Non au catholiquement correct !

À mon ami Nicolas M. Pour sa foi pure en Christ mais aussi pour son acceptation lucide des vérités historique.

Cette missive est une réaction à l’article « Non, nous ne sommes pas des Gaulois ! » de François Falcon qui, parce que croyant probablement qu’il n’y a pas de salut hors du catholicisme, écrit de véritables inepties.

1) Oui nos ancêtres étaient des Gaulois !

Pour l’heure, les études historiques et archéologiques montrent que la masse globale vivant sur le territoire de France, depuis le néolithique jusqu’à nos jours et, donc, aux bouleversements migratoires extra-européens, fut « italo-celtique ». Une ethnie proche des italiens dans le sud de la France et une ethnie celtique au-dessus de la Loire. La notion de « Gaulois » comprend cet ensemble et n’a jamais vraiment varié jusqu’aux bouleversements des années 70. La domination de l’Empire romain puis des tribus franques était surtout politique et non démographique. Il s’agissait en réalité de petits groupes militaires qui furent absorbés à terme par la masse. Ces propos émanent d’études très sérieuses notamment d’historiens catholiques tels que René Grousset ou Lucien Jerphagnon.

2) Concernant Clovis

N’importe quel livre d’histoire, même catholique, a l’honnêteté de reconnaître que Clovis et ses soldats, qui furent païens, se convertirent au catholicisme avant tout pour se concilier avec l’élite gallo-romaine qui était déjà chrétienne et qui détenait toute l’administration de l’époque issue de l’Empire romain. Les évêques, tels que Saint Rémi de Reims qui eut une influence décisive dans la conversion de Clovis, étaient les énarques et préfets de l’époque. Seul Dieu, qui connaît le secret des cœurs, sait si des convictions plus spirituelles pesèrent dans ce choix qui fut avant tout politique. L’élite administrative gauloise était chrétienne avant l’élite politique franque et ce, pour la simple et bonne raison que, depuis l’empereur Théodose – qui imposa le christianisme comme religion d’État à tout l’Empire romain (et persécuta les païens) -, seuls les chrétiens pouvaient devenir fonctionnaires.

De plus, pour donner une image percutante mais nécessaire pour comprendre ce que sont les Allemands et une partie de leurs ancêtres qu’on appelle les Francs, disons que Clovis, qui fonda la dynastie des Mérovingiens, et Charles Martel, qui engendra celle des Carolingiens, furent des Adolf Hitler ayant réussi ! En effet, comme l’explique très bien la politologue Marie-France Garaud, les Allemands qui ne connaissent aucune frontière physique mais uniquement des plaines à perte de vue n’ont jamais ressenti la nécessité de la frontière à la différence des Gaulois limités par les montagnes et les mers.

C’est pour cette raison qu’ils n’ont eu de cesse d’envahir toute l’Europe, de l’Empire romain jusqu’à l’Union européenne en passant par les Empires carolingien, romain germanique et bismarckien, les ordres teutoniques et les deux Guerres mondiales ! Ils furent les seuls à s’étaler de la France aux confins de la Roumanie et des pays baltes actuels !

3) Napoléon III, un anti anticlérical ?

François Falcon semble dire que Napoélon III fut un anticlérical. Je pense qu’un livre d’histoire sur la période du Second Empire s’impose. Bien qu’il fût agnostique, l’Empereur a toujours été plus que très bienveillant envers les catholiques afin d’asseoir son pouvoir. Il a toujours soutenu l’Église financièrement, à tel point que c’est sous son règne que la France connut le plus grands nombre de prêtres, de moines et de monastères ! Son fils fut miraculeusement sauvé par l’eau de Lourdes et c’est pour cette raison qu’il reconnut les apparitions de la Vierge par Sainte Bernadette Soubirous avant l’autorité ecclésiale, qui y était réticente !

4) Christianisme et colonisation

François Falcon dit : « la colonisation fut aussi l’œuvre de Napoléon III et des républicains anticléricaux ». Soit il est d’une profonde malhonnêteté, soit il est d’une inculture historique crasse. La colonisation française commença réellement avec la conquête de l’Algérie. Quand se déroula cette conquête ? En 1828. Et qui régnait à ce moment-là ? Le roi très catholique (après avoir été un incroyable coureur de jupons) Charles X.

Mais cette conquête était l’œuvre de militaires qui ont toujours respecté les tribus arabo-berbères, leur religion, l’islam sunnite, et leur mode de vie. Ils n’essayèrent jamais de les convertir au catholicisme ou à leur manière d’être. Ce respect se maintint sous le Second Empire où Napoléon III déclara qu’il était l’Empereur des Français et des Arabes pour bien marquer la différence des deux civilisations. C’est la IIIe République qui bâtit en brèche ce respect, en tentant d’assimiler les Arabo-berbères puis les Africains sub-sahariens, avec les résultats désastreux que nous payons encore chèrement aujourd’hui. Mais, n’en déplaise aux catholiques, la IIIe république laïcarde et anticléricale bénéficia d’une aide décisive de la part des missionnaires catholiques dans ce nivellement assimilateur.

Comme le rappelle l’africaniste Bernard Lugan dans le numéro spécial consacré aux 50 ans de l’Algérie de sa revue Afrique réelle, le cardinal Lavigerie (1825-1892) qui fut l’artisan du ralliement des catholiques à la République et le fondateur des missionnaires Pères Blancs, écrivit au garde des Sceaux du gouvernement Gambetta (qui avait aussi compétence dans la gestion algérienne) Adolphe Isaac Crémieux une lettre intitulée « Notes de L’Algérie » où il demanda des terres pour les colons européens dont l’immigration selon lui devait s’intensifier, ainsi que l’abolition des bureaux arabes instaurés par les militaires qui respectaient la culture des indigènes et notamment les systèmes tribaux et polygames, ou encore la spoliation des terres indigènes afin d’installer une administration directe de type jacobin. Ces mesures mises en œuvre par la République provoquèrent les désagrégations des liens tribaux et l’émergence de l’individualisme (tout relatif) qui réjouissaient le conquérant nordique.

Les industriels (ancêtres de nos multinationales) pensaient qu’il était ainsi plus facile de piller les ressources minières africaines pour nourrir la révolution industrielle, les républicains voyaient un moyen d’assimiler les africains aux principes républicains et les missionnaires catholiques savaient qu’il est beaucoup plus aisé de convertir des individus après les avoir arrachés à leur culture et leur croyance. Si l’évangélisation fut un échec au Maghreb, elle fut un succès en Afrique subsaharienne où de très nombreux temples animistes furent détruits (allant jusqu’à un véritable génocide culturel à Madagascar) et où tous les systèmes tribaux qui régulaient la démographie furent abolis, permettant avec la révolution médicale, pétrie de valeurs chrétiennes devenues folles, l’explosion démographique démentielle qui tue le continent noir – et l’Europe par contrecoup ! Avant l’arrivée des euro-chrétiens en Afrique, il y avait 200 millions d’individus qui vivaient dans l’abondance de nourriture, aujourd’hui ils sont presque un milliard avec plus de 100 millions de miséreux.

Dois-je rappeler à François Falcon que la République française ne fut pas seule dans la colonisation africaine mais en compétition avec les monarchies catholique belge, protestante allemande et anglicane britannique qui envoyèrent toutes leurs missionnaires ? La baronne danoise Karen Blixen, dans son chef-d’œuvre Out of Africa, dénonça aussi le rôle délétère des missionnaires protestants au Kenya.

Et ce qui se passa en Afrique au XIXe siècle se déroula aussi en Inde de l’empire britannique comme le rappelle l’indianiste Alain Daniélou (frère du célèbre cardinal Jean Daniélou) ou en Amérique du Sud envahie par les catholiques espagnols comme le rappellent le diplomate Jean Soler ou le géo-économiste Hervé Juvin.
Partout où les euro-chrétiens passèrent, ils brisèrent ou tentèrent de détruire les religions, coutumes et arts de vivre ancestraux des peuples conquis (notamment leurs régulations des naissances jugées barbares) et provoquèrent des explosions démographiques obéissant à l’injonction biblique « croissez et multipliez-vous » sur une Terre considérée comme un objet, charriant ainsi des millions de pauvres, oubliant la nécessaire coordination démographique avec les vivres mis à disposition par la nature environnante.

5) Christianisme et races

Le christianisme qui se dit une religion de l’incarnation est en réalité une religion de la désincarnation. En effet bien avant le Christ, le dieu Mithra né vers – 500 dans les hautes terres du nord-est iranien d’une Vierge, dans une étable, à côté d’un bœuf (signifiant le pur) et d’un âne (l’impur), ayant vécu 33 ans avant de monter au ciel ne fait que suivre une longue tradition païenne issue de l’Inde où de nombreux dieux et héros naquirent de l’intercession de l’Âme Cosmique et d’une vierge humaine. Ce symbole d’union entre le divin et l’humain illustre la consubstantialité du monde visible à Dieu. Dans les paganismes indo-européens, Dieu n’a pas créé le monde visible mais l’a engendré.

Le Christ reprend cette tradition de l’incarnation mais en même temps la réduit à néant dans une phrase malheureuse : « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César » séparant de fait le monde spirituel du monde charnel, la foi des lois naturelles considérées comme issues du péché, faisant de celle-là une abstraction pure n’ayant strictement aucun lien avec le réel. C’est pour cette raison que les Européens imprégnés par 2 000 ans de culture judéo-chrétienne ne comprennent toujours pas que la race est avant tout une manière d’être spirituelle issue d’une constitution biologique spécifique. C’est à cause de cette fausse représentation que François Falcon pense que « le Français de fraîche date, quel que soit son taux de mélanine pourvu que le cœur y est » peut devenir un bon Français. Si on peut intégrer des individus, on ne peut absolument pas intégrer des masses comme le rappelle De Gaulle. Il ne comprend pas, comme l’expliquait le Roi du Maroc Hassan II, que la majorité des extra-Européens ne pourront pas devenir de bons Français en embrassant les mœurs européennes et notamment la religion catholique. Il y a un lien consubstantiel entre identité et nationalité.

J’en veux pour preuve l’écrasante majorité des sémites chrétiens qui, jusqu’à aujourd’hui, n’ont jamais cru en l’incarnation du Christ, incarnation qui reste une spécificité indo-européenne qui personnifiait aussi les dieux païens (équivalents des anges chrétiens). La majorité croit soit en un Dieu qui prit forme humaine mais ne s’incarnant pas dans un homme, soit un homme qui reçut une bénédiction particulière de Dieu. C’est pour avoir confessé cela, surtout les chrétiens coptes d’Égypte, qu’ils passèrent aux yeux des européens chrétiens pour des hérétiques et furent lourdement persécutés par l’Empire byzantin, à tel point qu’ils accueillirent à bras ouvert les conquêtes musulmanes, pensant être libérés.

D’ailleurs, si le sud de la Méditerranée devint aussi rapidement musulman, c’est parce que la conception divine bien plus abstraite prônée par l’islam, religion sémitique par excellence, convenait davantage aux Arabo-berbères que les mystères chrétiens de l’incarnation et de la Trinité d’origine indo-européenne hindoue. Une simple lecture de la vie de Charles de Foucaud ou un voyage au Moyen-Orient détruisent toutes illusions prosélytes chrétiennes. Je rappelle aussi que l’Église a toujours su composer avec les Africains ou Amérindiens en laissant des rites préchrétiens animistes. Bien plus que les religions, ce sont les races qui sont le cœur des civilisations.

6) Christianisme et mémoire

Si Vercingétorix fut réhabilité par les historiens du XIXe, dont un certain nombre était effectivement très hostiles au catholicisme, c’est certes en réaction à son effacement de l’historiographie chrétienne mais aussi parce qu’il fut le premier homme politique qui réussit à coaliser les tribus gauloises contre l’envahisseur romain. Les rêves de conquêtes de César ont failli s’évaporer face à cette résistance inattendue qui provoqua une véritable débâcle des armées républicaines. César exploita habilement une faute stratégique de Vercingétorix qui lui permit au dernier moment de changer la donne. En réalité, la conquête des Gaules fut bien plus dure que ses écrits ne le laissent entendre. Cette vérité historique n’est toujours pas remise en cause par les études les plus récentes.

De plus, si les historiens du XIXe furent anti-cléricaux et pas très pro-Bourbons, ils avaient malgré tout un très grand respect pour tous les grands personnages de notre Histoire, que ce fût Clovis, Philippe le Bel, Charlemagne, le Cardinal de Richelieu ou même Jeanne d’Arc qui fut popularisée aux yeux des Français par une réhabilitation exceptionnelle (après longue absence sous l’Ancien régime) par le plus anticlérical des historiens, Jules Michelet, qui lui consacra une biographie bouleversante dans laquelle il affirmait admirer sa foi pure en Christ.

Mais le christianisme ne fut absolument pas en reste en matière de mémoire sélective. L’évêque mérovingien Saint Grégoire de Tours a démarré sa célèbre Histoire des Francs à Abraham, Isaac et Jacob ! Faisant fi de toute l’antiquité préchrétienne de l’Europe comme si celle-ci n’avait jamais existé. Où est la civilisation grecque antique ou la grandeur de Rome dans ses écrits ? Bien que l’Antiquité fût conservée discrètement par les moines copistes du Moyen-âge, il fallut attendre la Renaissance pour qu’on la redécouvrît de manière pacifiée. Les études archéologiques, biologiques et linguistiques du XIXème nous firent comprendre que nous n’avions aucune origine chez les peuples sémitiques mais faisions partie d’une branche plus large de peuples indo-européens avec sa vision du monde singulière, d’où les réactions exagérées ou violentes d’un Nietzsche ou d’un Hitler contre le christianisme qui, à travers son historiographie, incitait à croire à une quelconque ascendance avec les peuplades du Proche-Orient !

Conclusion : l’Histoire est une constante source d’humilité

Un dicton dit que la gauche est sectaire mais la droite paresseuse notamment par son refus de se cultiver. C’est parce que les personnes de droite n’arrivent jamais à se remettre en cause que nous perdons la bataille des idées et donc de la politique depuis 200 ans. Comme le rappelle si bien l’historien Jean Sévilla, si la Révolution Française prit mauvaise tournure, elle ne vint pas de nulle part et, surtout, devait arriver. Les persécutions antichrétiennes de cette période ne sont pas non plus le fruit du hasard mais une véritable haine envers des dogmes incompréhensibles qui condamnaient hypocritement le plaisir depuis des siècles. Aujourd’hui, la France se dissout dans le jouir sans entrave en réaction à une religion qui obligea à ne pratiquer que des vertus sans plaisir. Comme le dit si bien l’écrivain Alexandre Soljenitsyne dans son admirable discours sur le déclin du courage, aujourd’hui nous méprisons l’esprit car le christianisme méprisa le corps, bien qu’en réalité il n’ait jamais réussi à le faire disparaître !

J’invite François Falcon et aussi les chrétiens de droite à lire davantage d’Histoire : c’est une incomparable source d’humilité. Ils y apprendront que l’évangélisation de l’Europe se fit bien plus par des persécutions anti-païennes, qui se transformèrent parfois en véritables massacres bénis par l’autorité papale, que par les bisous évangéliques ; que le christianisme du Moyen-âge fut en réalité un pagano-christianisme (les saints et les anges remplaçant les dieux) où des coutumes païennes persistèrent jusqu’à la Contre-réforme. Que le rite catholique d’avant Vatican II reprit à 80% les rites des offices païens gréco-romains, particulièrement ceux du dieu Mithra ; que jamais la France ne fut aussi paillarde que lorsqu’elle était chrétienne, que ce soit au niveau des élites qui, des Croisades au Grand Siècle, se vautrèrent avec passion dans le stupre et la fornication jusqu’à organiser de gigantesques orgies, ou au niveau du petit peuple qui fréquentait allègrement les prostituées – il y en avait tellement qu’un dicton moyenâgeux d’Avignon disait que sur son fameux pont on rencontrait autant de moines et de commerçants que de prostituées, ces dernières étant protégées par l’Église qui avait le monopole de l’exploitation des maisons closes depuis les lois de Saint Louis ( et cependant tout le Moyen-âge) qui perdurèrent jusqu’en 1946 – ; que l’Église permit aux hommes mariés qui le souhaitaient de devenir prêtres jusqu’au dixième siècle et qu’elle autorisa l’avortement jusqu’au quinzième !

Bien que d’inclinaison païenne, étant de droite, j’ai découvert la majorité de ces révélations dans des livres d’Histoire écrit par des catholiques, fervents pratiquants pour certains, mais qui respectent scrupuleusement ce commandement christique de rendre à Dieu ce qui est à Dieu et à l’Histoire ce qui est à l’Histoire. Je ne nie absolument pas que le christianisme, par certains aspects, fut bénéfique à l’Europe et qu’il y eut de très nombreux croyants à la vie exemplaire… mais les vérités mentionnées ci-dessus sont objectives.

Que cette tribune puisse susciter la réflexion et la nécessaire remise en cause des gens de droite, dont un trop grand nombre s’illusionne sur un passé monarchique et chrétien idéal pré-révolutionnaire qui n’existe que dans leurs rêveries, afin de susciter enfin un projet politique qui soit réaliste…

Je tiens à remercier mon ami Léopold Gauthier pour sa précieuse relecture.

SOURCES :

Sur nos racines gauloises :
– « Figures de Proue » de l’historien catholique (très pratiquant) René Grousset, qui montre dans son admirable chapitre sur César que les tribus franques minoritaires se noyèrent dans la masse « italo-celtique » dite Gauloise
– « Histoire de la Rome Antique » de l’agnostique de foi mais catholique de culture comme il se définissait lui-même l’historien Lucien Jerphagnon, où il montre que la conquête romaine fut politico-militaire et non migratoire.
– L’historien Jacques Benoist Mechin dans son sublime « L’Empereur Julien », (il démontre aussi que les Gaulois furent les troupes de choc de l’Empire qui correspondaient un peu aux Forces Spéciales d’aujourd’hui). Dans le livre il décrit très bien la croyance au dieu Mithra.

Sur la fatalité germaine d’envahir l’Europe :
– « Impostures Politiques » de la politologue Marie-France Garaud

Sur la bienveillance de Napoléon III envers les catholiques :
– Je conseille tout simple la bouleversante biographie de saint Bernadette intitulée « Le Chant de Bernadette » de l’écrivain juif Franz Werfell, écrite en remerciement d’avoir été exaucé lors d’une prière à Lourdes demandant à la Mère de Dieu de pouvoir fuir en Amérique les nazis qui le recherchaient.

Sur les missionnaires et la colonisation :
– Le numéro 30 de l’Afrique réelle sur les 50 ans de l’Algérie de juin 2012.
– L’article de Bernard Lugan intitulé « Une Idée de la Gauche réalisée par la droite » dans le Hors-série numéro 1 de la Nouvelle Revue Histoire concernant l’Afrique
– « Les Quatre Sens de la Vie » de l’indianiste Alain Daniélou où la question de l’inde britannique est abordée.

Concernant les catholiques en Amérique latine :
« La violence monothéiste » du diplomate Jean Soler ; l’interview d’Hervé Juvin à France Culture pour son livre « La Grande Séparation »

Sur la difficulté des Sémites de croire au Dieu incarné :
– « Atlas des peuples d’Orient : Moyen-Orient, Caucase, Asie centrale » des diplomates Jean et André Selliers
Sur le christianisme et les mœurs :

Sur le mariage des prêtres durant le premier millénaire :
– « Géopolitique, Constante et changement dans l’histoire » du géopoliticien catholique pratiquant Aymeric Chauprade.

Sur la question de l’avortement autorisé par l’Église pendant le premier mois de grossesse jusqu’au XVème siècle :
– « Famille et société: Origines, histoire, actualité » du politologue d’inclinaison païenne Alain de Benoist

Sur la prostitution foisonnante gérée par l’Église :
– le numéro spécial 102 consacré à la prostitution du magazine libéral-conservateur de valeurs catholique Historia

Sur les plaisirs extrêmes de la vie notamment sexuels des élites chrétiennes :
– la magistrale « Epopée des Croisades » de l’historien catholique René Grousset ;
– « Les secrets du Gotha : Histoires des maisons royales d’Europe » de l’historien catholique Ghislain de Diesbach
– ; les émissions sur la vie de cours de Stéphane Bern.

Sur le pagano-christianisme :
– « Charles Martel » de la série “Qui suis-je?” de Roch Mars

Sur l’influence hindoue notamment sur le Dieu trinitaire (Brahman-Vishnu-Brahma) et le mystère de l’incarnation :
– « Mythes et dieux de l’Inde » d’Alain Daniélou ;
– « Le Mahabharata » très célèbre poème épique du XIIIème avant JC, l’un des textes fondateur de la spiritualité hindoue.

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150 Comments

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  • 0 / 10
  • Jean Dutreuil , 5 décembre 2013 @ 17 h 09 min

    @ Lagadu,

    Ouaaaaaouuuuuuhhhhhh quelle contre argumentation fouillée et riche, on va aller loin avec vous!

    Pour ce qui est d’Aigeaille, sachez que ces dires sont tellement erronés que j’ai écris un nouvel article qui les démonte entièrement!

    Désolé d’avoir vexé votre vision catho gnian-gnian qui n’a aucun lien avec les faits historiques!

  • Jean Dutrueil , 5 décembre 2013 @ 23 h 15 min

    @Lagadu

    Lisez la réponse à la sacrée correction d’Aimegeaille, dans mon nouvel article “Dieu et les races”.

  • guillaume , 15 janvier 2014 @ 12 h 45 min

    Le fait d’ être homosexuel n’ as rien de génétique arrêter donc de raconter n’ importe quoi. Même le lobby LGBT n’ ose pas sortir des absurditées pareil 😉

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