Pour l’acteur Jeremy Irons, le «mariage» homo mène au mariage entre père et fils

Invité sur le plateau du Huff Post Live le 3 avril dernier, l’acteur britannique Jeremy Irons explique “[avoir] l’impression que, maintenant, on se bat pour le mot [mariage] et [craindre] que cela ne détourne le mariage de son sens ou que cela le change”. Car “c’est intéressant d’un point de vue fiscal”. Aussi, “un père pourrait-il épouser son fils ?” s’interroge-t-il. En effet, “entre hommes”, “ce n’est pas de l’inceste”, “l’inceste prévient la consanguinité mais les hommes n’enfantent pas, donc cela ne tombe pas dans la catégorie de l’inceste”. “Si c’était ainsi que je voulais transmettre mon patrimoine à mon enfant, sans payer de taxes, je pourrais épouser mon fils”, ose-t-il.

Se défendant de toute homophobie sur son blog, Jeremy Irons explique qu’il maintient ses déclarations parce que son raisonnement est “valide”.

Lire aussi :
> Le mariage gay, question sociale ou fiscale ?

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9 Comments

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  • isaie , 9 avril 2013 @ 8 h 31 min

    Les dénominations disparaîtrons vraisemblablement mais surement pas l’Eglise. Cependant, la véritable Eglise disparaîtra aussi un jour de dessus la terre mais alors là, ce sera aussi la fin des temps et le règne de justice et de fermeté sur ce qui restera d êtres humains sur la planète.
    Je puis dire, sans crainte de me tromper que ce ne sera pas dans un avenir si lointain que cela. En effet, actuellement, nous assistons à la période que l apôtre Paul nomme apostasie.
    Toutefois, le retour d Israël dans son pays marque la fin des temps, l Islam renaissant et meurtrier est aussi prédit par la Bible. La Russie, blessée à mort renaît pour reconstruire son ancien empire d une manière différente mais terrible. Tout cela est décrit dans le livre d Ézéchiel ch.37 et 38 et la finalité la plus précise dans le livre de Zacharie ch. 14. L Apocalypse ne fait que de décrire tous ces faits dans des termes plus ou moins symboliques mais avec une extrême précision

  • Murex64 , 9 avril 2013 @ 8 h 56 min

    Le projet de Bruxelles : Les garçons jouer avec des jouets de fille, les filles des jouets de garçon !
    En un mot sissification ( girlboy ), de la société.

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