Plus de mondialisme comme remède au mondialisme ? Dans la bouche de Jacques Attali, l’homme qui murmure à l’oreille des Présidents de la République française de droite comme de gauche depuis plus de trente ans, s’opposer à l’oligarchie, c’est contester “l’État de droit”. Vous savez, celui qui vous spolie, qui dénature le mariage, qui encourage l’élimination des faibles, qui cherche à créer de la dépendance, qui se substitue aux parents, etc. Selon Attali (invité ce dimanche 29 décembre dans “Le Grand rendez-vous” sur I>télé et Europe 1, en collaboration avec Le Monde), “le marché fait exploser l’État, parce que le marché est mondial alors que l’État est national”. Bref, “si on n’est pas capable de créer un État de droit international, l’État de droit va disparaître”, menace-t-il. Il ne renonce jamais à vendre sa came étatiste et mondialiste, Jacques Attali ! Un peu plus tard dans l’émission, le soi-disant expert affirme être favorable aux impôts élevés et déclare que la dette de la France est due à la baisse des impôts (qu’il est sans doute le seul à ressentir, mais passons)…
Jacques Attali : pour sauver l’oligarchie de la colère des peuples, il faut un État mondial
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