Éric Zemmour : “Une grève à la SNCF, c’est comme l’Histoire vue par Shakespeare : un récit plein de bruits et de fureur raconté par un idiot et qui ne signifie rien”

10 Comments

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  champar , 18 juin 2014 @ 12 h 09 min

  Ses interventions ne sont pas mauvaises mais comme les réponses des autres intervenants ont été enlevées dans le lien que vous donnez cela fait au total un monologue pas très intéressant et cela ne montre pas vraiment comment “elle les écrase tous” !
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  Goupille , 18 juin 2014 @ 13 h 34 min

  Grande pitié dans le royaume de France…
  Quand on regarde la carte du réseau ferré en 1930 et que l’on voit celui qui subsiste, on pleure.

  Le rail passager a été pulvérisé pour la bagnole, le rail fret a été pulvérisé pour les pétroliers, la desserte à dimension humaine a été pulvérisée pour les TGV, la tombola des prix est calée sur le coût du transport aérien, donc globalement inaccessible. La clientèle fuit.
  Pas de fric, pas d’entretien des infrastructures. Les caténaires chères à Laurent Gerra lâchent. Nos hôtes sympathiques et sans ressources volent ce qui reste de cuivre. Les grapheurs et tagueurs languiens salopent les voitures qu’il faut remettre en état à prix d’or. Les trains ne passent plus entre les quais.

  Les syndicats, qui ne représentent qu’eux-mêmes, se font la guerre pour capter les derniers étiques adhérents. La pays est dans la cagade depuis une semaine pour une rivalité SUD contre CGT.
  Zemmour évoque Gabin et la Bête humaine. Vient aussi en mémoire Gabin et La Bête humaine revus par la Cage aux folles : le représentant de SudSNCF, il y a quelques années, avait les cheveux qui lui tombaient aux fesses. “Tu parles si c’est une tenue pour descendre sur un ballast, toi”…

  La SNCF a réussi cet exploit de pulvériser la sympathie inconditionnelle qu’il se partageait dans le cœur des Français de 1960 avec les PTT. Grâce à l’héritage d’un supposé héroïsme militant pendant la guerre.
  Nous en sommes même arrivés à dire “supposé”. Pourquoi le bastion de la CGT aurait-il moins réécrit son histoire que son mentor, le PC des 75 000 fusillés en tocaille ?

  Lamentable pitrerie, face à un gouvernement de pitres et une UE de culs-de-plomb aux ordres de qui nous savons.
  Grande pitié au Royaume de France.
  Marchez, manants.
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  YEPYEP , 18 juin 2014 @ 14 h 49 min

  Bonjour fleur,

  Bonjour l’intégrisme !!!

  Salutations.

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