Dieu et les races

À mon ami Léopold Gauthier, pour nos inépuisables discussions passionnées !

« Là où l’Européen dira ‘J’ai raté mon train’, l’Arabe traduit ‘Mon train m’a raté’. Certains philosophes ou chercheurs attribuent ces pratiques à l’influence du désert sur la pensée arabe. La première perception dans le désert est qu’il n’y a rien autour de soi, avant que, peu à peu, de rares objets apparaissent. Donc, au premier abord, il n’y a rien et on ne distingue l’existant qu’après cette première constatation. Je ne sais pas si cette explication de l’influence du désert sur la pensée est exacte ou fumeuse, mais il n’en demeure pas moins que cette façon d’aborder la réalité est totalement étrangère aux schémas culturels de l’Occident et, au-delà des mots, conduit aux pires incompréhensions », écrit l’ex-directeur du département des affaires arabes et du contre-terrorisme de la DGSE, Alain Chouet.

Cet article complète et approfondit le précédent (Non au catholiquement correct !) tout en répondant à un bon nombre de commentateurs et plus particulièrement à Aimegielle, professeur d’histoire et spécialiste des Coptes dont l’intervention prouve encore une fois à quel point les Européens sont, de nos jours, dans une totale confusion. Pour ma part, n’étant pas un « spécialiste officiel » mais ayant vécu au Maghreb et au Proche-Orient, et ayant notamment travaillé là-bas sur les questions religieuses en lisant des centaines de pages et interrogeant un grand nombre de personnes sur leurs pratiques, je pense avoir mon petit mot à dire.

Si les Sémites du Proche-Orient furent les premiers chrétiens, ils n’ont probablement jamais cru, dans leur ensemble, à l’Incarnation du Christ qui est une création purement européenne pleinement établie cinq siècles après Jésus-Christ par le concile de Chalcédoine de 451, que les Sémites, du Levant à l’Égypte en passant par l’Éthiopie, ont rejeté en bloc. Ce rejet était certes motivé par des raisons politiques – se différencier des Empires romain puis byzantin européens, considérés comme colonisateurs -, mais aussi pour des raisons spirituelles. Les Sémites n’étant pas des Européens, ils ne conçoivent pas Dieu de la même manière. Explication et exemples :

I) Oui, les races existent !

Une race est la première « artificialisation » d’un groupement humain à son milieu « éco-systémique » (environnement naturel). Le cerveau, la dose hormonale, la structure osseuse, les muscles et la peau s’adaptent pour se protéger de cet environnement. Puisque le système cérébral s’adapte ainsi, la psychologie qui en est issue va différer selon l’environnement, et donc aussi la vision de la politique, du social mais encore, évidemment, de Dieu.

Après une intuition évidente pluriséculaire partagée par tous les peuples de la Terre, l’existence de races différenciées a été prouvée par le prix Nobel scientifique James Watson dans les années 1960 en découvrant l’ADN. Toutes les races ont le même ADN, nous permettant de faire partie de l’espèce humaine, mais les informations qui y sont enfermées ayant une morphologie spécifique due à la pression éco-systémique environnante depuis des siècles sont différentes et se transmettent génétiquement.

Par exemple, en Afrique noire d’avant l’ère carbo-pétrolière, l’environnement naturel extrêmement instable pouvait décimer des peuplades entières, devenant ainsi le premier acteur d’une pression démographique basse. Du jour au lendemain pouvait surgir un nuage de sauterelles dévorant toutes les récoltes ou des pluies irrégulières sur lesquelles on ne pouvait compter ; aussi les Subsahariens développèrent-ils par leur subconscient (qui n’est que la conscience de toutes les cellules du corps) des stratégies de résistance démographique en faisant beaucoup d’enfants dont une partie mourraient naturellement à cause du climat instable. Résultat : leur dose hormonale est beaucoup plus forte, permettant une assurance psychologique plus grande et une sociabilité plus ample que chez les Européens ou Asiatiques ; leurs organes génitaux sont plus grands, les fréquences sexuelles plus hautes. Ils engendrèrent donc des systèmes tribaux et polygames et les sculptures de leurs dieux étaient souvent érotiques, ce qui choqua les missionnaires chrétiens du XIXe siècle colonisateur qui, effarouchés, les jetèrent par-dessus bord, comme à Madagascar, où il ne reste pratiquement plus rien de ces sculptures religieuses. Donc, quand les catholiques français se plaignent de la table rase révolutionnaire…

Exemple inverse : les Hans, principale ethnie de Chine. Le climat, en règle générale, y est beaucoup plus régulier, scindé en deux grandes périodes : celle des moussons et l’autre. Résultat : l’une est abondante en nourriture, l’autre non, nourrissant une conception spirituelle duale du monde symbolisée par le Ying et le Yang. Ils ont donc développé des stratégies démographiques inverses où ils ont peu d’enfants (la masse importante démographique étant due au développement de l’agriculture et non aux familles nombreuses), à qui ils offrent une éducation la plus soignée possible. La culture chinoise développa donc un respect immense pour les parents, anciens et ancêtres, très présent dans la religion tao à tel point que lorsque les missionnaires jésuites européens tentèrent au XVIIe siècle de les convertir, ils se sentirent obligés d’intégrer des rites tao du culte des ancêtres dans les offices chrétiens afin de les séduire le plus possible.

II) Une vision de Dieu différente en fonction des races

a) Les Indo-Européens incarnent un divin sotériologique (théologie du salut)

Les Indo-Européens sont le peuple des quatre saisons s’étendant de l’Europe au bassin de l’Indus. Probablement originaires de l’Europe du Nord (les mythologies fondatrices indiennes ou grecques évoquent un peuple originaire venant des mers glacées), ils descendirent dans le Caucase et se divisèrent peu à peu en deux, l’un s’installa à l’ouest en Europe et l’autre à l’est au Kurdistan irakien, en Iran et aux Indes*.

Les Indo-européens ont des caractéristiques psychologiques, sociales, politiques culturelles et religieuses propres, grâce à la relative douceur et qualité climatique due aux quatre saisons, leur donnant un gigantesque appétit de la vie et le goût de la culture et de l’aventure. C’est tellement vrai que, malgré l’âpreté de l’islam, les Iraniens ont très vite développé à travers leurs poètes et intellectuels toute une philosophie de l’amour courtois (débauche raffinée) et de la passion du vin (ivresse) qui a influencé jusqu’à la France du Moyen Âge, selon l’historien Jean-Pierre Rioux, et traversa les siècles en Iran jusqu’à l’arrivée des Mollahs en 1979, installés par les Anglo-Américains.

Les Indo-Européens ont aussi tous développé une vision de la politique singulière avec un Prince adoubé par une aristocratie libre mais serviable, le principe de la quadripartition dont les différentes forces de la société (clergé religieux, caste politico-militaire, sphère de la production économique et artisanat) sont distinctes. Cette séparation née en Inde, qui s’étendra dans tout l’arc indo-européen durera, bon an mal an, en France jusqu’en 1789 et dans le reste de l’Europe jusqu’en 1914 et perdure encore aujourd’hui en Iran et au Pakistan islamiques malgré une religion prônant une égalité communautaire stricte.

Concernant leur perception du divin, voici ce que dit l’historien du monde antique, l’archéologue et égyptologue Guy Rachet : « Au contact du monde romain, le christianisme a commencé très tôt à s’éloigner du judaïsme originel. L’idée même de messie chrétien est influencée par la sotériologie grecque, c’est-à-dire la théologie du salut. Quand on fait naître ce sauveur d’une vierge, avec l’intervention de l’ange Gabriel et du Saint-Esprit, on se trouve déjà dans une représentation mentale totalement grecque. Dionysos et Héraclès sont des dieux sauveurs qui naissent ainsi d’une vierge mortelle fécondée par Zeus, comme cela est si fréquent dans la mythologie grecque. Les principaux héros de L’Iliade sont souvent fils d’une divinité et d’un ou d’une mortelle. Cette parenté divine est totalement opposée au monothéisme originel et a profondément scandalisé les Juifs de l’époque de Jésus. Il faut rappeler que le christianisme primitif s’est développé dans un milieu profondément hellénisé. Cette hellénisation n’a fait que s’amplifier dès lors que le christianisme est devenu la religion de l’Empire romain. Plus tard, les populations d’origine germanique constitutives des royaumes « barbares », dont la France de Clovis, après les Ostrogoths de Théodoric se sont ralliées très rapidement à la romanité et donc à son imprégnation hellénique. »

Or ce principe d’incarnation préchrétien se trouve aussi en Inde, à l’autre extrémité de l’arc indo-européen. La grande épopée poétique Hindoue du Mahâbhârata écrite au XIIIe siècle avant Jésus Christ met en scène une sainte dynastie royale dont les principaux protagonistes sont nés d’une Vierge et de Dieu. Les sentences du poème ne nous sont pas étrangères ; voici ce que dit Dieu à la vierge Kunti : « Ne t’inquiète pas Kunti, tu demeureras vierge et tu enfanteras au monde un fils sans pareil ». Elle en aura trois autres ainsi dont le très saint roi Ajurna, qui rétablira l’équilibre du Royaume et donc de l’Inde entière après une lutte acharnée conte des cousins royaux usurpateurs et malhonnêtes nés de femmes ayant refusé leur devoir de mère et donc leur accomplissement en Dieu. »

Le grand indianiste Alain Daniélou souligne aussi ce principe d’incarnation propre aux indo-européens dans son avant-propos des Mythes et dieux de l’Inde : « Pourquoi le Sauveur, incarnation de Vishnu (considéré comme le Fils du Dieu trinitaire hindou, ndlr) pour une région et une époque donnée, doit-il naître dans une grotte, pourquoi doivent se trouver près de lui un bœuf, animal sacré, et un âne, animal impur, pourquoi une vierge mère, pourquoi trois rois-mages, et pourquoi des bergers, pourquoi une étoile. Dans ce mystère sacré et éternel, que tout enfant brahmane saurait expliquer, les chrétiens ne voient plus que du folklore. Une grande partie des récits qui concernent la vie de Jésus ne font d’ailleurs que reprendre ceux de l’enfant Krishna ou de Shiva-Dionysos ».

Concernant le principe de salut, dans sa remarquable histoire de l’Iran, l’universitaire Michael Axworthy, ex-directeur des affaires persanes du Foreign Office, démontre que lorsque l’Iran devin majoritairement chiite avec la dynastie des séfévides, il réintégra le concept de salut déjà présent dans les religions iraniennes antiques qui n’existe pas dans les chiismes arabes.

À l’instar de l’historien Fernand Braudel ou du géopoliticien Aymeric Chauprade, je crois aux races, aux civilisations et au temps long de l’histoire. Malgré tous les contre-exemples, on remarque qu’il y a des comportements spécifiques des races, des tendances lourdes ne s’altérant pas avec le temps. Or que remarquons-nous au niveau des Européens chrétiens ? D’une part, ce sont les Romains puis les Byzantins qui ont conçu le dogme de l’Incarnation à travers les conciles œcuméniques tous organisés par le pouvoir impérial romain puis byzantin ; mais, d’autre part, alors qu’une grande partie des Européens d’Occident, afin de se démarquer de l’empire romain, optèrent dans un premier temps pour l’ « hérésie » arienne venant de l’Egypte et donc du monde sémitique refusant l’Incarnation puisque confessant que le Christ est un simple homme, ils se rallièrent tous, sauf les Arméniens – exception confirmant la règle – finalement au dogme de l’Incarnation, renouant avec leur identité indo-européenne et sa vision singulière de Dieu.

Les Sémites chrétiens prirent exactement le chemin opposé des Européens : par l’arianisme, le nestorianisme et surtout le monophysisme préchalcédonien, ils ont constamment refusé jusqu’aujourd’hui l’Incarnation du Christ, étrangère à leur perception spirituelle.

b) Les Sémites confessent un Dieu absolu reniant le monde

Les Sémites sont les peuples du désert allant des Berbères marocains aux Arabes irakiens, passant par la péninsule arabique. Comme le montrent les analyses génétiques, ils sont de souche éthiopienne.

Puisque dans cette France soviétisée, nous n’avons pas le droit de commenter les comportements raciaux, lisons plutôt les descriptions qu’en fait le général Thomas Lawrence, le célèbre Lawrence d’Arabie, archéologue au Moyen-Orient mais aussi espion du MI-6 qui saura retourner les Arabes à la cause britannique afin de lorgner leur pétrole au détriment des Français : « Dès l’abord, éclate chez eux je ne sais quelle universelle sainteté ou dureté de croyance, quasi mathématique dans ses limites (…) le clavier visuel des Sémites n’a pas de demi-tons. Ce peuple voit le monde sous des couleurs primaires ou, mieux encore, en contours découpés, noir sur blanc. Son esprit dogmatique méprise le doute, notre moderne couronne d’épines. Il n’entend rien à nos hésitations métaphysiques. Il connaît simplement la vérité et la non-vérité, la croyance et la non-croyance, sans l’indécise continuité de nos nuances subtiles. (…)

Son imagination est vive ; elle n’est pas créatrice. Il y a si peu d’art arabe en Asie qu’on peut presque le négliger. Ils n’ont pas inventé non plus de systèmes philosophiques ou mythologiques complexes. La plus grande industrie des Arabes est la fabrication des croyances : ils ont presque le monopole des religions révélées. Trois de ces élans se sont affermis chez eux, et deux sur trois ont supporté l’exportation (sous une forme modifiée) chez les peuples non sémitiques. Le christianisme traduit en grec, en latin, en teuton suivant l’esprit de ces langues diverses, a conquis l’Europe et l’Amérique. L’islam, en différentes métamorphoses, soumet encore l’Afrique et quelques parties d’Asie. Ce sont là les succès des Sémites. Ils gardent pour eux leurs échecs. La frange des déserts arabes est jonchée de croyances brisées. »

Plus loin, il explique : « Le trait commun à toutes les croyances sémites, heureuses ou malheureuses, fut toujours et partout le mépris du monde terrestre. Une violente réaction contre la matière entraînait les prophètes à prêcher la nudité, le renoncement et la pauvreté. Une pareille atmosphère mentale enivrait implacablement de ses fumées l’esprit des hommes du désert ». Il n’y a pas d’incarnation chez eux mais, au contraire, un Dieu abstrait créateur d’un monde inférieur qu’il faut renier à travers des commandements ascétiques influencés par l’austérité désertique en suivant une foi unique pour s’unir à Lui. Que ce Dieu soit juif, chrétien ou musulman.

Or, que constatons-nous ? Avant le fameux concile de Chalcédoine organisé par le pouvoir impérial européen qui statua définitivement sur l’Incarnation du Christ, deux grandes « hérésies » le refusant émanèrent du Proche-Orient sémitique : l’arianisme, d’Alexandrie, au IVe siècle, qui ne reconnait pas la nature divine du Christ (donc il était un simple homme-prophète), et le nestorianisme, d’Antioche, (qui confesse bien les deux natures du Christ, mais qui cohabitaient distinctement l’une et l’autre dans la même personne ne s’incarnant pas entre elles). De nos jours, le nestorianisme regroupe toujours une grande partie des chrétiens de Syrie orientale et d’Iraq (ou plutôt de ce qu’il en reste du fait de Saint Georges W. Bush et de Barack Hussein Obama).

L’arianisme fut lourdement combattu notamment par Saint Athanase d’Alexandrie. Un concile (le premier des sept conciles œcuméniques) s’ouvrit à Nicée en 325 qui façonna le Credo, la profession de foi chrétienne précisant que le Christ est bien le Fils de Dieu. Puis peu de temps après, en réponse, naquit le nestorianisme, du patriarche Nestor qui était originaire d’Antioche.

Cette nouvelle « hérésie » fut vigoureusement combattue par Saint Cyrille d’Alexandrie, à qui on reprocha d’aller dans l’excès inverse confessant une union si poussée que la nature humaine disparaissait dans la nature divine. Ce qui donna le monophysisme toujours actuel de l’Église Copte, de l’Église éthiopienne et de la majorité des Églises proche-orientales, regroupant 90% des chrétiens sémites. Donc que ce soit dans l’arianisme, le nestorianisme et le monophysisme tous d’origine sémitique : il n’y a pas d’incarnation du Christ !

Pour des raisons politiques mais aussi religieuses, les Coptes refusèrent le concile de Chalcédoine de 451 bannissant le monophysisme : le Christ, pour eux, resta seulement Dieu au sein duquel la nature humaine a été complètement absorbée. Les seuls qui acceptèrent le concile à Alexandrie étaient d’ethnie grecque alors que les autochtones sémites, dans leur immense majorité, restèrent monophysites. Suite à ce refus, les Occidentaux les nommèrent “les préchalcédoniens”.

Mais à cause de ce refus, les Sémites se firent excommunier par Byzance, subirent diverses persécutions de l’Empire, et durant toute l’histoire de la chrétienté, les Églises catholique et orthodoxes européennes autocéphales ne communièrent pas avec eux, considérés comme hérétiques. Peut-être aujourd’hui l’Église orthodoxe de Constantinople s’est-elle rapprochée des préchalcédoniens (je ne suis pas trop l’actualité des juridictions orthodoxes), mais il me semble que l’Église Russe ne communie toujours pas avec eux. De plus le rapprochement des catholiques est très récent et obéit davantage à un arraisonnent désespéré que ce soit des anglicans, des traditionalistes ou des préchalcédoniens sémites afin d’enrayer la désertion européenne massive des églises qu’à une quelconque résolution du différend théologique avec ces derniers.

Suite à ce refus, l’Empire Byzantin maintint sur l’Égypte une main de fer, craignant qu’elle prenne son autonomie politique après avoir affirmé sa singularité religieuse. Cette mainmise fut telle que les Coptes accueillirent à bras ouverts les conquérants musulmans qui les libérèrent du joug de Byzance.

Mais, ils déchantèrent très, très vite. L’islam fut une nouvelle dictature politique et religieuse bien pire que la byzantine. Ils furent mis en situation de dhimmis et comme les conversions par mariage ne fonctionnaient que dans un sens (une chrétienne pouvant épouser un musulman seulement si elle acceptait que ces enfants deviennent musulmans, alors que la musulmane ne peut se marier avec un chrétien), peu à peu la démographie s’éroda, émaillée par de multiples violences antichrétiennes pour n’aboutir qu’à 10% de chrétiens sur la population égyptienne totale d’aujourd’hui, qui sont dans une situation très sensible.

En revanche, la situation fut bien différente au Maghreb : dans l’excellent hors-série de La Nouvelle Revue d’Histoire intitulé « L’Algérie – Histoire d’une terre tragique », le brillant africaniste Bernard Lugan explique qu’avec l’arrivée des conquérants arabo-musulmans, les conversions berbères à l’islam furent massives, spontanées et immédiates alors que l’arabisation fut beaucoup plus longue et douloureuse, vigoureusement combattue par les tribus autochtones qui désiraient garder leur berbérité. Alors que le christianisme se développa partout en Europe, dans les ¾ de l’Afrique du Nord, il s’évapora presque d’un seul coup au profit de l’islam après avoir été pourtant la religion majoritaire. Pour ma part, je ne crois guère à un quelconque hasard en la matière : l’islam confessant un Dieu très abstrait sied bien plus aux Sémites qui ont beaucoup de mal, selon de nombreux témoignages de Maghrébins que j’ai recueillis, à croire que Dieu peut avoir un Fils s’incarnant en homme. Aussi les velléités de conversions au protestantisme en Kabylie me semblent-elles bien plus motivées par un désir de sécession des Berbères face à un pouvoir central qui leur impose l’arabité qu’à de réelles convictions religieuses, même si elles peuvent exister chez certains. En Syrie, si beaucoup de musulmans (surtout des femmes) désirent embrasser le christianisme, las des violences de l’islamisme soutenu par l’Occident, n’oublions pas qu’ils souhaitent adhérer pour leur écrasante majorité à un Christ non-incarné !

Conclusion : Jésus-Christ ou la confusion euro-sémitique

Jésus-Christ a d’européen l’Incarnation et le principe de salut mais de sémitique le principe de vérité unique (dans le christianisme, cela se traduira par le fameux « quiconque n’est pas avec moi est contre moi ») et le reniement du monde (issu du péché). Or, ce métissage de spiritualités, très belles en elles mais antithétiques, va engendrer une confusion extrême chez les Européens dont nous payons toujours plus les conséquences. Alors que dans les religions préchrétiennes, les Européens croyaient en un Dieu ayant engendré la multiplicité du monde, respectant les différences de la diversité raciale, des sexes et des points de vue individuels, le principe de vérité unique va permettre au fanatisme systématique d’émerger, anathémisant, excommuniant voire éradiquant tout ce qui lui est contraire : les païens – qui furent convertis bien plus par la persécution que par la persuasion, les Marcionistes et les gnostiques (des Bogomiles aux Cathares qui périrent dans les massacres de Saint Louis à Montségur), les bûchers des « sorcières » du XVIe siècle, l‘Inquisition (qui fut bien moins mauvaise que le Système veut nous le faire croire mais qui n’aurait jamais existé en terre païenne), les guerres de religions qui coûtèrent 1/5e de la population européenne, les haines entre protestants et catholiques toujours actuelles et vivaces qui incitèrent la France à expulser avec la révocation de l’édit de Nantes la majorité de son élite acquise au protestantisme et les pays nordiques qui, jusqu’au début du XXe siècle, condamnaient à mort tout prêtre catholique ayant le malheur de franchir leur territoire.

Beaucoup de penseurs tels que Alain de benoist ou Jean Soler ont remarqué que les fanatismes de la Révolution Française, puis des totalitarismes nazis, communistes et aujourd’hui américano-multiculturalistes qui bombardent l’altérité surtout dans le monde arabe sous prétexte de vérité unique recyclée, en leurs dogmes respectifs sont issus de ce schéma binaire Bien/Mal judéo-chrétien. A l’inverse dans les paganismes, la Force est sacrée mais il est interdit de persécuter pour des raisons culturelles, sociales et religieuses, incitant les Romains ou la caste des guerriers hindous qui n’étaient pourtant pas des tendres à temporiser bien des ardeurs. L’Occident chrétien est bien à l’image de son Dieu, se repentant sans cesse tout en voulant transformer le reste de l’Humanité à son image, désir impossible qui le rend extrêmement violent (depuis la seconde guerre mondiale exclue, les Américains qui se prétendent l’Empire du Bien font une guerre tous les 4 ans et sont directement ou indirectement responsables de 30 millions de morts ! Autre exemple, la France qui se dit humaniste, démocratique et républicaine, qui passe son temps à s’auto-flageller est l’un des États les plus bellicistes de la planète, voulant imposer la démocratie au détriment des traditions locales).

Au messianisme, s’ajoute son corollaire qu’est le reniement du monde se traduisant dans le christianisme par cette formule : « rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » permettant à Saint Augustin de forger sa conception des deux cités dans son fameux pamphlet anti-païens intitulé La Cité de Dieu qui influencera toute la pensée chrétienne européenne. On connaît l’argument central : « Deux amours firent deux cités, l’amour de soi jusqu’au mépris de Dieu fit la cité terrestre, et l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi fit la cité céleste » Cette vision va permettre à la sphère spirituelle de s’émanciper totalement de la réalité physique notamment raciale et sexuelle. Lorsque le Christ sollicite ses apôtres pour convertir le monde à sa bonne nouvelle, il déprécie les races, ces humanités bioculturelles en ce qu’elles ont de plus intime : leur représentation singulière du divin dont découle leur perception du monde et, partant, leurs coutumes politico-sociales.

Saint-Paul enfoncera encore plus le clou en jurant que désormais depuis le Christ, « il n’y a plus de juif ni de grec (dans le sens de race) ni de femme ni d’homme (dans le sens de sexe) mais que tous sont Un en Christ ». Ce n’est pas un hasard si l’homme abstrait de Descartes, le Révolutionnaire français, le Communiste, l’Aryen ou le Zombie multiculturel affranchi de son sexe et de sa race sont nés en terre judéo-chrétienne au sein de laquelle des franges entières du peuple de la fille aînée de l’Eglise doivent manifester pour que les enfants aient un père et une mère pendant que la Hollandie (dont le Président et le Premier ministre étaient des chrétiens pratiquant dans leur jeunesse) supprime le mot race de la Constitution. Alors que la Chine tao et le Japon shinto rentrent racialement unis dans la mondialisation, alors que l’Inde a développé très tôt via les castes un système de développement racial séparé, les Euro-chrétiens, pourtant souvent pétris de bonnes intentions, ont semé, des Amériques à l’Europe elle-même en passant par l’Afrique coloniale, partout l’enfer multiracial.

Tous les problèmes que nous subissons aujourd’hui sont les conséquences d’une perception du monde tronquée. Si nous voulons nous redresser, nous devons changer notre vision de l’univers en renouant avec notre vision spécifique indo-européenne tout en se détachant de l’apport sémitique très beau en soi mais appartenant à un « autre Royaume » (Descartes) ; être respectueux de la Création et de sa multiplicité des races et des si belles civilisations qu’elles ont construites. Bien plus que d’une révolution, l’Europe a besoin d’un bouleversement cosmique.

*Avant le XVIe siècle et surtout avant la révolution industrielle, en règle générale, les peuples n’ont dominé que leur espace climatique. Ainsi par exemple, les Turco-mongols, originaires de l’Asie centrale, menés par les redoutables Attila, Gengis Kahn ou Tamerlan conquirent tout ou partie de la géographie des steppes s’étendant des Balkans et de la Turquie au nord de la Chine en passant par l’Asie centrale, mais n’ont jamais réussi à s’installer durablement au-delà des steppes, que ce soit en Extrême-Orient (dans le sud de la Chine des moussons ou au Japon), ou à l’Ouest, plus à l’intérieur de l’Europe. Plus que la résistance des peuples, ce sont les climats différents qui les retinrent. Et il en est de même pour toutes les grandes familles raciales. Si l’islam issu de la péninsule arabique a pu s’étendre jusqu’en Malaisie, les Arabes n’ont jamais pu soumettre physiquement au-delà des zones désertiques, après l’Iraq à l’est, au nord-ouest après l’Espagne, pays européen aride, et au sud du désert sahélien dans la région subsaharienne de l’Afrique.

ANNEXE I : Mea Culpa pour Mithra

Je me suis trompé, il n’est pas né d’une Vierge mais d’une Pierre. Il me semblait avoir lu l’inverse dans la remarquable biographie sur l’Empereur Julien de l’historien Jacques Benoist-Méchin, mais je ne peux le vérifier n’ayant plus le livre sous les yeux. Peut-être que mon souvenir est intact et que c’est l’Orientaliste qui s’est fourvoyé, les études comparatives entre religions étant à leur balbutiement lors de la composition de son livre. En revanche, selon l’indianiste Alain Daniélou, Mithra est bien né dans une grotte. La formulation « Tu es Pierre et sur cette Pierre je bâtirai mon Eglise » a été empruntée au culte mithriaque, très pratiqué pendant le bas empire romain (et première religion de l’armée), de même que Noël car il est apparu selon la tradition 500 ans avant JC un 25 décembre, correspondant au solstice d’hiver du calendrier Julien. De plus, les notions de Cène et d’Agneau de Dieu lui ont été empruntées ce qui n’est absolument pas étonnant car, comme le disait le Père de l’Eglise Saint Ambroise de Milan, « on a repris ce qu’il y avait de mieux dans le paganisme », c’est-à-dire 80% des rites païens et plus particulièrement ceux de Mithra comme le rappelle lucidement l’historien catholique Lucien Jerphagnon. N’oublions pas que le rite des offices n’a été définitivement statué qu’à partir du IVe siècle par les évêques tels que Saint Jean Chrysostome, saint Basile le Grand et saint Grégoire de Naziane, marié. Mais cette erreur ne remet absolument pas en cause mon propos.

ANNEXE II : du choc ethnoculturel d’Alexandrie

Aimegielle parlait de la brillante civilisation judéo-héllenique. Elle ne fut pourtant pas de tout repos ! Permettez-moi de citer un long passage du livre La Violence Monothéiste du diplomate aux affaires culturelles Jean Soler concernant les derniers philosophes sous l’Empire romain trahissant un choc des civilisations dû à une coexistence de cultures antagonistes :

« L’empereur Justinien interdit dans cette même loi aux grecs polythéistes – il les appelle les Hellènes – d’avoir des écoles : « Nous interdisons qu’aucun enseignement soit donné par ceux qui sont atteints de la folie des Hellènes impurs, afin d’éviter que sous prétexte d’instruire ceux qui, par malheur, fréquentent chez eux, ils ne corrompent en réalité les âmes de ceux qu’ils prétendent éduquer ».

Cette décision a entrainé la fermeture de l’école philosophique d’Athènes, l’Académie, que Platon avait fondée au IVème siècle avant notre ère, et qui avait pu subsister jusqu’en 531 ou 532 de notre ère, soit pendant près d’un millénaire, avec, sans interruption, des professeurs et des étudiants. Les biens de l’Académie, qui était prospère, ont été confisqués par l’empereur et les professeurs ont dû prendre le chemin de l’exil. Ils ont cherché refuge en Mésopotamie – comme l’avaient fait, avant eux, les rabbins qui ont rédigé le Talmud de Babylone.

À Alexandrie, qui avait été la rivale intellectuelle d’Athènes depuis sa fondation par Alexandre en 332 avant notre ère, il y avait une femme belle et intelligente du nom d’Hypatie, dont le père était un mathématicien grec bien connu. Formée par son père, elle s’était illustrée à son tour par des travaux à la fois scientifiques et philosophiques, bien dans la manière des Grecs de l’âge classique. Elle avait édité, avec des cours commentaires, les Eléments d’Euclide, et elle donnait des cours rémunérés par la ville, sur les philosophes grecs, toutes écoles confondues. Ses cours avaient beaucoup de succès – trop de succès sans doute – auprès de ses étudiants, qui étaient aussi bien chrétiens que païens.

L’évêque de la ville ne le supportait pas. Il était le neveu de celui qui avait fait détruire, vingt-quatre ans plutôt, le temple de Sérapis et sa célèbre Bibliothèque. Il était entré en conflit avec le préfet, qui représentait le pouvoir politique central, pour la raison, entre autres, qu’il protégeait Hypatie, bien qu’étant lui-même chrétien. Pendant le carême de l’année 415, l’évêque fait venir 500 moines du désert où ils vivaient, au sud de la ville. C’est en Egypte qu’était né, un siècle auparavant, avec saint Antoine, le monachisme chrétien.

Ces moines, peut-être excités par les privations du carême, se sont emparés d’Hypatie dans une rue d’Alexandrie où elle passait. Ils l’ont arrachée de sa voiture, l’ont trainée jusque dans l’église principale, celle de l’évêque. Là, ils l’ont déshabillée, ils l’ont mise à mort, ils ont déchiqueté son corps et ils ont promené des morceaux de ses chairs à travers la ville. Ensuite ils les ont brûlés.

Les auteurs de ce lynchage n’ont pas été poursuivis. L’évêque qui l’avait, sinon ordonné, du moins provoqué, a été canonisé. On l’appelle saint Cyrille d’Alexandrie.

Dans la logique de l’Église, il fallait anéantir toute vision du monde qui n’était pas la vision chrétienne. Il fallait en finir avec la philosophie.

Et de fait, à cause de l’idéologie monobinariste (c’est-à-dire Vérité Unique du Bien, contre le reste considéré comme Mal) représentée par ces deux évêques, par ces moines, et par l’empereur, il n’y aura plus, dans ce qui fut l’Empire romain, de pensée libre ni de recherche scientifique véritable pendant environ un millénaire. Jusqu’à la Renaissance, qui a été la redécouverte du polythéisme grec et latin ».

Un film intitulé Agora parle de ce récit. Je ne l’ai pas vu mais un prêtre orthodoxe me confia que le comportement fanatique de saint Cyril était très réaliste malgré quelques simplifications historiques répondant au besoin « hollywoodien » du scénario.

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89 Comments

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  • Sacha , 4 décembre 2013 @ 18 h 46 min

    Je suis bien d’accord sur deux points : les races existent (elles ne sont pas hiérarchisées, cependant, elles sont simplement différentes), le socialisme est une déviation radicale des idées chrétiennes (même si ce n’est que ma propre glose de votre article).

    En revanche, j’ai peine à envisager que – si le mode de fonctionnement anthropologique est partout le même – la race puisse déterminer les croyances. Je suppose qu’il y a partout des zélotes, des agnostiques et des athées également.

    Vaste question.

  • vicbas13 , 4 décembre 2013 @ 19 h 20 min

    la Religion

    A mesure que l’on s’interroge sur ce que nous croyons savoir, d’où nous venons, la portée réelle de nos actes, ou finit par s’apercevoir que l’on nous a menti le mensonge s’est répandu dans toutes les institutions. Rendez-vous compte un instant que seules le mensonge s’est répondu dans toutes institutions. Rendez-vous compte in instant que seules, les institutions religieuses n’ont pas été touchées. Les institutions religieuses de ce monde sont à l’origine de ce foutoir. Les institutions religieuses de ce monde sont établies par ces mêmes individus qui décident de votre gouvernement, de votre éducation corrompue, et de la mise en place des cartels bancaires internationaux. Nos dirigeants n’en non rien à faire de vous et de votre famille. Tout ce dont ils se soucient et qui les a toujours intéressés c’est de contrôlée ce foutu monde. On nous a occulté la présence véritable du divin dans l’Univers, ce que l’Homme appelle ” Dieu “. J’ignore ce qu’est Dieu mais je sais ce qu’il n’est pas. Et à moins que et jusqu’à ce que vous soyez prêts à regarder la vérité en face où qu’elle aille, qu’importe vers qui elle vous mène, si vous voulez regarder dans l’autre direction ou si vous voulez jouer aux bons élèves alors quelque part sur la route vous comprendrez que vous avez affaire à la justice Divine. A mesure que vous vous cultiverez vous comprendrez d’autant mieux d’où proviennent les choses et tout deviendra plus clair. C’est là qu’apparaîtront des mensonges de partout. Il vous faut connaître la vérité et la rechercher car la vérité vous libérera. “Certains doivent trouver difficile…” d’avoir fait de l’autorité leurs vérité, plutôt que de la vérité de leur autorité ”

    G. Massey, Égyptologue.

    ….car en vérité je vous le dis, je dois vous dire la vérité, Quand il s’agit de fantaisies, du plus grand concours de foutaises de tous les temps, vous devez vous incliner devant l’éternel champion de toutes les fausses promesse et déclarations exagérées : la religion Réfléchissons un instant ! La Religion a effectivement convaincu les gens qu’il existe un homme invisible vivant dans les cieux qui regarde tout ce que vous faites, chaque minute de votre vie. Et cet homme invisible a fait une liste spéciale de 10 choses qu’il vous interdit de faire. Et si jamais vous faites une de ces 10 choses, il a un endroit tout particulier rempli de flammes, de fumée, de brûlures, de torture et d’angoisse où il vous enverra vivre pour vous faire souffrir, vous brûler vous étrangler, vous faire hurler et pleurer encore et toujours jusqu’à la fin des temps. Mais il vous aime, il vous aime et il a besoin d’argent. Il a toujours besoin d’argent ! Il est le Tout-puissant, la perfection, l’Erudition et la Sagesse. Malgré ça, il ne peut pas se passer d’argent ! La religion amasse des Milliards de dollars, elle n’est pas soumise à l’impôt, mais elle en a toujours besoin un peut plus. Si c’est pas un ramassis de conneries toute cette histoire ! Nom de Dieu !

    Partie I :

    LA FABULEUSE HISTOIRE JAMAIS RACONTEE

    Voici le Soleil Des 10 000 ans avant Jésus Christ, l’histoire abonde en gravures et écrits témoignant du respect et de l’adoration des peuples pour cet objet. Et il est facile de comprendre pourquoi. Alors que chaque matin le Soleil se lève apportant la visibilité la chaleur et la sécurité tenant l’homme à l’abri du froid, de l’obscurité, des prédateurs nocturnes. Sans ça, les cultures, y compris les récoltes ne pousseraient pas et la vie sur la planète serait impossible. Ces réalités font du Soleil l’élément le plus adoré de tous les temps. De la même manière, l’homme était très sensible aux étoiles. Le repérage des étoiles lui permettait de reconnaître et d’anticiper les événements qui s’étendaient sur une longue période, telles que les éclipses et les pleines lunes. A tour de rôle il a répertorié les ensembles célestes que nous connaissons maintenant sous le nom de constellations. Voici la croix du Zodiaque un des plus anciens concepts imagés de l’Histoire de l’Humanité Il représente de manière imagée le passage du Soleil à travers les 12 constellations principales tout au long de l’années. Il représente également les 12 mois de l’année, les quatre saisons, les solstices et les équinoxes. Le terme Zodiaque englobe le fait que les constellations étaient anthropomorphiques ou personnifiées avec des formes ou des animaux. Autrement dit, les premières civilisations ne se contentaient pas de suivre le Soleil et les Astres. Elles les personnifiaient avec des Mythes complexes mettant en scène leurs mouvements et leur relation entre eux. Le Soleil, fort de ses qualités qui donnent la vie et la préserve, symbolisait la représentation du créateur invisible ou Dieu. Le Soleil de Dieu, la lumière du monde, le Sauveur de l’Humanité de plus les 12 constellations représente les lieux de passage du Soleil de Dieu. Elles sont identifiées par des noms, correspondant aux éléments naturels qui sont survenus durant cette période de temps. Par exemple, Le Verseau : ” le verseur d’eau “. celui qui apporte les pluies au printemps. Voici Horus, il est le Dieu Soleil de l’Egypte autour de l’an 3 000 avant J-C. Il est l’incarnation de la vie du Soleil racontée dans une série de Mythes allégoriques impliquant le déplacement du Soleil dans le Ciel. A partir d’anciens hiéroglyphes égyptiens, nous en avons appris beaucoup sur le Messie Solaire. Par exemple, Horus qui signifie Soleil ou la Lumière, avait un ennemi appelé Seth. Seth qui était l’incarnation des Ténèbres ou de la nuit. De manière métaphorique, chaque matin Horus gagnait le combat contre Seth. Tandis que le soir, Seth l’emportait sur Horus et l’envoyait dans les enfers. Il est important de rappeler que le combat entre l’Ombre et la Lumière, ou le bien et la mal, constitue une des dualités de la Mythologie la plus omniprésente jamais connue et elle est à ce jour toujours exprimée sous diverses formes. De façon générale, l’histoire d’Horus est la suivante : Horus est né le 25 décembre, d’une vierge Isis Mary. Sa naissance fut aussi celle d’une étoile à l’est que suivirent à leur tour 3 Rois afin de situer et décorer le Sauveur nouveau-né à l’âge de 12 ans il est un enfant prodigue de l’enseignement. A l’âge de 30 ans il est baptisé par une personnalité nommée Anap et commence enfin son règne. Horus avait 12 disciples avec qui il voyagea et réalisa des miracles tel que guérir les malades marcher sur l’eau Horus était connu sous divers noms d’expression comme “la vérité”, ” la lumière “,”le Fils ouint de Dieu”, ” le Berger “, ” l’Agneau de Dieu ” et tant d’autres, après avoir été trahi par Typhon Horus fut crucifier enterré pendant 3 jours puis ressuscité, Les caractéristiques d’Horus, qu’elles soient originelles ou pas, semblent avoir imprégné beaucoup d’autres cultures du monde car il s’avère que beaucoup d’autres Dieux possèdent la même structure mythologique dans son ensemble. Attis en phrygie, est né d’une vierge nommée Nana le 25 décembre crucifier placé une tombe puis ressuscité 3 jours après. Krishna en Inde né d’une Vierge nommé Devaki avec une étoile à l’est signalant sa venue il réalisa des miracles avec l’aide de ses disciples et fut ressuscité après sa mort. Diomysos en Grèce né d’une Vierge le 25 décembre il était un professeur-voyageur et réalisa des miracles tel que changer l’eau en vin. On y fait référence en tant que “le Roi des Rois” ” le Fils unique du père” ” l’Alpha et l’Oméga” et beaucoup d’autres, a sa mort il fut ressuscité. Mithra en Perse né d’une Vierge le 25 décembre, il avait 12 disciples et accomplissait des miracles a sa mort il fut enterré pendant 3 jours puis ressuscité, on y faisait référence dans les expressions comme “La Vérité” ” La Lumière” et d’autres encore curieusement le jour sacré où on rendait grâce à Mithra était le dimanche cela étant dit, il existe quantité de Sauveurs à différentes époques et pourtant dans le monde qui coïncident avec ces trait caractéristiques généraux, une question revient pour quoi ces caractéristiques communes ? pour quoi la Vierge est-elle née un 25 décembre ? pourquoi la mort dure-t-elle 3 jours et s’ensuit une résurrection inévitable ? inévitable ? pourquoi 12 disciples est adeptes ? pour répondre, analysons le plus récent des messies Solaires. Jésus Christ est né de la Vierge Marie un 25 décembre à Béthléem, sa naissance fut annoncée par une étoile à l’est que trois Rois étaient censés suivre afin de localiser et décorer le nouveau Sauveur, il était enfant professeur à 12 ans et à l’âge de 30 ans il fut baptisé par Jean le Baptiste ainsi commença son ministère Jésus eut 12 disciples avec qui il voyagea, il accomplit des miracles tel que guérir les malades, marcher sur l’eau et ressusciter les morts. Il était également connu sous les noms suivants : ” Le Rois des Rois ” ” le Fils de Dieu ” ” La Lumière du monde “” L’Alpha et L’Oméga ” ” L’agneau de Dieu ” etc… Après que son disciple Judas le trahisse et le vende pour 30 pièces d’argent, il fut crucifier et placé dans une tombe puis 3 jours après il fut ressuscité et fit son ascension dans les Cieux pour commencer la succession des naissances est de nature purement astrologique. L’astre se trouvant à l’est Sirius, l’étoile la plus brillante dans le ciel étoilé et qui le 24 décembre saligne avec les trois étoiles les plus brillantes de la ceinture D’Orion, ces trois étoiles brillantes dans la ceinture d’Orion portent les mêmes noms qu’elles portaient dans les temps anciens: Les trois Rois, les trois Rois et l’étoile qui brille le plus : Sirius se dirigent toutes à l’endroit du lever du Soleil le 25 décembre voilà pourquoi les trois Rois suivent cette étoile à l’est, pour localiser l’emplacement du lever du Soleil, la naissance du Soleil. La Vierge Marie représente la constellation de la Vierge, aussi connue sous le nom de Viergo la Vierge. Viergo en latin signifie Vierge, on fait également référence à Viergo quand on parle de “la maison du Pain” et la représentation de Viergo est une Vierge tenant un épi de blé cette maison du pain et le symbole du blé correspondant au mois d’Aoûte et de septembre, le temps des moissons parallèlement Bethléem peut se traduire en réalités littéralement par la “maison du pain”. Bethléem fait donc référence à la constellation de la Vierge ! une position dans le Ciel et non pas sur terre. un autre phénomène très intéressant apparaît autour du 25 décembre, c’est à dire au solstice à partir du solstice d’été jusqu’au solstice d’hiver les jours deviennent plus courts et plus froid du point de vue de l’hémisphère Nord, le Soleil opère un mouvement vers le Sud, il devient plus petit et se fait plus rare. Le raccourcissement des jours et la fin des récoltes à l’approche du solstice d’hiver. Symbolisent le processus de la mort, pour les anciens, c’était la mort du Soleil. Ainsi le 22 décembre la mort du Soleil était entièrement achevée, étant donné que le Soleil s’est déplacé continuellement pendant 6 mois , il atteint son point le plus bas dans le ciel, arrivé à ce stade une chose curieuse se produit: Le Soleil cesse de ce déplacer vers le Sud, ceci est perceptible du mois pendant 3 jours, Pendant ces trois jours de repos le Soleil reste à proximité de la croix du Sud, aussi appelée la constellation de la croix, suite à cette période de temps, le 25 décembre, le Soleil se déplace d’un degré cette fois-ci vers le Nord ce qui annonce des jours plus longs de la chaleur et le printemps, ainsi il fut écrit : le Fils mort sur la croix est mort pendant 3 jours, pour ensuite ressusciter et naître à nouveau, voilà pourquoi Jésus et nombre d’autres Dieux du Soleil ont en commun la crucifixion, la mort des 3 jours puis le concept de résurrection. Elle correspond à la période de transition du Soleil avant qu’il emprunte le chemin inverse ver l’Hémisphère Nord lorsqu’il apporte le printemps et la providence, cependant, on ne célébrait la résurrection du Soleil qu’à partir de l’équinoxe du printemps autrement dit à Pâques, ceci s’explique par le fait qu’à l’équinoxe de printemps le Soleil l’emporte officiellement sur l’obscurité malveillante et à mesure que la durée du jour devient plus importante que la nuit, les conditions favorisent la vie au printemps réapparaissent, ce qui nous amène à la symbolique astrologique visiblement la plus répandue concernant Jésus ! Les 12 disciples, ils correspondent en réalité aux 12 constellations du Zodiaque. Jésus étant le Soleil, il voyage avec elles, dans le faits, le nombre 12 revient souvent tout au long de la Bible. Revenons à la croix du Zodiaque, qui est la vie symbolisée du Soleil ., ça n’était pas qu’une simple expression artistique ou un outil visant à suivre le mouvement du Soleil, c’était un symbole spirituel païen dont la simplification ressemblait à cela: ce n’est pas un symbole du christianisme, c’est en fait une adaptation païenne de la croix du Zodiaque, c’est pourquoi dans l’art culturel ancien, Jésus est toujours représenté avec une croix , derrière la tête, car Jésus est le Soleil, le Fils de Dieu, la Lumière du monde, le Sauveur ressuscité ça revient toujours comme il le fait tous les matins avec la gloire de Dieu qui protège de l’oeuvre des Ténèbres, en renaissant tous les matins. On peut le voir à travers les nuages, dans les cieux avec sa couronne d’épines ou aussi des rayons de Soleil, parmi les nombreuses métaphores astrologiques ou astronomiques de la Bible, une des plus importantes concerne les époques, tout au long des textes sacrés, il existe une quantité considérable de références à l’époque, afin d’en saisir le sens, il faut se familiariser avec ce phénomène connu sous le nom de la précession des équinoxes. L’Egypte ancienne aussi que d’autres cultures bien plus anciennes, on remarqué que tous les 2150 ans environ, au matin de l’équinoxe de printemps, le lever du Soleil se produit sous différents signes du Zodiaque selon l’époque, cela est dû au lent mouvement angulaire que la terre maintient lors de la rotation sur son axe, on le qualifie de “précession” car les constellations vont dans le sens inverse au lieu de réaliser le cycle annuel normal, le temps nécessaire à la précession pour parcourir les 12 signes est de 25765 année environ, on l’appel aussi la “Grande Année” et les sociétés anciennes étaient très au courant de ce phénomène, Elles attribuaient à chaque période de 2150 ans une époque, de 4300 ans avant J-C se trouvait l’âge du Taureau, signe du Taureau. De l’an 250 avant J-C à l’an 1 de notre ère, c’est l’âge du Bélier, sous le signe du Bélier. Puis de l’an 1 à l’an 2150 c’est l’âge du poisson, époque dans laquelle nous sommes de nos jours, ensuite aux alentours de 2150 nous entrerons dans une nouvelle ère : l’âge du Verseau, par conséquent, la Bible reflète de façon générale le mouvement symbolique à travers 3 âges tandis qu’elle annonce leur ordre,*** dans l’ancien Testament lorsque Moïse descend du Mont Sinaï avec les 10 commandements, il est très en colère de voir son peuple en adoration devant un agneau en Or. Il à donc brisé les tablettes en pierre puis il poussa son peuple à s’entretuer afin de les purifier, beaucoup de spécialistes de la Bible attribuent cette colère au fait que les Israéliens priaient une fausse idole ou quelque chose de ce genre, en réalité, le Taureau en Or symbolisait Taurus le Taureau. Puis Moïse représente le nouvel âge du Bélier, c’est du Bélier. C’est pourquoi les Juifs encore aujourd’hui soufflent dans la corne du Bélier. Moïse représente le nouvel âge du Bélier. A l’arrivée d’un nouvel âge tous doivent oublier l’ancien âge. D’autres divinités opèrent aussi ce genre de transitions, par exemple Mithra, une divinité préchrétienne, tue le Taureau dans le même symbolique. Quand à Jésus, il est la figure qui escorte vers l’âge qui succède au Bélier: L’âge du Poisson ou les Poissons. La symbolique du Poisson est très présente dans le nouveau Testament. Jésus nourrit 5000 personnes avec du pain et deux poissons. Au commencement de son Ministère, alors qu’il parcourt la Galilée, il vient en aide à deux pêcheurs qui le suivent, nous connaissons tous cet autocollant à l’arrière de leur voiture. Peu d’entre eux connaisse sa signification véritable, c’est un symbole astrologique païen qui représente le règne du Soleil pendant l’âge du Poisson. De plus, la naissance la plus couramment acceptée correspond exactement au début de cet âge, dans Luc 22:10 quand ses disciples demandent à Jésus quand se situera la prochaine Pâques après qu’il disparaisse, Jésus répond: ” lorsque vous enterrerez dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau…” ” Suivez-le dans la maison où il entrera” ces écrits sont de loin les plus parlantes de toutes les références astrologiques. L’homme qui porte la cruche d’eau est “Le Verseau “: celui qui verse l’eau, Il est aussi représenté comme l’homme versant la cruche d’eau . Il correspond à l’âge qui se trouve après le Poisson, lors ce que le Soleil (le Fils de Dieu ) sort de l’ère du Poisson (Jésus), il rentre dans la Maison du Verseau. Tout comme le Verseau succède au Poisson dans la précession des équinoxes, Jésus vient simplement dire qu’après l’ère du Poisson viendra l’ère du Verseau. Nous avons tous entendu parler de la ” Fin des Temps ” et de la ” Fin du Monde “. Sans tenir compte de la description imagée de peinte dans le livre des Révélations , l’essence même de cette idée vient des écrits de Mathieu 28:20 ou Jésus dit : ” Je suis avec vous, tous les jours jusqu’à la fin du Monde ” Cependant dans la version du Rois Jacques: le mot ” Monde” est une erreur de traduction, parmi tant d’autres, le mot employé dans le texte original est “aeon” qui veut dire “ère”,” Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin de cette ère “, ce qui est vrai car l’incarnation Solaire de Jésus en Poisson se termine, par l’entrée du Soleil dans l’ère du Verseau. Le concept entrer de “Fin du temps” ou de ” Fin du Monde” résulte de l’interprétation erronée d’une allégorie astrologique. Allez dire cela aux 100 millions de personnes aux U.S.A qui croient à l’arrivée de la Fin du Monde, en outre, le personnage de Jésus résultant d’un mélange littéraire et astrologique est de manière plus explicite un plagiat du Dieu du Soleil égyptien Horus, par exemple, sur les murs du Temple de Louxor en Egypte on retrouve des inscriptions datant de 3500 ans, des images de l’Annonciation, de l’Immaculée Conception, de la naissance et de l’adoration d’Horus. Les images commencent par une pensée annonçant à la Vierge Isis qu’elle vas mettre au monde Horus, puis Neith, le Saint Esprit, fécondant la Vierge puis ensuite la naissance de la Vierge et l’adoration. C’est exactement l’histoire du miracle de la conception de Jésus. A vrai dire, les similitudes littéraires entre la religion égyptienne et la religion Chrétienne sont édifiantes. le plagia est continu. L’Histoire de Noé et de lArche de Noé est directement issue de cette tradition. Le concept de pluie Diluvienne est omniprésent dans l’Antiquité avec pas moins de 200 citations qui se chevauche, à différentes époques. Cependant, il ne faut pas remonter bien loin pour trouver une source préchrétienne dans l’Epopée de Gilgamesh, écrite en 2600 avant J-C. Ce récit parle d’une pluie diluvienne commandée par Dieu, d’une Arche avec des animaux à son bord et même d’un lâcher et du retour d’une colombe, tous ont des points communs avec l’Histoire Biblique parmi d’autres vraisemblances, puis il y a le plagiat de l’Histoire de Moïse. Concernant la naissance de Moïse il est écrit qu’il fut placé dans un panier en roseau et laissé à la dérive dans un fleuve afin d’échapper à l’infanticide. Il fut ensuite recueilli par une fille de la royauté puis élevé par elle comme un prince, cette histoire d’un bébé et d’un panier s’est inspirée directement du Mythe de Sargon d’Akkad, qui date d’environ de 2250 ans avant J-C. Sargon naquit et fut placé dans un panier d’osier afin d’éviter l’infanticide puis laissé à la dérive dans un fleuve. Il à ensuite été recueilli et élevé par Akki,une sage-femme de la royauté: De plus Moïse est connu comme le législateur, le donateur des Dix commandements, néanmoins, l’idée de transmission de la loi par Dieu à un prophète du haut d’une montagne constitue un thème ancien, Moïse n’est qu’un législateur parmi une longue lignée de législateurs dans l’histoire de la mythologie, En Inde, Manou était le grand législateur, en Crète, Minos gravit le Mont-Dikta où Zeus lui donne les lois sacrées. Tandis qu’en Égypte c’est Minos qui porte les tables en pierre sur les quelle sont gravées les lois de Dieu, pour ce qui est des Dix commandements, ils seraient tirés du Spell 125 dans le livre des morts égyptien, dans le livre de la Mort l’expression ” je n’ai pas volé “, devient ” Tu ne voleras pas ” je n’ai pas tué ” devient ” Tu ne tueras point “, ” Je n’ai pas raconté de mensonges ” devient ” Tu ne devras pas faire de faux témoignages ” ainsi de suite, en résumé, la religion égyptienne est probablement à la base du fondement de la théologie Judéo-Chrétienne. Baptême au-delà du Jugement dernier. Naissance de la Vierge. Résurrection. Crucifixion. Arche d’alliance. Circoncision. Sauveurs. Communion. Déluge. Pâques. Noël pâque Juif et bien d’autres encore sont attribués aux idées de l’Egypte, bien avant la chrétienté et le Judaïsme, Justin Martyr, un des premiers historiens et défenseur chrétien écrivit : ” lorsqu’il est dit que Jésus Christ notre maître a été conçu sans union sexuelle,” ” a été crucifié, mort et ressuscité à nouveau puis qu’il est monté au Ciel,” ” nous n’avançons rien de différent de nos croyances concernant les fils de Jupiter ( le Dieu ) ” dans un autre écrit, Justin Martyr dit : ” Il est né d’une Vierge, acceptez ce point en commun avec vos croyances en ( le Dieu ) Perseus ” Il est évident que Justin et d’autre précurseurs chrétiens savaient à quel point le christianisme et les religions païennes se ressemblent : Mais Justin trouva une solution. Selon lui, c’est le Diable qui est responsable, le Diable avait prévu de venir devant le Christ pour influencer le monde païen. Des intégriste chrétiens, fascinant ! ces gens là croient réellement que la Terre est âgée de 12 000 ans. Je le jure devant Dieu ! j’ai alors posé la question à un d’entre eux, et les fossiles de Dinosaures ! Il à répondu : ” Des fossiles de Dinosaures ? c’est Dieu qui les as inventés pour tester notre foi,” Et moi je crois que Dieu qui t’a mis ici pour tester ma foi,” C’est par où l’Arche ? ” La Bible n’est rien de plus qu’un hybride littéraire astrologique ainsi que tous les autres mythes religieux avant elle, en fait, cette transmission d’une caractéristique d’un personnage à un autre est présente dans le livre en lui même. Dans l’Ancien Testament est racontée l’histoire de Joseph, Joseph n’était que le prototype de Jésus, Joseph est né d’une naissance miraculeuse, Jésus est né d’une naissance miraculeuse, Joseph avait 12 frères, Jésus avait 12 disciples, Joseph fut vendu pour 20 pièces d’argent, Jésus fut vendu pour 30 pièces d’argent, frère Juda suggère de vendre Joseph, disciple Juda suggère de vendre Jésus, Joseph commença son oeuvre à l’âge de 30, Jésus commença son oeuvre à l’âge de 30, les coïncidences se poursuivent encore, en plus de cela, y-a t-il déjà eu une seule preuve non, biblique de quelqu’un vivant sous le nom de Jésus, le fils de Marie voyageant avec 12 adeptes, guérissant la population, ou autres ? Il y avait une grande quantité d’historiens qui vivaient sur et autour de la Méditerranée soit pendant, soit vite après l’existence supposée de Jésus, combien parmi eux relatent l’existence de ce personnage ? Pas un seul, pourtant pour être juste, ça ne veut pas dire que les défenseurs du Jésus historique n’ont pas prétendu le contraire, il existe 4 historiens aux quels on fait référence pour justifier de l’existence de Jésus, Pline le jeune, Suetonius et Tacitus sont les 3 premiers, chacune de leurs inscriptions se limite ou mieux à quelques mots, elle font uniquement référence à Christus ou au Christ qui en réalité n’est pas un nom mais un titre cela signifie ” l’oint de Dieu “. La quatrième source est Josephus, et il a été prouvé pendant des siècles quelle était fausse malheureusement elle est toujours considérée comme la vérité, ne pensez-vous pas qu’un type ressuscité d’entre les morts puis monté au Ciel devant les yeux de tous et qui aurait fait une foule de miracles qu’il revendique, n’aurait pas marqué davantage la mémoire historique ? Ce ne fut pas le cas, car une fois qu’on pèse le pour et la contre il y a très peu de chance pour que Jésus ait réellement existé. ” La religion chrétienne n’est qu’une parodie du culte du Soleil ” ” dans laquelle on a mis le nom du christ à la place du Soleil ” ” et à qui on a voué un culte originellement voué au Soleil ! Thomas Pline 1737-1809 Nous ne cherchons pas à être méchant, mais il faut s’en tenir aux faits. Nous ne souhaitons pas heurter les sentiments de certains mais nous voulons rester académiquement corrects dans ce que nous comprenons et tenons pour vrai. Le christianisme n’est tout bonnement pas basé sur la vérité, nous trouvons que la chrétienté est en fait rien de plus qu’une histoire romancée développée politiquement la réalité c’est que Jésus était la divinité du Soleil de la secte gnostique du christianisme et comme tous les Dieux païens il était un personnage de la mythologie. C’est la classe politique de l’époque qui vit un intérêt d’utiliser l’histoire du personnage de Jésus pour contrôler la société, en l’an 325 après J-C à Rome, l’Empereur Constantin réunit le concile de Nicée. C’est au cours de ce rassemblement que les doctrines politiques du christianisme furent établies, et ainsi commença la longue histoire spirituelle. Et pendant les 1600 prochaine années, le Vatican maintint son emprise politique sur toute l’Europe, nous conduisant vers des époques aussi joyeuses que l’âge des Ténèbres ou vers des événements rayonnant comme les croisades et l’Inquisition. Le christianisme ainsi que d’autres systèmes de croyances théologiques sont des impostures de l’histoire. Elles visent à couper les espèces du monde naturel et diviser les hommes entre eux. Elle soustrait la soumission aveugle à l’autorité, elle réduit la responsabilité de l’homme au fait que Dieu contrôle tout et qu’en échange, d’atroces crime sont justifiés au nom de projets divins, plus important à ceux qui connaissent la vérité et utilisent le mythe afin de manipuler et contrôler les Sociétés, le Mythe religieux est un des dispositifs les plus puissants jamais créés et sert de terrain psychologique sur lequel d’autres mythe peuvent s’enraciner, le Mythe, c’est une idée communément acceptée mais fausse. De manière plus approfondie et au sens religieux, un mythe se sert d’une histoire qui oriente et catalyse le peuple. L’intérêt n’est pas tant dans la relation entre l’histoire et la réalité mais sur sa fonction, une histoire ne peut fonctionner qu’a condition que la communauté ou la nation croient en cette vérité. Il ne s’agit pas de juger si c’est mal que les gens questionnent la vérité ou l’histoire sacrée, car les gardiens de la foi n’entrent pas dans ce débat avec eux, Ils les ignorent, ou les traitent de blasphémateurs selon vous c’est mal blasphématoire et c’est un péché que de conseiller, de s’impliquer ou d’aider la population et de conclure que c’est le gouvernement des U.S.A qui à tué 3000 de ses citoyens.

    Horus

    Horus est l’appellation grecque d’une des plus anciennes divinités égyptiennes, le dieu faucon hr, dont le nom signifie probablement Celui qui est au-dessus ou Celui qui est lointain. Le culte d’Horus remonte sans doute à la préhistoire, car la liste royale du papyrus de Turin qualifie de Suivants d’Horus les rois légendaires qui gouvernèrent l’Égypte après le règne des dieux. Aux débuts de l’époque historique, le faucon sacré est figuré sur la palette du roi Narmer et dès lors il sera constamment associé à la monarchie pharaonique.

    Le 22 juin 1633, au couvent dominicain de Santa-Maria, la sentence est rendue : Galilée est condamné à la prison à vie (peine immédiatement commuée en résidence à vie par Urbain VIII) et l’ouvrage est interdit. Il prononce également la formule d’abjuration que le Saint-office avait préparée :

    « Moi, Galiléo, fils de feu Vincenzio Galilei de Florence, âgé de soixante dix ans, ici traduit pour y être jugé, agenouillé devant les très éminents et révérés cardinaux inquisiteurs généraux contre toute hérésie dans la chrétienté, ayant devant les yeux et touchant de ma main les Saints Évangiles, jure que j’ai toujours tenu pour vrai, et tiens encore pour vrai, et avec l’aide de Dieu tiendrai pour vrai dans le futur, tout ce que la Sainte Église Catholique et Apostolique affirme, présente et enseigne. Cependant, alors que j’avais été condamné par injonction du Saint Office d’abandonner complètement la croyance fausse que le Soleil est au centre du monde et ne se déplace pas, et que la Terre n’est pas au centre du monde et se déplace, et de ne pas défendre ni enseigner cette doctrine erronée de quelque manière que ce soit, par oral ou par écrit; et après avoir été averti que cette doctrine n’est pas conforme à ce que disent les Saintes Écritures, j’ai écrit et publié un livre dans lequel je traite de cette doctrine condamnée et la présente par des arguments très pressants, sans la réfuter en aucune manière; ce pour quoi j’ai été tenu pour hautement suspect d’hérésie, pour avoir professé et cru que le Soleil est le centre du monde, et est sans mouvement, et que la terre n’est pas le centre, et se meut. Galilée n’aurait jamais prononcé le fameux « Et pourtant elle tourne » (Eppur si muove)

  • zaan , 4 décembre 2013 @ 19 h 22 min

    des différences ne suffisent pas a justifier le terme race.
    une race c’est quand une espèce domestique une autre espèce.
    donc pas de races d’humains.
    le socialisme une dérive des idées chrétienne?
    en quoi l’égalitarisme prôné par le socialisme est comparable et encore mieux une dérive de l’intolérance du christianisme?
    et le christianisme est une dérive de quelles idées?
    les religions ont toutes la meme source, les superstitions chamaniques venues depuis la préhistoire qui ont par tradition orale évoluées différemment selon les interprétations qui en ont été faites par les différents groupes de population qui se sont séparé du groupe commun en allant dans différentes régions.
    c’est comme le téléphone arabe si vous voulez.
    un généticien ne pourra pas vous dire si la personne est juive chrétienne, musulmane ou agnostique. il pourra avoir des indices en sachant d’ou vient la personne.

  • Guillermo , 4 décembre 2013 @ 21 h 18 min

    Je ne suis pas tout à fait d’accord avec l’article, à cause surtout de raccourcis sur les divisions entre chrétiens indo-européens et sémites. En effet, il s’est avéré, et cela a été confirmé par les discussions entre le Vatican et les églises non-chalcédoniennes, que ces dernières n’ont jamais été monophysites, mais myaphysites, ce n’était qu’un problème de formulation, et cela a été définitivement tranché entre Paul VI et Chenouda III. En outre, n’oublions pas que les sources parlant de l’Incarnation (les Evangiles) ont majoritairement été écrites d’abord en araméen, donc par des Sémites, comme l’ont montré les découvertes archéologiques. Que l’auteur conteste le dogme comme quoi les races n’existent pas, d’accord, mais attention aux raccourcis simplistes !

  • catherine , 4 décembre 2013 @ 22 h 10 min

    Ne croyez vous pas que cela vient aussi du fait que le christianisme naissant est millénariste et croit à la fin du monde à venir rapidement (cette génération ne passera pas). Dans ce cas, l’attitude est le renoncement à tout ce qui est humain (matérialisme, instinct de survie) en prévision de la fin, pour l’entrée dans le royaume. En un mot, on abandonne son corps et son or pour se préparer au Ciel. C’est pourquoi, ce renoncement qui était acceptable sur du court terme devient très difficile sur le long terme ?

  • Alex , 4 décembre 2013 @ 23 h 08 min

    Je commence à me demander si NDF est un blog vraiment sérieux, au vu des auteurs qu’il publie. .. Déception. .. Je vais aller voir ailleurs.

  • Eric Martin , 4 décembre 2013 @ 23 h 11 min

    Rien ne vous retient, Alex. Ici, nous n’aimons pas le sectarisme, d’où qu’il vienne…

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