Le Danemark et la Suède ne veulent plus de «réfugiés»

Le Danemark a annoncé samedi, une semaine après la Pologne, qu’il n’appliquera pas non plus l’accord européen du 22 septembre dernier sur les quotas de migrants. C’est le premier ministre danois Lars Lokke Rasmussen qui l’a annoncé samedi au congrès de son Parti libéral danois Venstre

« Les pays de l’Union européenne se sont mis d’accord pour répartir 160 000 réfugiés à condition que la question de l’afflux d’immigrants soit maîtrisée. Ce n’est pas le cas. La Grèce et l’Italie n’ont pas rendu leurs frontières plus étanches. », a déclaré le chef du gouvernement du Danemark, en soulignant que son pays de 5,6 millions d’habitants s’attendait désormais à 25 000 demandeurs d’asile cette année alors qu’il en avait prévu 15 000. Et encore, la plupart des immigrants clandestins qui lui arrivent d’Allemagne préfèrent continuer jusqu’à la Suède depuis que le Danemark a fortement réduit les prestations sociales cette année pour les demandeurs d’asiles et autres immigrés de fraîche date. Il est aussi devenu plus difficile d’obtenir la nationalité danoise. Une politique imposée par le bon résultat de la droite anti-immigration (parti populaire danois) aux élections de juin et au fait que le parti libéral n’a plus la majorité absolue.

Seulement la Suède a fermé ses frontières aux réfugiés au début du mois, contrainte par l’afflux provoqué par les déclarations irresponsables de ses dirigeants, à l’instar d’Angela Merkel en Allemagne, et aussi par la générosité de ses prestations sociales. Débordé par une immigration qui bat tous les records historiques et l’impossibilité d’assurer le logement de tous ces clandestins demandeurs d’asile (ils demandent tous l’asile pour éviter l’expulsion), mais aussi confronté au retournement en un mois d’une opinion publique qui était traditionnellement favorable à l’immigration, le gouvernement suédois a rétabli les contrôles à sa frontière avec le Danemark et demandé au Danemark d’en faire autant à sa frontière avec l’Allemagne. Vendredi, le Danemark a répondu que la Suède devait elle-même supporter les conséquences de ses politiques en matière d’immigration.

Et aujourd’hui le premier ministre suédois Stefan Lofven lui-même reconnaît que son pays a été naïf en ce qui concerne la menace terroriste, et qu’il est difficile pour les Suédois d’accepter qu’il y a désormais parmi eux des gens qui sympathisent avec les bourreaux de l’État islamique. La Suède, avec ses 9,8 millions d’habitants, son importante population immigrée et ses zones de non-droit comme en France, a déjà accueilli quelques 90 000 demandeurs d’asile rien que cette année.

 

 

Related Articles

23 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • Caractacusa , 24 novembre 2015 @ 1 h 13 min

    Ci-dessous, un texte extrait d’études linguistiques des 15è, 16è, et 17è siècles où des historiens européens, arabes et juifs se confrontaient pour décortiquer l’étymologie du nom de Hubal, en confrontant leurs connaissances sur les langues anciennes et autres dialectes de la péninsule arabique et de la Mésopotamie.
    Résultat des courses, au bout de 500 et quelques pages, avec des rappels de textes de Frobenius et autres auteurs du 13è siècle, comme Dante Alighieri (Oui, celui qui dans son “Enfer” a placé, pour l’Eternité, Mohamed, prophète des musulmans, dans un baril d’excréments. cf. autour du Chant 650 et suivants, si je ne m’abuse): Hubal, grâce à un jeu de phonèmes et glissements de syllabes est rattachable à Baal et Belzébuth, donc au Diable lui-même.
    Alors, on commence par démolir , dès le Moyen-Age, la manipulation des musulmans consistant à établir une comparaison avec prier Dieu devant une croix et l’aveu du grand-père de Mohamed (pas encore né, précision nécessaire, et qui prouve que l’islam n’inventa pas Allah, puisque son futur père s’appelait Abdallah=esclave d’allah!).
    Si vous ne pratiquez pas la langue de Shakespeare, prenez-en une petite pincée:
    “Un chrétien debout devant une croix , priant Dieu en se souvenant du calvaire de Jésus, n’est pas un idolâtre. La Croix n’est pas une idole façonnée avec les traits avantageux et puissants d’une idole ou divinité . Encore moins se sert-on de la Croix pour jouer aux devins . Contrairement à celle de Hubal (présente dans la Kaaba et devant celle-ci) et dont on se servait pour élaborer des présages et ordonner des sacrifices parfois humains, la Croix n’est pas une statue. Elle est là pour rappeler la Passion de Jésus , soufferte sur un instrument de torture.”
    Ailleurs, on dénonce les contradictions de Abdel Muttalib et les contorsions intellectuelles des premiers islamistes pour ne pas admettre que Abdel Muttalib, grand-père de celui qui prétendait avoir chassé toutes les idoles de la Kaaba, eût pu invoquer Allah, avec la supervision de Hubal, et osé les croire, tantôt équivalents, tantôt de différents niveaux. D’où la querelle autour de “Hubal Akbar”, que persistaient à crier les adversaires de l’islam (dont le propre oncle de Mohamed, Abu Talib, frère de sa mère, qui l’avait élevé et refusa jusqu’à sa mort de se convertir à l’islam!) même après le hold-up de Mohamed sur la Kaaba… Et la cinglante réponse de ce dernier “Non, Allah Akbar”. (Akbar, comparatif de kébir, ndlr) Comme autant de petites filles qui se lanceraient des “Ma poupée est plus belle “, à longueur de journées.
    Plus loin des savants comme Margoliouth, Gruenebaum et Crone gloseront de la suprématie de Hubal sur Allah. En tout cas, c’est Hubal qui est dans la Kaaba, avec ses colonnes et les trois flèches de bronze le symbolisant. Au moment de faire effacer les représentations des divinités païennes, une icône de Abraham, et les symboles de la chrétienté dans la Kabba, Mohamed ordonna de ne pas toucher à l’image de Jésus, mais hurla “Que vient faire Abraham ici? Effacez-le! Recouvrez-le avec ce que vous voudrez!” Vous avez dit bizarre?

    “Their attempt to draw a parallel between Abd al-Muttalib’s standing next to Hubal while praying to Allah with a hypothetical Christian standing next to a cross and praying to God is non-sequitur. A cross is not an idol fashioned in the likeness of a certain god, nor is divination made to a cross, while both of these most certainly do apply to the statue of Hubal . The statement that al-Muttalib was standing next to the idol of Hubal is recognized as an euphemistic statement made by later Muslim traditionalists who were squeamish about depicting the grandfather of Mohammed praying directly to an idol. But we must understand, the idol of Hubal is central to the entire story. It was through this idol that the cleromantic divinations took place, as the Arabs sought guidance from the god. The purpose for al-Muttalib’s worship was to take part in just this sort of divination, and he does so while praying specifically to Allah. As such, al-Muttalib was doing more than just “standing next to” the icon of Hubal. The story quite clearly demonstrates that al-Muttalib viewed Allah and Hubal to be one and the same, which is why he explicitly prays to the one for guidance while simultaneously engaging in the divination governed and controlled by the other. The story shows clearly, if indirectly, the equation of the two in the mind of Abd al-Muttalib.
    In opposition to the equation of Hubal with Allah, first suggested by Wellhausen largely because of the prominence of Hubal in the “House of Allah,”23 Saifullah and David bring forward several quotations to serve as authorities on which to base their rejection. The citations from Peters and von Grunebaum will not be addressed here, as they really amount to no more than simple affirmations of the traditional viewpoint found within the larger body of those authors’ texts, and present no argumentation against which criticism needs to be made. The statements by Margoliouth and Crone are more interesting, each in their own way. Citing Margoliouth, Saifullah and David. Etc…Etc…
    De quoi cesser de vous demander pourquoi les néo-convertis à l’islam , d’hier et d’aujourd’hui, sont envoyés immédiatement au casse-pipe. “Tuez! Tant pis si vous mourez en le faisant. Faites-vous exploser au nom d’Allah!” Mais on se garde bien de leur dire que c’est au nom de Hubal! Le Bataclan, c’est Hubal Akbar! Daesch, c’est Hubal Akbar, tous les jours! L’Arabie Saoudite, ce “Daesch qui a réussi” selon le délicieux mot d’un historien algérien, c’est Hubal Akbar à chaque pendaison, lapidation, ou décapitation! Lutter contre Daesch, c’est éliminer, au profit de l’Arabie Saoudite, son plus terrible concurrent, et néanmoins complice ( comme on le répète entre RTL et Europe 1), en l’empêchant de venir s’emparer de la Kaaba. Ce dont les iraniens, aussi, rêvent.
    Quand aux femmes, vraies et fausses kamikazes et autres handicapées mentales dont la réputation en termes de mœurs est tellement dévastée qu’elles savent qu’elles ne trouveront jamais un mari dans leur communauté, de leur religion…”Not to mention!”
    La dernière en date , de Saint-Denis, Haznah Aït-je-ne-sais-plus quoi, qui portait des chapeaux de cow-boy et ne “rentrait jamais chez elle avec le même homme” (“dixunt” les voisins!) , fut peut-être délibérément entraînée dans la mort par son cousin, juge et partie, profiteur et …On connaît la chanson de l’ingratitude arabo-musulmane. Entre eux, c’est encore pire.

  • Vlad Tepes 1 , 24 novembre 2015 @ 8 h 58 min

    YESSSSSSSSSSSS !!!! Tout à fait d’accord . C’est aussi la proposition de MLP : couper les vivres et dehors . Rétablir les frontières.

Comments are closed.