Y a-t-il plus faux-cul qu’un socialiste ?

Certains peut-être nous diront qu’un sarkoziste, ce n’est pas mal non plus. Certes, je vous l’accorde bien volontiers… Comme on l’aura peut-être pressenti, le cas que je voudrais ici évoquer, c’est celui du sieur Bartolone, Président de l’Assemblée Nationale et 4ème personnage dans la hiérarchie républicaine (parfois on se demande si l’on ne rêve pas !), lequel pour tenter de « booster » sa candidature à la présidence de la Région Ile de France, n’a pas hésité à « racialiser » délibérément le débat électoral qui l’opposait à sa rivale de droite, Mme Pécresse, en allant dire de celle-ci que c’est « la race blanche qu’elle défend[ait] ».

Comment un homme qui appartient à un parti politique qui voudrait précisément nous faire croire que les races n’existent pas et que le mot « race » lui-même devrait être impitoyablement expulsé des dictionnaires peut-il en arriver là ? Personne n’aura oublié que c’est ce même parti qui, il y a peu, s’est livré au lynchage médiatique de cette pauvre Mme Morano parce que celle-ci avait tenu à rappeler (en citant le Général de Gaulle de façon plutôt approximative) que la France était avant tout un pays de « race blanche ». Tout le monde (y compris son ami Sarkozy !) lui était alors, on s’en souvient, tombé dessus à bras raccourci, l’avait impitoyablement « stigmatisée » (mot très à la mode !) et avaient dénoncé avec la plus extrême véhémence ses idées « nauséabondes ».

Et Bartolone, ce triste sire, cet énergumène sans scrupule – dites-moi – est-ce que il ne serait pas un petit peu nauséabond sur les bords peut-être ? Si l’on y réfléchit un instant, son cas n’est-il pas en effet bien plus grave que celui de Mme Morano ? Celle-ci en effet ne faisait que constater un fait que personne ne conteste vraiment mais qu’aujourd’hui il n’est plus convenable d’évoquer autrement qu’à voix basse. Alors que lui, en reprochant à Mme Pécresse de « défendre la race blanche », voulait laisser croire a contrario que, ce qu’il entendait pour sa part défendre, c’étaient les races non blanches, les races « de couleur ». Est-il admissible qu’une éminence républicaine, le 4ème personnage de l’Etat, s’autorise à faire jouer ainsi, ouvertement, les ressorts du communautarisme et puisse chercher à dresser les populations allogènes contre les indigènes qu’on appelle aujourd’hui non sans mépris les « de souche » ? N’est-ce pas là en grave attentat contre le fameux « vivre ensemble » et la République « une et indivisible » ? Et son compère Vals, celui qui accuse le FN de « prôner la division qui peut conduire à la guerre civile », n’eût-il pas dû réagir énergiquement contre ce « diviseur », coupable d’une dérive aussi grave ?

Heureusement la démagogie de Don Bartolone, surnommé pour ses largesses clientélistes « le parrain du 9/3 », n’a pas payé : les électeurs l’ont finalement recalé ! Si j’avais été à Paris, j’aurais courageusement pris sur moi (sans aller forcément jusqu’à me mettre une pince à linge sur le nez comme avaient cru devoir le faire les électeurs de gauche ayant assuré la victoire de Chirac au 2ème tour des Présidentielles de 2002 !) et, sans trop d’état d’âme, serais allé benoitement mettre dans l’urne un bulletin Pécresse. Je soupçonne d’ailleurs que c’est ce qu’ont dû faire un nombre important d’électeurs parisiens patriotes : le candidat FN en Ile de France est en effet le seul de toute la France à avoir très nettement reculé entre les deux tours ( – 4 points).

Les journaux nous ont annoncé qu’après son échec Bartolone avait fait semblant de remettre sa démission de Président de la Chambre. Puis, presque aussitôt, ils nous ont annoncé qu’il avait été triomphalement reconduit par acclamation de ses petits copains. Quelle sinistre farce ! Et ni Hollande, ni Valls, ces grands républicains, n’ont semble-t-il bronché, levé le moindre petit doigt. Pensez-vous, ils ne sont pas sourcilleux à ce point ! Comment pourraient-ils l’être ? Quand on voit Vals, lui-même, s’employer à dresser les Français les uns contre les autres en attisant systématiquement la haine contre les électeurs du FN, sous prétexte de lutter précisément contre les diviseurs et les haineux, à appeler à une véritable croisade contre ceux qui votent mal parce que, selon lui, ce que ce faisant ils prépareraient, ce ne serait rien d’autre que la guerre civile ! Comme disent les enfants : « C’est celui qui l’dit qui y est ! »

S’ils l’étaient, scrupuleux et rigoureux, respectueux de l’esprit républicain, notre cher président et notre cher premier ministre garderaient-ils encore, dans leur superbe équipe gouvernementale, une Taubira, qui non contente d’imposer la politique judiciaire la plus laxiste que la France ait jamais connue, n’a pas craint un jour de mentir effrontément devant les caméras de télévision ? Garderaient-ils un Cazeneuve qui, depuis les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Kasher, n’a rien fait pour traquer et mettre hors d’état de nuire la 5ème colonne islamiste, laquelle, comme on l’a vu au Bataclan, préparait dans l’ombre de nouveaux attentats ? Garderaient-ils une Najat Vallaud-Belkassem qui prétend officiellement que la théorie du genre n’est plus enseignée dans les écoles, alors qu’en sous-main elle poursuit la diffusion de manuels et de « supports pédagogiques » ad hoc dans le but d’imposer à nos enfants cet endoctrinement sournois (et si l’on ne veut pas me croire que l’on se reporte seulement à cette petite vidéo tout à fait édifiante et parfaitement explicite).

Garderaient-ils aux Affaires Etrangères un Fabius totalement incapable de comprendre et de démêler ce qui se joue au Proche-Orient, un Fabius qui n’a cessé de se dédire et de se contredire, le grand champion des reculades diplomatiques et des tournants à 180°, le va-t-en-guerre qui, à force de changer son fusil d’épaule, a considérablement fragilisé la position de la France, laquelle se retrouve aujourd’hui presque ridiculisée aux yeux du monde ? On pourrait aussi évoquer Touraine (à la Santé), Royal (à l’Ecologie), Pellerin (à la Culture : celle qui n’ouvre jamais un bouquin !), Désir (tiens on ne l’entend plus trop celui-là : ça vaut mieux !), El Khomri (la ministre du Travail et de l’Emploi qui ne sait même pas ce qu’est au juste un CDI !), Le Foll (à l’Agriculture qui laisse crever nos éleveurs), etc. Mon Dieu délivrez-nous donc de cette bande d’imposteurs et de menteurs, de ces hommes et femmes sans morale ni honneur, qui mènent allègrement notre pays à l’abyme.

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16 Comments

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  • 0 / 10
  • parti-anfumé , 16 décembre 2015 @ 17 h 27 min

    @sergio
    Réponse : un Estrosi , bien sûr !

  • André & Nadine , 16 décembre 2015 @ 19 h 23 min

    Plus faux-cul qu’un socialiste ?
    Bon ben voyons voir, heu, heu, heu, ???
    Ah non, je donne ma langue au chat ????????????????????????????

  • tartemuche , 17 décembre 2015 @ 8 h 03 min

    erreur
    ce n’est pas Estrosi, c’est Estrounsi
    lui va comprendre

  • biloute , 17 décembre 2015 @ 8 h 10 min

    Attention, le chat est socialop! …

  • penelope , 17 décembre 2015 @ 10 h 45 min

    oui,deux au lieu d’un.

  • baldag , 17 décembre 2015 @ 11 h 41 min

    Je me souviens que des communistes parisiens me disaient, début des années 1960 : quand tu vois un type dans le métro qu’y a l’air d’un faux cul, tu peux être sur que c’est un socialiste! Et c’était vrai!!!!

  • Daniel chaudron , 17 décembre 2015 @ 12 h 07 min

    Certaines personnes, quand on leur met le nez dans leur caca, répondent que non, c’est du chocolat.
    On les appelle “politiciens”.

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