L’État veut forcer les gens à habiter en ville

Stéphanie Bignon ne croyait pas si bien dire dans sa vive intervention lors de l’émission Bistrot Libertés. La masse, le troupeau, doit être parqué dans les clapiers urbains du vivre-ensemble. C’est ce qu’il ressort d’une étrange conférence de, je cite : l’Institut Veolia. Un titre qui sonne comme très solennel. D’ailleurs, le tentaculaire groupe Veolia ne s’est-il pas doté d’un directeur de La condition publique ?
Oh, comme on les voit venir avec leurs gros sabots
« les villes sont aujourd’hui confrontées à des risques majeurs : changement climatique, catastrophes naturelles, crises sanitaires, perte d’attractivité, déclin industriel, chômage, etc. Dans ce contexte, leur résilience – « capacité à se remettre des chocs et à poursuivre son développement » – devient un enjeu central des politiques urbaines. »
Pas un mot sur les attentats islamistes et le danger de l’islamisation desdites villes.
Poursuivons, plus c’est gros, plus ça passe
« À Roubaix, qui a été touché de plein fouet par la crise économique, le laboratoire La condition publique, établissement public de la métropole européenne de Lille, accueille une communauté créative et d’innovation sociale qui rassemble les citoyens dans toute leur diversité ».
Puisque l’Institut Veolia vous le dit
« À Kinshasa (République démocratique du Congo) qui accueille 500 000 nouveaux habitants chaque année, ou à Lagos (Nigeria) avec ses 20 millions d’habitants, ce sont les moyens de financement qui font le plus défaut pour construire la résilience urbaine. Par contre au Kenya, l’initiative « Build a bridge » permet de réunir les politiques publiques et l’action des citoyens. »
Enlevé, c’est pesé. C’est pas du marketing solidaire ça !
Les (vénales) solutions de Veolia en matière de résilience : « En tant que gestionnaire de services, présent sur le long terme par ses trois métiers et ses solutions d’économie des ressources, Veolia accompagne les villes en matière de résilience. Le groupe est partenaire de l’initiative 100RC qui permet d’identifier les enjeux de résilience dans 100 villes du monde… Un exemple : Veolia développe des solutions d’aménagement durable, comme l’agriculture urbaine qui permet de produire localement et de manière inclusive : comme à Lille dans un quartier défavorisé avec le groupe Sodexo. La résilience se renforce aussi par une plus grande cohésion de tous les acteurs de la ville : Veolia a créé une vingtaine d’incubateurs qui soutiennent des entrepreneurs de l’économie sociale et solidaire. »
70 % de la population mondiale vivra en zone urbaine en 2050
L’Institut Veolia vient d’organiser une conférence-débat sur les « villes résilientes ». Jean-Christophe Levassor, directeur de La condition publique (sic), Guillaume Josse, urbaniste du groupe Huit et de Wexity, Éric Lesueur, président de 2EI Veolia et David Ménascé, directeur du cabinet Azao et professeur à HEC, ont orchestré la grand’messe.
https://youtu.be/xtBJCD_Rg9w
Dégagez, quittez vos terres, vos racines et vos clochers. C’est exactement pourquoi les Gilets jaunes des campagnes se rebiffent contre le fossoyeur mondialiste Macron et ses complices
Stéphanie Bignon, présidente de Terre et Famille https://terre-et-famille.fr vient de démontrer que : « dans les campagnes, on a cassé tous les services de proximité pour maintenant nous expliquer que c’est pas beau – pas beau de prendre sa voiture. Alors, ça veut dire quoi, qu’on a pas le droit de vivre ? Il faut qu’on aille tous s’entasser dans les banlieues ? 
On nous explique que c’est pour l’écologie, or c’est la concentration la première cause de la pollution ». À voir à partir de : 42’ 34
https://youtu.be/T7VpzGbRvj0
Trois Cafés Gourmands – À nos souvenirs [Clip officiel]
https://youtu.be/voQhp1K2TSk
Repères Veolia
Veolia Environnement est le n° 1 mondial des prestations de services à l’environnement. Le CA par activité se répartit comme suit : https://www.zonebourse.com/VEOLIA-ENVIRONNEMENT-4726/societe/
Jacques Chassaing – Riposte laïque

Related Articles