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Les clandestins ne sont pas tous installés en province… il y en a beaucoup qui préfèrent la capitale comme en témoigne ce grand camp près des métros Jaurès et Stalingrad, déjà démantelé une trentaine de fois… Ils seraient trois milles, impossible de vraiment les compter tant ils sont nombreux et les arrivées incessantes. Les nuisances se diversifient et se multiplient, les riverains n’en peuvent plus et nul entend leur doléances…
La voirie nettoie plusieurs fois par jour, dépose des conteneurs qui restent vides, ces chances pour la France préférant tout jeter sur le sol et pas que…
Les commerces aussi en pâtissent. Les restaurants accusent une très importante baisse de leur chiffre d’affaires car les clients refusent désormais de traverser les boulevards adjacents, etc.
Le laboratoire de biologie médicale à proximité connait des difficultés similaires. Les patients n’osent plus s’y rendre, redoutant des cas de tuberculose, de typhoïde, d’amibes… Les personnes âgées ou les patients en chimiothérapie, dont les défenses immunitaires sont très affaiblies, se trouvent en difficulté.
Soutenus par des associations qui leur donnent des tentes Quechua et les nourrissent trois fois par jour, il n’est pas surprenant que les migrants affluent. Et quand des riverains excédés expliquent aux associations combien ça leur rend la vie impossible, il leur est répondu qu’eux au moins, ils ont un toit sur la tête.
Tout étant dû aux “migrants-réfugiés de guerre” et aux associations dédiées, tout laisse à croire que la situation va empirer.
Et pendant ce temps là, édulcorant la réalité, Cazeneuve et la maire Hidalgo font semblant de ne rien voir, ne rien savoir… et promettent…
