Rencontre avec ces femmes qui ont avorté et que le ministère de la Santé voulait instrumentaliser

Le ministère de la Santé, sous l’égide de Marisol Touraine, avait lancé, quarante ans après la loi Veil, en septembre 2015, une campagne pour le droit à l’avortement : “L’IVG, c’est mon droit.” Six mois après, Charlotte d’Ornellas a enquêté auprès de jeunes femmes qui ont connu cette douloureuse épreuve et que les services du ministère avaient, pour certaines, contactées en vue de témoigner. Mais, finalement, le ministère s’était ravisé : ces jeunes femmes n’étaient pas dans la (gauche) ligne du ministère. Un reportage et des témoignages bouleversants :

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4 Comments

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  • Isaïe , 30 septembre 2016 @ 9 h 12 min

    Je viens d’écouter ce reportage et ces témoignages. Cela ne fait que confirmer ce que j’ai compris depuis de nombreuses années: la femme qui avorte tue son enfant. Mais, en tant que chrétien, il m’a été donné d’aider sur le plan spirituel, au Nom de Jésus-Christ, des femmes qui ont avorté. Celles-ci ont été guéries et délivrées du mal-être de ce meurtre légalisé par Simone Weil. Ainsi je leur demande de demander pardon à Dieu, au nom de Jésus-Christ d’avoir tué leur enfant, puis je leur demande de demander au Christ Jésus de présenter leur demande De pardon à l’enfant qu’elles ont tué. En fin je demande à Dieu de leur pardonner dans le nom du Christ Jésus. Maintenant, pour cela il est indispensable que la femme croit et ait confiance dans le salut et le pardon que Dieu offre par le sacrifice de son fils bien aimé. J’ai vu les femmes que j’ai aidé retrouver la paix. Bien sur, il est indispensable que ces femme changent certains points de leur manière de vivre et qu’elles se mettent en conformité de vie avec les enseignements de la Bible. Ce sont les Eglises évangéliques qui ont, dans l’ensemble, le meilleur enseignement sur ce plan.

  • Babouchka , 30 septembre 2016 @ 10 h 14 min

    On ne le dira jamais assez, l’avortement est une violence faite aux femmes.
    L’acte “médical” pour la plupart des femmes reste violent car c’est une vie qu’on arrache.
    Le professeur Nissan est clair sur le sujet.
    Libération d’un moment mais très souvent culpabilité à vie…
    Je me rappelle les confessions éplorées d’une grand-mère qui avait subi dans les années 1920, 1930 pour “raison économique” six avortements autorisés à l’hôpital de Budapest. 60 ans plus tard elle en parlait les larmes aux yeux tenaillée par sa culpabilité.

  • Christian , 30 septembre 2016 @ 17 h 43 min

    Afin que les femmes prennent leur décision en toute liberté face à la grossesse imprévue, le corps médical est formé pour désamorcer toute sentiment de culpabilité face au choix d’avorter. Du coup, les intervenants font pression en faveur de l’avortement pour ne pas donner l’impression de le condamner. C’est un système pervers.

  • eric-p , 1 octobre 2016 @ 18 h 57 min

    Tiens ?
    On a un ministre de la santé qui fait la promotion du …tatouage
    (responsable de plusieurs milliers d’infections/contaminations chaque année sans parler des conséquences sur le plan professionnel )!!!

    Qu’est -ce- que ce sera la prochaine fois ?
    À quand un ministre avec un piercing dans le nez pour sensibiliser les Français au problème
    des mauvaises odeurs ???

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