Suspension du visa de “Nymphomaniac – volume 1 », en ce qu’il n’interdit pas le film aux moins de 16 ans, mardi en référé par le tribunal administratif de Paris

qui avait été saisi par l’association “Promouvoir”. L’ordonnance peut être consultée ici. À la demande de la même association, le volume 2 de Nymphomaniac passe en référé le 4 février prochain.

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31 Comments

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  • bribrilanarchistededroite , 31 janvier 2014 @ 19 h 05 min

    C’est vrai, sa mère était pas spécialement belle et son père était moche, elle a hérité de son père, ce n’est qu’un vulgaire film de cul, donc il doit être interdit au moins de 18 ans

  • Synok , 31 janvier 2014 @ 21 h 07 min

    @MONHUGO ?
    je ne fais qu’appliquer à ma façon la théorie du genre … ironiquement s’entend … sans trop tendre tout de même , la corde va casser !
    sinon que pensez-vous des autres fôtes ? sinon que pensez-vous du fond si l’on peut s’exprimer ainsi en pareille circonstance ?

  • monhugo , 1 février 2014 @ 0 h 18 min

    @Synok. “monhugo”, merci. Les majuscules veulent dire que l’on crie, sur le net.
    Je ne crie pas pour ma part.
    Je vous répondais, au moins pour partie – et informais, en général. On ne sait jamais – il y a des gens qui lisent ce que les autres écrivent. C’est mon cas.

  • monhugo , 1 février 2014 @ 0 h 27 min

    Toujours pour info.
    Mercredi est sorti le 2ème long métrage de Sattouf (handicapé patronymique – comme “Debbouze”) : “Jacky au royaume des filles”.
    Au vu de la seule bande-annonce, on dirait une pochade (lourdingue) “féministe”, avec inversion des codes, sur un air de conte de fées détourné. C’est en fait plus que cela. C’est une bonne dose de propagande homosexualiste sur les vertus du “genre”, avec du viol en réunion, de l’onanisme, du scato (au sens propre – les excréments du populaire sont traités pour leur revenir en “bouillie”, distribuée comme nourriture unique par réseau urbain), en “primes”.
    Aucune interdiction, ni même avertissement. Sachez à quoi vous en tenir avec vos jeunes enfants. Ce n’est pas de l’humour potache inoffensif.
    En plus, c’est une bonne grosse daube – mais à visée “intello” (tendance “intello-bobo” – les spectateurs de la salle où je viens de visionner le film, en plein Quartier latin, étaient aux anges).

  • synok , 1 février 2014 @ 7 h 22 min

    @monhugo
    non j’ai n’ai pas eu l’intention de hurler ni même de crier … c’est la touche MAJ qui était restée ON … et ensuite je n’y suis pas revenue …
    bref , tout ça pour dire que je vous demandais ce que vous pensiez des autres fautes et surtout du fond de mon propos à moi et non pas sur le fond du film … là aussi j’ai dû mal m’exprimer … par contre j’en apprend tous les jours de vous et donc ne m’offusque en rien … bien au contraire ! A part ça , l’autre film dont vous parlez n’est que la conséquence logique de nos nouvelles lois .

  • monhugo , 1 février 2014 @ 16 h 28 min

    Le gavage homo dans les médias, les fictions télé et le cinéma n’est pas la conséquence de la loi (loi du 17/05/13, ou “Taubira 2” en tête), car le phénomène se constate en sens inverse.
    1ère phase : “sensibilisation” fictionnelle. Les lobbys à la manoeuvre. Promotion de moins en moins discrète, de plus en plus régulière, de la “norme” homo à la télévision (priorité des idéologues, car média populaire – les gens vont très peu au cinéma). Inverti(e), c’est bien, être pro-invertis, c’est être “moderne”, progressiste. La pub s’y met aussi, ouvertement.
    2ème phase : relais par le politique, et lois adoptées.
    Apparition d’un cadre ad hoc pour l’homo, en quête de reconnaissance légale : le PaCS (1999). La “Droite” de retour aux affaires améliore. Mise en bouche.
    Le candidat Hollande promet “mariage” et adoption plénière conjointe aux lobbys pour invertis. On connaît la suite !
    Quand la norme est construite, les piqûres de rappel en direction du populaire (pour une part rétif – voir les gigantesques MPT et les mouvements qui n’ont jamais cessé depuis, comme les Veilleurs, les Homen…) s’imposent.
    De l’homo, on en “mange” à la becquée. Et pas que dans “Poubelle la vie”, LE must en matière de propagande pour tous.
    Simples exemples récents :
    – à la télé, une nouvelle fiction de la série “Quand la smala s’en mêle” (daube absolue, d’ailleurs) sur France 2 mercredi dernier : l’héroïne découvre que sa mère était lesbienne. D’où panégyrique de “l’amour” saphique, et embranchement sur ces pauvres ados homos chassés par des auteurs indignes et trouvant refuge dans des “assos”. La série cumulant dans la bien-pensance, puisque le personnage principal, une quinqua blanche, a refait sa vie avec un Noir, après avoir adopté un enfant de chaque couleur avec son premier mari,
    – la fable sur le genre dont je parlais plus haut (“Jacky au royaume des filles”),
    – sortie en France d’un des grands favoris pour les Oscars, “Dallas Buyers Club” : c’est le “biopic” d’un Texan luttant contre le Sida, et à cette occasion contre les labos et l’administration américaine ; comme il est hétéro, on montre son “évolution” édifiante : d”‘homophobe”, il devient “gay friendly”, grâce à son amitié avec un travesti caricatural.
    Même quand le film ne tourne pas complètement autour de l’homosexualité, masculine ou féminine, comme le récent “Yves Saint Laurent” de Jalil Lespert (approuvé et financé par Bergé), il devient plus que fréquent qu’il comporte au moins un personnage inverti, voire un ou plusieurs ressorts “dramaturgiques” homos.
    MARRE ! Pour une fois, en hurlant !

  • daniel , 1 février 2014 @ 17 h 37 min

    Vu la tête de tronche de l’actrice, j’aurais plutôt intitulé ce film “Predator Vs Alienz”

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