Éric Zemmour : triple défaite française en Syrie

Posté par Eric Martin Il y a 10 ans

Le projet avorté d’intervention occidentale en Syrie “est une défaite qui vient de loin et qui laissera des traces. Une triple défaite : celle d’un homme (François Hollande), d’un pays (la France) et d’une idéologie (le droit d’ingérence)”, constate Éric Zemmour mardi matin sur RTL.

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14Commentaires

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ymrpp , 17 septembre 2013 @ 15 h 02 min
Excellent Zemmour, comme d’habitude
Trucker , 17 septembre 2013 @ 16 h 41 min
Un réquisitoire implacable .
mariedefrance , 17 septembre 2013 @ 20 h 15 min
Aucun appel possible !

Merci Zemmour pour cette synthèse.
pas dupe , 18 septembre 2013 @ 0 h 29 min
Morceau d’anthologie pour ceux qui veulent passer un bon moment, qui ne l’ont déjà ni lu, ni vu, à conseiller très vivement !

Serait-ce la tribune de trop pour BHL?
https://www.youtube.com/watch?v=K3Kp274IkrM
Moniquette , 18 septembre 2013 @ 0 h 30 min
Bravo je vous adore
Une inconditionnelle
François Desvignes , 18 septembre 2013 @ 3 h 51 min
Si l’on croit que les USA et donc la France auraient renoncé à l’aventure syrienne, c’est que l’on confond :

– annulation et report (alors que le report est toujours au service de la guerre jamais de la paix),

– pourparlers diplomatiques et paix (alors que les pourpalers diplomatiques annoncent toujours la guerre)

Mais Zemmour a raison, guerre ou paix, le résultat reste invariable : défaite de l’homme, du pays, de l’idéologie.

Si bien qu’il serait faux de penser que cette triple défaite nous assurerait la paix alors qu’elle pourrait tout aussi bien nous annoncer encore plus certainement la guerre.

Nous ne voulons pas aller en Syrie et pourtant nous irons quand même.
Denis Merlin , 18 septembre 2013 @ 7 h 37 min
Une certitude : monsieur Hollande s’est ridiculisé, ou plutôt ses “amis” du G20 l’ont ridiculisé et, avec lui, les soi-disant “grandes écoles” françaises, pire, nous passons pour des va-t-en-guerre cruels. Mais il n’est pas normal que ce soient deux hyper puissances qui décident pour toutes. Il faudrait un gouvernement mondial dans lequel tout le monde participerait.

Certains l’ont fait observer : c’est après la journée de prières organisée par le pape que les choses se sont calmées.

Écoutons le pape.