L’Europe de l’Est avait raison !

Malheureusement, les attentats de Bruxelles donnent une fois de plus raison aux pays d’Europe de l’Est qui refusent le multiculturalisme et l’immigration massive à l’occidentale.

Pour le président tchèque Milos Zeman il est tout simplement impossible aux musulmans de s’intégrer en Europe occidentale et la vague migratoire actuelle est une « invasion organisée » de notre continent. Le premier ministre slovaque Roberto Fico refuse lui aussi l’arrivée dans son pays d’immigrés musulmans car « le multiculturalisme est une fiction ». La Pologne est désormais sur la même ligne. En novembre le ministre de la Justice Zbigniew Ziobro répondait au président de la Commission européenne et au président du Parlement européen qui reprochaient à la Pologne de faire le lien entre l’accueil massif d’immigrants et le risque terroriste. S’étonnant de l’aveuglement et de la bêtise des fonctionnaires bruxellois, le ministre polonais a affirmé sans détour : « Nous devons faire preuve de courage et de sagesse. L’accueil de milliers d’immigrants islamiques constituerait un grand danger pour l’avenir de notre patrie ».

Le premier ministre hongrois Viktor Orban, qui avait raison le premier, continue de clamer les dangers encourus par la civilisation européenne face à l’immigration musulmane. En novembre, il assénait une évidence que nos dirigeants refusent d’admettre : « Le fait est que tous les terroristes sont à la base des migrants. La question, c’est uniquement quand est-ce qu’ils ont immigré dans l’Union européenne ». Le 15 mars, à l’occasion de la fête nationale hongroise, Viktor Orban appelait les Européens à s’unir pour stopper la folle politique de Bruxelles et il prévenait : « Nous ne laisserons pas [Bruxelles] nous imposer les fruits de sa politique migratoire cosmopolite. Nous ne voulons pas importer le crime, le terrorisme, l’homophobie et l’antisémitisme. »

Le 28 février, dans son rapport sur l’état de la nation devant le parlement hongrois, Viktor Orban affirmait aussi : « Nous, à Budapest, Varsovie, Prague et Bratislava, nous n’arrivons pas à comprendre comment certains ont pu avoir l’idée de laisser venir des gens d’autres continents et d’autres cultures sans aucun contrôle, comment notre civilisation a pu perdre à ce point l’instinct naturel qui pousse à se défendre soi-même et à défendre sa famille, sa maison et sa terre. »

 

(Article publié dans le journal Présent)

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17 Comments

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  • Pupuce , 24 mars 2016 @ 13 h 44 min

    Bravo JSG
    Que c’est bien dit e.. VRAI

  • borphi , 24 mars 2016 @ 16 h 19 min

    Ainsi le contribuable a t-il la sensation de payer des impôts non pour que l’état lui assure un service, mais au contraire pour lui nuire.
    ________________________________________

    Vous avez , hélas, mille fois raison !

  • Luc Tremblay , 30 mars 2016 @ 21 h 58 min

    Erdoqui, Erdoquoi, Erdogan (sous-titré en français)

    Chanson satirique allemand qui irrite le boss du Bosphore.

    Le président turc Recipe Tayyip Erdogan ne fait décidément rien pour atténuer sa réputation de chef d’Etat aux dérives autocratiques. L’ambassadeur d’Allemagne a été récemment convoqué par les autorités turques. Motif: le président juge offensant un clip (voir plus bas) retransmis sur une chaîne de télévision publique régionale allemande le 17 mars dernier. Il réclame ni plus ni moins que l’arrêt de la diffusion, selon une source diplomatique anonyme.

    La chanson satirique, intitulée “Erdowie, Erdowo, Erdogan” dénonce les atteintes à la liberté de presse et les dépenses pharaoniques pour l’édification du palais de celui qui tient les rênes du pays depuis 2002, d’abord comme Premier ministre puis comme président après son élection dès le premier tour en 2014. Dans les paroles, on peut notamment lire que Recipe Erdogan “mène un grand train de vie, ce vantard du Bosphore, un journaliste qui écrit ce qui ne plaît pas à Monsieur Erdogan se retrouve le lendemain derrière les barreaux”.

    le clip :

    https://www.youtube.com/watch?v=cex2EpPtg0g

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