L’idéologie multiculturelle, ultime échec de la pensée politique de gauche

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Le politologue Guillaume Bernard est celui qui a le mieux défini la différence fondamentale entre la pensée politique de gauche et la pensée politique de droite. La première déclare que seule la volonté contractuelle suffit pour créer un lien social alors quel la seconde accepte que seul le donné anthropologique est susceptible de créer ce lien, la volonté purement subjective ne suffisant pas.

Exemple familial : pour la pensée de gauche le seul lien affectif entre l’adulte et l’enfant établi une famille, donc que cette famille soit traditionnelle, recomposée, monoparentale ou homosexuelle n’a pas d’incident sur l’équilibre de l’enfant dépendant uniquement de la densité de l’amour subjectif des adultes qui en ont la charge.

A l’inverse la pensée politique de droite, dite classique, explique que la seule affection subjective n’est pas suffisante pour nourrir la croissance de l’enfant qui a besoin de la continuité génétique et de l’altérité des sexes de sa parentèle pour forger son identité anthropologique.

Résultats publiés par des rapports scientifiques américains tabous en France (1) : les enfants issus de familles de divorcés, monoparentales, recomposées ou homosexuelles forment les gros bataillons de l’échec scolaire, de l’addiction à la drogue et à l’alcool, du chômage de longue durée, de la délinquance, de la dépression, de la faible réussite socio-économique et de l’instabilité conjugale. A l’inverse, les enfants de familles traditionnelles constituent le fer de lance de la réussite socio-économique grâce à de meilleurs diplômes et à un comportement émotionnel et affectif plus stable.

Et ce qui vaut pour la famille vaut pour la nation : dans la pensée politique de gauche, un subsaharien, un sémite, un asiatique et un européen vivant côte à côte peuvent engendrer un lien national par le seul désir du vivre ensemble. A l’inverse, selon la pensée classique, seule l’unicité de ce donné objectif qu’est l’ethnie peut sécréter une spiritualité, une histoire, une tradition et une culture communes, préalables à la constitution du lien national, ce qui n’empêche pas l’inclusion d’une minorité ethnique du moment que celle-ci reste résiduelle et souhaite s’assimiler.

a) les différences ethno-culturelles

Selon la pensée de droite, la différence raciale n’est pas qu’une distinction de couleur de peau mais provient d’un code ADN différent concevant une masse musculaire, un épiderme, une activité hormonale et une constitution cérébrale spécifique permettant une vision religieuse, politique, culturelle et sociale singulière. Ainsi, que le veuille ou non l’universalisme chrétien, la majorité des sémites chrétiens, du début de notre ère jusqu’à nos jours, refusent la double nature du Christ, (Coptes, Nestoriens, etc. représentant 90% des chrétiens d’Orient) comme ils refusèrent autrefois l’incarnation de leur dieux païens. A l’inverse les Européens qui furent christianisés en second, confessent tous, exceptés les Arméniens, en l’incarnation du Christ comme ils croyaient, dans l’Antiquité en l’incarnation de Mithra, Merlin, Sérapis, Hercule, etc.

N’en déplaise aussi à l’universalisme islamo-sunnite, les franges de subsahariens fraîchement convertis à l’islam radical comme ceux de l’ethnie Kanouri constituant le socle de la secte terroriste de Boko-Haram, malgré leur zèle, choqueront toujours les islamistes sémites répugnant leur pratique animiste jugée hérétique. Comme le rappelle romancier ivoirien Ahmadou Khourouma : « l’Afrique est habitée par des animistes, les uns teintés de christianisme, les autres d’Islam ».

b) comparatif entre sociétés multiculturelles et mono-culturelles

La non prise en compte de ce donné de différence ethnoculturelle par le dogme multiethnique engendre des sociétés multi-conflictuelles: ainsi le criminologue Xavier Raufer rappelle que la ville brésilienne métissée de Rio de Janeiro tant vanté par nos bobos subie annuellement plus d’homicides en proportion égale que la capitale irakienne de Bagdad pourtant en pleine guerre civilo-religieuse; que le Mexique multiethnique est défiguré depuis 2009 par une guerre civile entre un État contrôlant à peine un tiers du territoire face à des cartels de la drogues qui à eux seuls, selon l’ancien officier à la DGSE Alain Rodier et le politologue Alexandre Del Valle, ont en 2014, en proportion égale, torturés et tués deux fois plus de personnes que Daesh pourtant à son zénith; que les Etats-Unis d’Amérique qui jusqu’à Trump promouvaient, parfois à grand coup de bombes, au monde entier leur idéal multiculturel indépassable, détiennent, en proportion égale, une population carcérale plus vaste que celle de la Corée du Nord, prouvant à leur dépend que le communisme biologique est pire que le communisme économique…

A l’inverse, les sociétés mono-ethniques, monoreligieuses et monoculturelles sont en général d’une remarquable stabilité malgré qu’elles soient traversées, pour certaines d’entre elles par des défis économiques et ou géopolitiques colossaux: il en est ainsi des pays de l’Europe de l’Est telles que la Pologne, la République Tchèque, la Slovaquie ou la Hongrie dont la douceur de vivre contraste avec l’instabilité récurrente de leur voisins bakaniques et ukrainien.

Il en est aussi de ce miracle qu’est le petit royaume hachémite de Jordanie, enkysté en plein cœur de la violence proche-orientale, flanqué à son ouest du conflit israélo-palestien, provoquant un flux continuel de migrants palestiniens, à son Nord et à son Est, par la guerre civile syro-irakienne dont un pan entier de sa frontière est partagée avec Daesh et au Sud, par une menaçante Arabie saoudite qui lui a contesté par le passé son existence et refuse son Islam progressiste et tolérant prôné par la monarchie. La Jordanie est un pays d’à peu près 9 millions d’habitants dont seulement 5 millions sont des “Jordaniens de souche” devenant minoritaires au profit d’une “minorité” de 4 millions de Palestiniens ainsi qu’ 1,5 millions de réfugiés syro-irakiens. Le royaume, très pauvre en ressources et souffrant d’un chômage de plus de 30% (soit 3 fois plus qu’en France) n’arrive pas à absorber dans son tissu économique tous ces immigrés de peuplement à la situation bien plus précaires que ceux reçus en France.

Pourquoi ce petit Etat qui connait un grand remplacement démographique au profit des Palestiniens et accueille à lui seul le même nombre de migrants syro-irakiens que l’ensemble des nations européennes est malgré tout stable en dépit d’une situation géopolitique et économique dramatiques? Tout simplement car les immigrés et réfugiés sont de même souche raciale: sémite, ethnique: arabe, et religieuse: sunnite. Ainsi malgré la diversité de peuplement, l’unicité ethnoculturelle du royaume surplombée par la stabilité monarchique permet un havre de paix pour ceux qui dans la région fuient les enfers multiracial du conflit israélo-palestinien; multiethnique (Kurdes contre Arabes) et multiculturel (Sunnites contre Chiites) de la guerre civile syro-irakienne qui sont bien partis pour durer encore 30 ans.

La France est l’exacte opposée de la Jordanie, ses minorités ethniques extra-européennes ne comptent que pour 20% de sa population totale et les mahométans qu’à peu près 15%, pour un pays bien plus riche avec un chômage trois fois plus faible. Pourtant notre nation est en voie d’implosion. Dans son livre intitulé “Proche-Orient, coup de projecteur pour comprendre”, l’ancien officier de la DGSE Alain Rodier explique que nos services de renseignements empêchent chaque semaine un attentat de se produire sur le sol français; François Hollande déclare dans le livre “Un Président ne devrait pas dire ça” que le pays est en voie de partition entre groupes ethno-religieux, et son directeur de la DGSI, Patrick Calvar expliqua, il y a quelques mois devant la commission de défense de l’Assemblée nationale que nous sommes au bord de la guerre civile à cause de la communautarisation ethnoculturelle des banlieues qui font sessions. Ceci est dû au fait que les minorités exta-européennes présentent des différences ethniques, culturelles et religieuses trop importantes pour être solubles au delà de 5%.

Dans une excellente interview donnée au “Polska the Time”, et reproduite sur le site Polémia, l’ancien officier de renseignement polonais Aleksander Makowski se demande au vue de la situation actuelle si la France ne subira pas une guerre civile ethno-religieuse de grande ampleur à l’instar de l’ex-Yougoslavie dans les vingts prochaines années lorsque sa minorité extra-européenne et musulmane composera entre 35 et 45% de la population totale du fait d’être la première dynamique démographique du pays au quelle se rajoutent des flux migratoires ininterrompus et s’intensifiant.

A ses côtés, l’ancien directeur des services de renseignements hongrois et député du parti conservateur de Viktor Orban, Laszlo Földi, déclare que sont déjà revenus en Europe à peu près 8000 combattants du front syro-irakiens. Ces deniers, selon le député ne souhaitent pas déclencher des attaques terroristes immédiates mais préparer une cinquième colonne au sein des banlieues occidentales de non-droit où plus de 50% de la population afro-musulmane ne veut pas s’intégrer au pays hôte, cinquième colonne qui aura pour but d’imposer l’islam radical par la force aux autochtones une fois qu’ils seront devenus minoritaires. Se complétant, d’autres islamistes souhaitent proposer à terme des partis politiques islamistes financés par l’Arabie Saoudite et le Qatar qui auront pour but d’imposer la charia sur la zone de leur victoire.

En claire si dans les prochaines années de vigoureuses politiques de Remigration et de désislamisation ne sont pas mises en place, alors notre pays obtiendra pour futur celui de la Syrie et de l’Irak. Comme dirait le Coran: “c’est écrit…”

c) le multiculturalisme, avatar du nazisme et du communisme

Ainsi que l’indiquait si bien Chesterton, “ne plus croire en Dieu ne permet pas de croire en rien mais en n’importe quoi”. Tout ce gâchis français et occidental est dû à l’idéologie multiculturelle qui est de même essence utopique que le national-socialisme et le communisme. Avec le national-socialisme, l’idéologie multiculturaliste partage sa haine de la race blanche et sa volonté de former sur sa domination un Homme nouveau.

En effet, bien loin de ce que pérore le gratin germanopratin, le national-socialisme incarné en son temps non par par l’extrême droite mais par un parti qui se situait à gauche du spectre politique allemand, ne prônait pas une domination de la race blanche sur les races de couleurs supposées moindres mais de la race anglo-germaine, dite nordique, sur l’ensemble des autres ethnies européennes (slaves, grecques, gaulo-italiques, juives ashkénazes, etc.)jugées inférieures.

L’idéologie multiculturelle n’est que la face inverse d’une même pièce utopique où les européens et euro-américains haïs et accusés de tous les crimes de l’Humanité sont sommés de se diluer dans la masse exotique, à la démographie exponentielle, jugée supérieure afin d’expier leur nature raciale pécheresse.

De plus, comme le national-socialisme, le multiculturalisme incite à l’émergence d’un Homme nouveau, génétiquement supérieur. Dans le national-socialisme, celui-ci est l’Aryen, être surhumain, produit de la race supérieure Anglo-germaine et de l’eugénisme et qui par sa dynamique démographique était voué à dominer les autres européens politiquement et par le nombre.

Dans le multiculturalisme, cet Homme nouveau est le “Métisse”, régénéré par son croisement génétique en être parfait et pacifique puisque atemporel et global, purifié des souillures biologiques l’inclinant à être une personne politique, spirituelle et culturelle spécifique, se frottant inévitablement à d’autres humains spécifiques, alimentant ainsi malgré lui un tragique de l’Histoire qui est intolérable aux yeux des turéfaires du dogme multiculturel.

Ainsi le célèbre biologiste d’Havard, Edward O Wilson, incite au métissage généralisé en conclusion de son fameux ouvrage, “La Conquête Sociale de la Terre” afin, pense-t-il, d’effacer les conflits ethniques alors que le réel nous montre au contraire que le métissage à grande échelle engendre une nouvelle ethnie autonome se superposant aux fractures ethniques préexistantes comme nous pouvons le constater en Afrique du sud ou en Amérique latine.

Donc à l’image du national-socialisme, le multiculturalisme est profondément et intrinsèquement raciste. Nos élites progressistes et mondialistes sont donc à leur insue non pas tant des socio-démocrates que des internationaux-socialistes, des internazis.

Le multiculturalisme partage avec le communisme l’utopie égalitaire. Ce dernier explique que l’individu et la propriété privée qui lui est inhérente sont sources d’inégalité et de souffrance, elles mêmes, moteur de l’Histoire tragique et donc doivent disparaître au profit d’un homme-maillon d’une communauté égalitaire où tout les biens doivent être équitablement partagés afin d’accomplir ce paradis terrestre qu’ est la fin de l’Histoire. La société multiculturelle ne prône pas l’égalité économique mais est un égalitarisme radical sur le plan biologique où son niées les différences cérébrales, musculaires, sexuelles, comportementales et culturelles ayant pourtant des conséquences dans le développement socio-économique.

Ce qu’il faut bien comprendre est que le multiculturalisme n’est, à l’instar du national-socialisme et du communisme, que l’une des facettes de la pensée contractualiste de gauche apparue avec les Lumières et qui confesse une pensée idéologique faisant fis, à la différence de la pensée classique, des pesanteurs charnelles, spirituelles, culturelles, politiques et historiques et dont la seule volonté subjective et utopique d’Etre parfait permettant la fin de l’Histoire tragique, créé organisation politique.

Cette pensée de gauche, véhiculée au départ par les Lumières et en particulier par Rousseau, n’est pas née au hasard mais concomitamment aux bouleversements de la révolution industrielle(2) qui par la création de l’énergie-moteur a considérablement réduit l’espace-temps et permis ainsi la conquête de la terre et la domination totale de la nature; laissant penser que la technique, si elle pouvait transformer un éco-système naturel et donc intrinsèquement de droite en un éco-système artificiel, émancipé des contraintes naturelles, alors ce progrès technique pouvait aussi forger un Homme nouveau, révolutionnaire, parfait, émancipé de ses pesanteurs ethnoculturelles. Cette nouvelle vision supplantant la pensée classique de la vieille Europe, sera le socle de la pensée révolutionnaire française dont découlera les utopies communistes, national-socialistes, multiculturalistes, féministes et trans-humanistes.

Mais ce que n’ont pas vu les penseurs de gauche, est que si la révolution technique et industrielle a considérablement réduit les lois de l’espace-temps, elle ne l’est pas pour autant annulées et que, si par exemple, la révolution techno-médicale permet de sauver des vies elle ne peut libérer des inclinaisons sexuelles et ethnoculturelles qui, elles demeurent. Résultat, ces utopies ne prenant pas en compte le réel sont inévitablement vouées à se fracasser violemment contre lui.

Le lecteur m’objectera que l’utopie multiculturelle n’a pas produit les horreurs des grandes idéologies du XXème siècle. Pourtant rien n’est moins sûr lorsque nous observons l’évolution des Etats multiethniques de l’hémisphère sud dont les frontières artificielles tracées par les Empires européens coloniaux mâtinés d’idéal universaliste ou ceux du Caucase et de l’Asie centrale dessinés par l’ex-union soviétique. Regardons les atrocités des conflits ethnoculturels du Rwanda, du Zaïre-Congo, du Mali, des Soudans, du Liban, de l’ex-Yougoslavie, de la Syrie, de l’Irak, de l’Afghanistan, du Caucase, du Tadjikistan, ou encore de la partition ratée de 1947 entre l’Inde et le Pakistan, sans compter l’explosion des crimes et des violes en Occident depuis l’ouverture à l’immigration de peuplement du Tiers-Monde, dont rends compte statistiquement Laurent Oberton dans son célèbre “France, orange mécanique” et le risque de guerre civile qui pèse sur son sombre horizon.

C’est ce constat d’échec qui nourri un retour de la pensée classique, dite réaliste, qui se concrétise à travers le mouvement dextrogyre qui est en train d’imprégner la pensée des nouveaux intellectuels tout comme l’émergence des populismes occidentaux et qui invite à un retour à l’écologie humaine par le respect des distinctions raciales, sexuelles et culturelles. C’est cette pensée qui admet qu”‘il est impossible d’établir un ordre public et social stable lorsque l’on s’éloigne trop de l’homogénéité ethnique” (Eric Delcroix )et qui souhaite la Remigration de ceux qui ne s’intègrent pas et la désislamisation de l’Europe occidentale afin de maintenir la paix chèrement acquise par nos aïeux.

Notes :

(1) à ce sujet, consulter le très bon site de Claire de Gattelier
(2)La Révolution française qui fut une traduction politique de la philosophie des Lumières fut aussi une réaction contre une monarchie incapable de faire basculer la France dans le développement industriel qui permettait au Royaume-Uni de toujours plus la distancer en matière de puissance.

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2 Comments

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  • 0 / 10
  • HuGo , 20 mars 2017 @ 15 h 13 min

    C’est un plaisir de vous lire à nouveau, cela faisait un temps. Je partage vraiment votre point de vue, cette fois-ci.
    Les chrétiens d’Eurasie et d’Afrique du nord furent christianisés aux mêmes époques, tous azimuts, si j’ose dire et de proche en proche. Tardivement, le reste du continent africain, la Chine et les Amériques, suivront et pour cause. Jésus, le Fils de Dieu le Père, fait Homme, incarné parmi les sémites. L’incarnation a-t-elle posé problème à Marie, à Joseph, aux apôtres et aux premiers disciples, tous sémites ? Et l’incarnation pose toujours problème à nombre d’humains. C’est avant tout – c’est même un acte de Foi, de relation confiante à notre Créateur, que je pense, essentiel et accessible à tout humain sur Terre d’où qu’il soit. C’est le cœur de la Foi chrétienne, liée à la Résurrection de Notre Sauveur. Pour autant que nous voulions être sauvé et que nous entendons que cela est nécessaire.
    Bien sûr que le multiculturalisme, conséquence de l’idéologie totalitaire (puisque devant être imposée de gré ou de force au monde) ‘sans frontièriste’ qu’est le mondialisme participe du même aveuglement que le transgenre (transhumanisme), ou que le communisme ou le nazisme et j’ajouterai l’islamisme. En quelque sorte une négation du réel, un affranchissement de notre condition humaine, des lois naturelles qui nous gouvernent. Ces utopies qui fondent leur origine au cœur de l’orgueil humain ont amené, amènent et amèneront un cortège d’horreurs.

  • jsg , 21 mars 2017 @ 16 h 09 min

    la pensée de gôche sur la famille ?
    Bien vu, mais dénote une mentalité qui amènerait l’élevage des enfants comme des poussins, ou comme certaines doctrines asiatiques ou, la famille n’avait pas d’importance, seule comptait le groupe, bref… des conneries.
    Allez demander à un petit qui n’a qu’une mère, ou deux, ou deux “pères” ce qu’il ressent dans son for intérieur quand il voit les autres avec un papa et une maman ? Déjà que les enfants battus n’en parlent pas de peur d’être séparés de leur bourreaux-parents, se considérant comme les responsables…
    Bref ces c**s de gôche ont toujours des idées “novatrices” qui n’ont comme but que d’attirer le regard des crédules ; et il y en a un paquet ! C’est de cette manière qu’ils se forgent l’idée aussi sotte que grenue, qu’ils sont des intellectuels, ouaf, ouaf…

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