le droit, que le film en causse est un beau film bien interprété avec des acteurs irréprochables, qui retrace fidèlement l’Amérique de l’époque et lui basta. Pas besoin de dire qu’au nom de l’Histoire, on doit respecter ce film ”malgré des erreurs de ‘l’époque que nous devons assumer”. Moi jen’nai rien à assume, d’ailleurs à l’époque en question, je n’étatisa pas né, alors zut, flîute et zut. Rien ne me prouve que vous êtes une grand-mère das le Tarn, je peux vous rétorquer que je suis un lointain cousin de de Gaukke ou de qui vous voudrez et qu’aun nom de ça, je suis un vrai démocrate. Je ‘n’ai pour le moment aucun compte à rendre à personne sur les ”erreurs du passé”, je n’y suis pour rien, vu ?

    Si on commence par là

    Si on

  • Daniel PIGNARD , 30 août 2017 @ 17 h 50 min

    Les serviteurs qui deviennent les maîtres sont les pires choses pour la terre.
    « L’insensé sera l’esclave de l’homme sage. » (Pro 11 :29)
    « Il ne sied pas à un insensé de vivre dans les délices ; Combien moins à un esclave de dominer sur des princes. » (Prov 19 :10)
    « Trois choses font trembler la terre, Il en est quatre qu’elle ne peut supporter : Un esclave qui vient à régner, Un insensé qui est rassasié de pain, Une femme dédaignée qui se marie, Et une servante qui hérite de sa maîtresse. » (Prov 30 :21-23)

  • Marguerite , 30 août 2017 @ 21 h 40 min

    Monsieur Nogues, votre analyse va bien loin de ma petite réflexion ! Je voulais seulement faire ressortir qu’il est tendance de “revisiter” l’Histoire, de quelque pays que ce soit, pour “l’arranger” à la sauce des pensées modernes. Laissons l’Histoire aux vrais historiens qui nous en racontent les grandeurs et aussi les faiblesses.
    J’aime beaucoup le film en question : l’esclavage existait à époque et cela nous fait connaître justement cet épisode douloureux de l’Histoire de l’Amérique … Sans les films comment saurions-nous ? Où je m’insurge c’est lorsque les pseudo-historiens refont l’Histoire selon leurs pensées politiques du jour …
    Si, je suis une mère de 7 enfants, une grand-mère de 12 petits-enfants et une arrière-grand-mère de 3 petits et demi … J’étais mère au foyer et n’en ai pas honte ! bien au contraire : c’est le plus beau métier du monde. Me suis toujours intéressée particulièrement à l’Histoire et son déclin a commencé quand un esprit illuminé a fait enlever le H majuscule.
    bonne nuit réparatrice !

  • Olivier84 , 31 août 2017 @ 9 h 03 min

    @ Marguerite : ” L’HISTOIRE ne peut s’effacer d’un coup de baguette magique !” ?
    En préalable sachez que je suis de tout cœur avec vous pour la préservation de l’Histoire mais là vous rêvez ! Que vous le vouliez ou pas, que nous le voulions ou pas, l’histoire s’effacera bel et bien sous les coups de ces traitres décivilisationneurs tout simplement parce qu’elle ne sera plus enseignée ! Vous avez jeté un œil sur les livres d’histoire d’aujourd’hui ? Plus rien de comparable avec ce que nous avons connu, moi j’appelle ces livres des livres de morale et de repentance. Aujourd’hui on enlève les signes visibles et demain on n’en parle plus. Rien de plus simple malheureusement

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