Eric Zemmour sur le Front national : «Cohabitation rime avec concession, compromission, capitulation. Et dédiabolisation avec banalisation»

Dans cette tribune vidéo réalisée pour Le Figaro et publiée vendredi, Eric Zemmour s’en prend à la volonté de Marine Le Pen de participer à une cohabitation et s’étonne de la timidité du FN sur la question de l’immigration (alors que celle-ci est plus consensuelle que jamais) et de son étatisme en matière économique :

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14 Comments

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  • Alainpsy , 5 septembre 2014 @ 12 h 36 min

    C’est en 2017 que tout se jouera, et il faudra avoir des réponses crédibles pour réveiller
    l’espoir, un programme très précis, pas des promesses de socialistes. C’est maintenant que l’audace et la pertinence se façonnent, il faut imposer un ordre nouveau sur ce qui sera un champ de ruines. La cohabitation, c’est bien trop poussif et grotesque, cette démocratie agonise, n’allons pas nous rendre malades avec elle.

  • Charles , 5 septembre 2014 @ 13 h 03 min

    Sur ce point le grand Z me surprend en mal.
    Il connait trop bien le système de l’intérieur pour ne pas connaitre
    tous les pièges qui attendent Marine pour la présidentielle de 2017.

    Donc, une nouvelle majorité souverainiste au parlement et donc à Matignon
    en 2015 constitueraient l’étape intermédiaire nécessaire pour aborder les présidentielles.
    Un des préalables consistera à dégager les rats cachés dans les fromages
    de la rippoublike.

    ceci étant,je ne crois pas trop dans les vertus de la présidentielle et de la Veme ripoux

  • Vautrin , 5 septembre 2014 @ 13 h 52 min

    Mais il faut que tout je joue dans les trois mois qui viennent ! C’est une question de vie ou de mort !
    Peut-on encore faire confiance à un système de votes parfaitement truqué pour ramener bonnet-blanc ou blanc-bonnet ?
    Non ! Il n’y a qu’une solution, désormais : squeezer les institutions et passer à l’insurrection populaire.
    C’est ce seul moyen, déjà évoqué par Tocqueville au XIXe, qui nous reste aujourd’hui. Alors cessons de jouer le jeu des partis : ce sont des brigands de la même engeance, qui dupent le peuple. Je crois qu’un comique disait que si le vote pouvait changer quelque chose, il serait depuis longtemps interdit. À méditer !

  • Pitt , 5 septembre 2014 @ 16 h 50 min

    Il faut un soulèvement populaire mais quand ceux qui sont censés l’initier à part en parler entre eux derrière un clavier sont pas fichus de s’organiser pour agir. Ben c’est pas la peine d’y penser non plus.

  • domremy , 5 septembre 2014 @ 17 h 06 min

    beaucoup de souverainistes comme NDA , n osent pas trop l avouer de peur d être éjecter, seule MARINE ose le dire,
    c est donc a NDA et a d autres de se reveiller

  • Alainpsy , 5 septembre 2014 @ 19 h 21 min

    Quand vous parlez d’insurrection populaire, je n’y suis pas opposé, c’est tentant en effet, mais vous oubliez un détail fondamental: le peuple, au sens de solidarité, est à reconstruire, il faut lui redonner son identité. Pour l’instant c’est du chacun pour soi, avec une colère qui nous fédère, mais ça n’est pas suffisant, d’autant qu’en cas d’insurrection populaire, il y a toute une autre population, avec des visées différentes des nôtres, qui risque aussi de vouloir occuper la rue et rendre notre combat plus que confus. Il faut tracer une voie, claire et précise, pour laquelle toute insurrection devient alors un effort salvateur vers un but identifié. Sinon, c’est l’anarchie, c’est un joli rêve mais sur le terrain c’est vite un cauchemar. A méditer…

  • Xav , 5 septembre 2014 @ 19 h 57 min

    Avec l’anarchie, ce serait vite le cauchemar, mais, au moins, le cauchemar pour tous…

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