L’hebdo politique #5 avec Bérénice Levet : sexe, fric et politique

Après l’affaire du producteur hollywoodien, Harvey Weinstein, le harcèlement dans la classe politico-médiatique défraie la chronique. Si l’on en croit les journalistes, toutes les femmes seraient ou seront victimes d’attaques masculines à caractère sexuel. Il faut à tout prix condamner cette nouvelle catégorie de prédateurs tout désignés: les hommes blancs de plus de 50 ans. C’est ainsi que l’Inquisition s’empare de Twitter pour mêler autour du #balancetonporc, véritables prédateurs sexuels et hommes qui se risquent encore à aborder les femmes. Un mélange des genres pervers qui décrédibilisent les vraies victimes tout en bousculant les relations sociales entre les hommes et les femmes. Dans ce numéro de la “Semaine Politique”, Elise Blaise reçoit Bérénice Levet et interroge Elisabeth Lévy pour décrypter l’unanimisme qui s’est emparé de la classe politique, où, à force d’obsession de l’égalité Femmes – Hommes, l’on crée une société où les deux s’affrontent :

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1 Comment

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  • Tiernvael , 10 novembre 2017 @ 12 h 06 min

    Tout ceci est plus au moins le résultat de la libération sexuelle de mai 68, responsables aussi les couturiers qui ont lancé des modes comme la mini-jupe, démontrez-moi que ce n’est pas tenter les hommes. La traduction actuelle du “Notre Père” dit “ne nous conduit pas à la tentation”, comme si c’était le bon Dieu qui tentait les hommes, l’ancienne traduction disait “Ne nous laisser pas succomber à la tentation”. Nous sommes tentés en permanence, l’important c’est de ne pas y succomber, ou de limiter les objets de tentation. Pour ce qui est de la tentation par les femmes les musulmans ont trouvé la solution, ils enferment les femmes dans une prison de tissu (burka, burkini, hidjab, nikab, jilbab, tchador…). Après ça bien sur, toutes les femmes européennes sont pour eux des putes comme l’a très bien dit Charlotte d’Ornellas dans une des émissions de TVL.

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