Quand les migrants laissent des traces !

La réalité est cruelle, désespérante. Elle nous renvoie toujours à l’humain que Buffon définissait ainsi : loquens, erectum, bimanum. Ainsi, ceux que les médias nous présentent comme des victimes du terrorisme de l’Etat islamique ou du tueur sanguinaire Bachar el-Assad, seraient des personnes cultivées, et intellectuellement cortiquées. Rien à voir avec ces mouvements migratoires qui commencèrent avec l’arrivée des Huns dans l’Est de l’Europe centrale aux environs de l’an 375 et se poursuivirent avec celles des Lombards en Italie en 568 et des Slaves dans l’Empire romain d’Orient, en 577. Las, les quelques photos que nous soumettons à l’appréciation de nos lecteurs attentifs, montrent l’autre visage de la migration sauvage actuelle, d’aucuns diraient son vrai visage. Lesdites photos du camp dont il est question ici, laissent en effet craindre le pire. Que dire de ces femmes et de ces hommes civilisés qui abandonnent leur nourriture, payée par des fonds européens, ou qui souillent les tentes, le matériel ou les bus mis à leur disposition pour les transporter de Hongrie en Autriche ? Avant de penser à construire des milliers de nouveaux logements, l’Allemagne qui s’apprête à accueillir 1,5 million de réfugiés, devrait peut-être envisager d’installer des milliers de sanisettes gratuites dans tout le pays. Il faut également se souvenir qu’avec plus de 465.000 arrivants en 2013, l’Allemagne était déjà devenue la deuxième destination du monde pour les émigrés, derrière les États-Unis, selon l’OCDE. Nous comprenons maintenant pourquoi François Hollande tient absolument à se rapprocher de la chancelière allemande : Veolia Propreté, division de Veolia Environnement, multinationale française, a un marché à prendre ! Une bien curieuse façon de relancer l’économie française.