Paris : la salle de shoot coûtera 850 000 euros aux contribuables

Le Conseil de Paris a voté, mardi 29 mars, l’attribution d’une subvention de 850 000 euros qui permettra d’ouvrir à l’automne la première salle de consommation à moindre risque (SCMR), ou “salle de shoot”, de la capitale.

Cette salle comprenant un accueil, une salle d’attente et de consommation, sera aménagée sur 450 m2 dans l’enceinte de l’hôpital Lariboisière (10e arrondissement). Gérée par l’association Gaia Paris, elle pourra accueillir 200 personnes par jour.

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20 Comments

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  • carolo85 , 31 mars 2016 @ 11 h 34 min

    Étonnant, le trafic et la détention de drogue sont interdits et punit par la loi et on créé des structures pour se droguer!
    Il y a des fumoirs pour les fumeurs, des bistrots pour les buveurs mais ces produits sont en vente libre et légaux.

  • penelope , 31 mars 2016 @ 15 h 05 min

    avec cette somme n’aurait-on pas d$u essayer de sauver ces jeunes au lieu de leur permettre de se ravager,de devenir des moins que rien;et pour cela on inventera encore des taxes où on s’en prendra à ceux qui se privent de beaucoup de choses(comme de vacances) pour se payer une complémentaire santé,à qui on fait payer déjà une taxe pour les bénéficiaire de la CMU;toujours les mêmes qui profitent et les mêmes têtes de turc qui paient.

  • N'Dobin , 31 mars 2016 @ 15 h 30 min

    Ne pourrait-on pas penser, aussi, par ex. à l’enfant qui se fera faucher , sur un passage piéton , à la sortie de sa salle de shoot par le gentil drogué au volant… qu’on aura charitablement assisté en consommation de drogue bien propre ? …Et à ces automobilistes dans le véhicule desquels percutera la voiture folle d’un utilisateur “ordinaire” de psychotrope ? N’y a t-il déjà pas assez de personnes “accros” dangereuses et nocives par tant d’autres “mauvaises habitudes” et autres fatalités accidentelles déplorables qui multiplient le nombre de victimes innocentes , pour en encourager à grands frais, certaines pratiques ?

  • Bistouille Poirot , 1 avril 2016 @ 3 h 56 min

    @Troy
    Mais voyons, il ne suffit pas d’être doté de glandes en grappe pour mettre le feu à une salle de shoot ni même d’appartenir au sexe faible mais seulement de disposer d’une boîte d’allumettes que les décapiteurs de la place Vendôme ont tous dans leurs poches. Réservez vos attributs à l’amélioration de notre taux de natalité. Sans rancune aucune…

  • Bistouille Poirot , 1 avril 2016 @ 3 h 59 min

    SI tu es parisien, tu paieras à Hidalgo comme je paie à Gaudin…

  • Bistouille Poirot , 1 avril 2016 @ 4 h 18 min

    @Muchos
    Réflexion d’un économiste non distingué:
    Les biais en statistique et les points aberrants sur une courbe sont bien connus des usagers de cette technique de relevés.
    Avez vous tenu compte de ceux qui non usagers ordinaires de la drogue viendront s’essayer dans ces salles de shoot autorisées où ils se croiront à l’abri de tout risque, échoueront pour partie d’entre eux et retrouveront à la sortie des dealers installés sur le trottoir d’en face après avoir confié la boutique devenue trop petite à un épicier en herbes de leur quartier ?
    Augmentation du nombre de consommateurs, augmentation du nombre des dealers, abaissement des coûts de consommation, la batterie des effets pervers quoi ! Bon courage cher ami…

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