De plus en plus de Français reviennent du jihad, les services de renseignement sur les dents

De plus en plus de Français partis faire le jihad reviennent de Syrie. D’après nos informations, ils sont 240 à être rentrés. C’est soixante de plus par rapport au début du mois de septembre, date des premières frappes de la coalition :

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80 Comments

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  • Gisèle , 30 janvier 2015 @ 16 h 59 min

    Hier soir , dans notre région , nous avons eu un tremblement de terre de magnitude 3.8 .
    Serait ce ** encore ** un signe que personne n’ose reconnaître ?? même pas J.P pernaud au JT de la Une ??

  • Alex , 30 janvier 2015 @ 19 h 17 min

    Les individus qui reviennent du Djihad doivent être physiquement éliminés par les citoyens, pour pallier l’incapacité psychologique du régime à les mettre dans des villages prison à perpétuité.

  • Alex , 30 janvier 2015 @ 19 h 22 min

    Et après c’est moi qu’on traite de scientiste ou de barjot…

    L’apocalypse n’existe pas, c’est des conneries inventées par l’église et les religions pour maintenir leur autorité sur les fidèles.

    Par contre, ce qui est potentiellement vrai et ce qu’on peut du moins extrapoler de la physique quantique, c’est l’hypothèse selon laquelle les intentions dominantes de l’espèce humaine peuvent induire des coincidences dans le futur, qui convergent vers la réalisation de ces intentions !

    Donc, si votre intention est de vivre l’apocalypse et si l’intention dominante dans le cerveau des humains est de vivre l’apocalypse, alors il est possible que dans le futur nous vivions des coincidences qui auront tendance à converger vers la réalisation de cette apocalypse.

    Car le temps n’existe pas tel que vous croyez le percevoir au quotidien et la matière ou la réalité elle-même n’existent pas tels que vous croyez les percevoir au quotidien.

  • Alex , 30 janvier 2015 @ 19 h 25 min

    Il faut publier les listes, noms et adresses de ces gens qui reviennent du djihad, pour que le peuple s’occupe d’appliquer sur ces criminels de guerre, la peine que la république ne leur inflige pas.

  • bernique , 30 janvier 2015 @ 19 h 52 min

    Je me demande si Alex existe ! Si c’est non, que personne ne l’invente : on se passera bien de ses élucubrations, au quotidien comme au futur ! ! !

  • F_156 , 30 janvier 2015 @ 21 h 20 min

    La répétition d’un fait auto-génère le fait. Mais pas dans le sens que l’on croit. Le fait de croire à l’Apocalypse ne va pas entraîner l’Apocalypse, par contre il faut analyser le pourquoi avons-nous parfois le sentiment d’être confrontés aux prémices d’une apocalypse.
    Ainsi des attentats et des violences dans lesquels sombre la France, mais aussi d’autres Etats. Les intentions dominantes de l’espèce humaine sont fortement influencées par ceux qui diffusent l’information : les élites dirigeantes et les médias.
    Si l’on a intérêt à voir basculer un système donné, quel que soit ce système, on a intérêt à agir sur ce qui conditionne sa stabilité. Les moyens pour déstabiliser sont : la peur et l’incertitude par la perversité du langage. Elles conduisent ainsi à la confusion. Un esprit confus est paralysé mais est quasi persuadé qu’il vit un grand choc semblable à un effondrement de civilisation. Il a raison car les médias s’y emploient en utilisant un double langage comme dans le film “Mars Attacks” où l’on voit des Martiens hilares tuer tous les humains sur leur passage en criant : “Ne courez pas, nous sommes vos amis!” tandis que l’intellectuel qui tente de traduire le mot “attacks” qu’ils prononcent sans cesse, s’évertue à le traduire par ses propres présupposés suivant lesquels : “une espèce si avancée qu’elle a traversé l’Espace, ne peut pas être agressive.” Or, si c’est vrai pour certaines, ça ne l’est pas pour toutes.
    Les médias montrent des horreurs, puis “pas d’amalgame” et font l’apologie de précisément ce qui a conduit à l’horreur. Le téléspectateur est confus. Il finit par croire qu’une chose et son contraire ont finalement le même sens, ou qu’une chose monstrueuse car à la base d’une horreur commise est susceptible de se révéler bonne en soi car ce sont ses excès finalement qui ont donné lieu à un dérapage. Au final, l’esprit logique est totalement détruit car il parle sans une référence scientifique, se bornant à suivre les affirmations et retranscriptions des médias. Il tourne à vide et on nage en novlangue. Dans le même temps, les mêmes causes reproduisent les mêmes effets et s’intensifient car les médias lui prêtent une large audience. Les médias sont eux-mêmes sous le choc de ce qu’ils diffusent et sont littéralement fascinés et presque excités par ce qu’ils véhiculent : des actes les plus graves comme ceux que nous avons vécu en direct en ce début d’année, avec le souci d’ensuite en gommer partiellement la gravité en soustrayant la chose à une analyse critique poussée et sans complaisance. Chaque fois, le public s’enfonce dans une confusion-incertitude-illogisme. Il n’y a jamais d’explication. Chacun donc meuble le vide avec le matériau qu’il peut trouver car tout lui souffle que quelque chose ne tourne pas rond. Il est clair que soit, on lui ment, soit il est trop stupide pour comprendre. Nous sommes à cette phase. Je pense qu’elle sera suivie d’une autre, dans la déconstruction de l’Etat. Il apparaît clairement que la société vacille sur ses bases puisqu’elle n’honore plus ses propres schémas existentiels : la laïcité, la Liberté forcément assortie des devoirs sans lesquels la liberté devient anarchie, les droits de l’homme (qui ne sont rien sans les devoirs qui les accompagnent pour tous sans exception), la liberté d’expression, même désagréable, etc. Tous ces schémas sont bousculés par les médias eux-mêmes qui montrent le fléchissement de ces idéaux républicains, dans les faits, dans la façon de revoir les faits les plus graves en en modifiant subtilement l’aspect. Chacun ne verra plus dans ces faits les mêmes acteurs, ou bien ces acteurs changent de camp. Et l’enchaînement se fait dans l’ordre défini comme suit : je relate un fait très grave dans sa première vérité. Je relate plus loin le même fait, assorti de données nouvelles et le fait très grave prend ici sa deuxième vérité qui n’est pas en contradiction avec la première vérité mais qui a valeur d’obligation morale qui prend l’ascendant sur l’horreur vécue en direct. Il peut y avoir jusqu’à 4 ou 5 vérités successives. En dernier lieu, qu’Est-ce qui était et demeure réellement très grave, la première vérité ? Le choc à l’état brut ? Ou bien l’amalgame auquel on risquerait de se laisser aller si l’on écoutait la voix intérieure de son conscient très éveillé ? Qu’est-ce qui choque le plus ? La chose elle-même ou ce qu’en font les médias ? La barbarie ou l’amalgame ? Ce que devient l’acte barbare retraduit en novlangue ? Les médias ont peur et véhiculent la peur plus sûrement encore quand ils se refusent à toute étude critique d’un fait extrêmement grave et quand ils veulent donner l’apparence d’une quiétude en plein cataclysme.
    C’est l’Apocalypse, très exactement. Que dit le texte ? Qu’il y avait ceux qui étaient conscients de…. et qu’il y avait ceux qui ne changeaient pas leur attitude et qui persévéraient dans leur aveuglement, alors l’Apocalypse en a résulté. Ce texte nous dit que traiter d’un problème en le portant en pleine lumière conduit à sa résolution et supprime à échéance le problème, tandis qu’ignorer le problème en niant son existence ne fait pas disparaître le problème, il croît seulement dans l’ombre. Ce ne sont pas ceux qui sont éveillés qui causent l’Apocalypse, ce sont ceux qui refusent de prendre en compte les signes avant-coureurs d’un effondrement de civilisation.
    Si le texte est inventé ou pas n’est pas important.
    On peut d’ailleurs ne pas croire à l’Apocalypse et observer le phénomène de la même manière : une inversion des valeurs et ses conséquences à moyen terme, voire à court terme. Si les conséquences sont que les gens basculent dans l’inversion des valeurs, il n’en est alors pas moins vrai que c’est une apocalypse car que devient le respect entre les individus ? Quel avenir pour les enfants ? Quel sens leur donner des valeurs ? Pour en faire quels adultes ? Que devient le citoyen et l’égalité de fait et de droit entre tous les citoyens ne plaçant aucun citoyen sous la botte d’un autre ? Que devient la valeur que nous apportons à la vie, de tout un chacun, à la vie aussi des autres espèces ? L’esprit humain descend-il au caniveau ou bien doit-il au contraire s’élever ? Que devient le respect que l’on doit à la vie, sous toutes ses apparences ?
    D’un point de vue juridique, juge-t-on selon les apparences ou les appartenances ? Ou juge-t-on suivant les actes ?
    C’est un effondrement de civilisation et c’est une apocalypse quand le peuple perd ses certitudes et bascule dans le dénigrement de ses propres valeurs au profit de valeurs qui n’en sont pas au sens démocratique du terme, tel qu’on l’entend dans l’Occident éclairé et cartésien. Si je ne suis plus citoyen, je ne suis donc rien, s’entend au sens juridique du terme car tout notre Droit est bâti sur ce concept qu’on le veuille ou non. Il n’y a bien entendu aucune différence entre le citoyen mâle et le citoyen femelle. Personne ne vient me demander de produire deux témoins de vertu si j’ai subi une agression en tant que citoyen femelle (par exemple). Sans parler des droits à héritage et autres droits qui, dans l’enfer communautariste, n’ont plus rien à voir avec notre Démocratie. Donc, c’est bien une apocalypse, un basculement de civilisation, un effondrement de civilisation, un suicide.

  • Gisèle , 30 janvier 2015 @ 21 h 38 min

    Arrêtez donc de les appeler : des français . !!!
    Ils n’ont plus aucune identité , ni nationalité , puisqu’ils ont vendu leur âme au diable .

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