Alain Glon : «Les patrons ne veulent plus être complices d’un système qui conduit à la ruine en Bretagne»

La Bretagne est étouffée par l’État, l’écotaxe n’étant qu’un exemple parmi d’autres. Comme le dit Alain Glon, le fondateur du groupe Glon (3 700 salariés), de l’influent Institut de Locarn et du nouveau Comité de convergence des intérêts bretons, “le problème de la Bretagne, c’est la France”. Il est invité sur France 3 à débattre face à Pierrick Massiot, le peu combattif Président (socialiste) du Conseil régional qui attend de connaître le coût de l’écotaxe pour décider de s’y opposer ou pas…

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10 Comments

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  • Gisèle , 1 octobre 2013 @ 23 h 38 min

    Et la stratégie de la vague pour faire travailler nos enfants et petits enfants tous les dimanches dans 10 ans … ( remise en cause perverses et ouverture de parapluie )
    En plus d’ une autre vague pour nous préparer à la loi sur l’euthanasie . ( reportage sur cette jeune fille handicapée qui fait des crises et que les parents ne peuvent plus gérer ) un cas monté en épingle pour …
    C’est dégueulasse ! ‘ excusez moi , pour cette grossièreté , mais c’est le seul qui sied )

  • Gisèle , 1 octobre 2013 @ 23 h 42 min

    Les Choletais , n’ont même plus de mouchoirs pour pleurer , ni de torchons ou de draps d’ailleurs …quant aux chaussures …..

  • al Louarn , 25 octobre 2013 @ 12 h 29 min

    Mr Alain GLON n’est qu’un opportuniste.
    Il n’agit pas et n’as jamais agis ni dans les intérêts de la Bretagne, ni dans les intérêts de la France, mais des seuls intérêts économiques de son groupe agro-alimentaire.
    Cela c’est illustré depuis des dizaines d’années tant par les conditions de travail lamentables pratiquées dans les usines et ateliers du groupe GLON-SANDERS et , DOUX, que par les conditions financières scandaleuses imposées aux éleveurs, propriétaires de leurs poulaillers. Des centaines d’entre eux se sont retrouvés acculés à la faillite, et dans l’obligation de vendre des exploitations que leur famille occupait souvent depuis plusieurs siècles.
    Malheureusement nombre d’entre-eux ont été poussés au suicide.
    Parallèlement, des travailleurs étrangers, Turcs notamment, étaient accueillis en Bretagne, travaillant tant dans les abattoirs que comme conducteurs routiers.
    Vu avec du recul, ce scénario est assimilable au génocide lent d’une population rurale autochtone, à ses traditions, à sa culture, et à son remplacement “en douceur”, par une population musulmane.
    A chacun d’en tirer ses propres conclusions.
    En ce qui concerne l’Institut de Locarn, et contrairement aux apparences,cet organisme n’a jamais que pour but de faire entrer la Bretagne dans la mondialisation.
    Pour preuve son inauguration par Otto von Habsbourg, dont on sait fort bien que la Bretagne est le seul centre d’intérêt…
    Aujourd’hui, l’attitude de Mr Alain GLON fait penser à celle de ces passagers de 1ere classe du Titanic, prêts à tout pour qu’on les sauve, peu importe le sort des autres passagers.
    Et oui, la plus grande proportion de poulet traités dans les ateliers du groupe n’est plus produite en Bretagne : Elle provient du Brésil…
    CQFD.

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