Frigide, tais-toi et mets-toi à genoux devant ce qui te dépasse !

“C’est un monsieur qui n’allait pas bien et qui était dans une idéologie mortifère”, voilà ce que Frigide Barjot trouve à dire, entre autre âneries et écœurantes jocrisseries, alors qu’un très grand bonhomme, dont je ne partageais pas toutes les positions, vient de se suicider.

Voilà ce que cette cervelle de poule, qui ne sera jamais capable de saisir le millième de la beauté et de la puissance de l’œuvre de Venner, est capable de produire alors que dans un geste hideux mais puissant, cet homme s’est tiré une balle dans la bouche en pleine cathédrale. Voilà ce que cette fille, qui se prétend catholique, produit en exemplaire sale relais de toutes les pourritures satisfaites de notre temps.

Voilà l’égérie que tant de jeunes nigauds pleins de bonne volonté ont choisie.

Frigide Barjot, tu n’as ni décence, ni profondeur, ni épaisseur. Tu es l’image parfaite de cette époque, bruyante, insane et creuse. Tu aurais pu te taire, ignorant tout de cet être profond qui vient de mourir, éclaboussant les pierres de Notre Dame d’un sang que Dieu chérit infiniment, malgré le refus même de Venner d’être chéri. Non, tu as choisi de parler, de parler sans savoir, sans comprendre, te servant de façon ignoble de cette mort comme d’un repoussoir, usant de ce suicide pour paraître plus lisse, plus normale, plus conforme, plus “irréprochable” que jamais.

Si le sang de Venner doit retomber sur quelqu’un, qu’il retombe sur toi, qu’il t’inonde de sa culture, de sa finesse, de sa grâce et de son amour de la France, et que tu apprennes, enfin, à te taire, et à te mettre à genoux devant ce qui te dépasse.

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158 Comments

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  • PG , 22 mai 2013 @ 9 h 51 min

    Et oui tous ces jeunes gens niais qui l’ont prise pour une prophétesse ou ou l’ont cyniquement utilisée pour monter leurs petites boutiques avec leurs petits fichiers en dupliquant celui des pétitions, afin de beurrer leurs tartines catholico-politiques jusqu’en 2017 et le retour de l’UMP, la seule parousie qu’il soient en mesure de concevoir.
    Comme le rapporte BRASILLACHde DALi dans ”Notre avant-guerre” ; “Il faut savoir battre les cadavres quand ils sont encore chauds”.
    La mort de D. VENNER aura au moins permis à Mme BARJOT , entre COPE et FILLON, de se recentrer sur elle-même, elle-même le seul univers qu’elle porte sans encore bien le cerner apparemment, Espérons ensuite que tous ces cathos UMP qui donnent des leçons d’efficience et d’intelligence supérieure à la vieille droite et au FN en permanence pour aller au râtelier UMP comprendront ce qu’est un vrai miiitant : qq un qui comme le militaire qu’il fut, peut consacrer sa vie à autre chose qu’une carrière plus dans le système qu’engagée dans le sacrifice, même jusqu’à un geste ultime que l’espérance chrétienne condamne.

  • Fikmonskov , 22 mai 2013 @ 9 h 56 min

    Frigide a plutôt bien parlé de l’événement, je trouve. Lui tomber dessus encore une fois est légèrement déplacé… et indécent.

  • Electron Libre , 22 mai 2013 @ 10 h 00 min

    Je la supporte de moins en moins celle-là, elle aurait mieux fait de s’abstenir..

    Mais que cela n’altère pas notre détermination pour la Méga Manif du 26 !

  • A. , 22 mai 2013 @ 10 h 01 min

    La manif pour tous risque de se passer dans une ambiance explosive.
    Il risque d’y avoir du chahut.

  • Francois Desvignes , 22 mai 2013 @ 10 h 04 min

    F.B. se conduit comme une poule entretenue : elle fait commerce de tout ce qui peut flatter son égo.

    Elle caquète, se trémousse, elle irait jusqu’à rire d’un rire sonore à l’enterrement de nos héros pour qu’on la voie.

    En définitive elle ne respecte rien de plus que son nombril.

    Plaignez-la en vous en débarassant d’elle car “c’est la marque des damnés de s’aimer eux-mêmes plus que tout et avant tout, y compris avant et plus que
    Dieu” ( V Ghiska)

    Si V Ghiska a raison,et il a mille fois raison, alors Venner est au paradis.

  • FABRE-MANCHEZ Françoise , 22 mai 2013 @ 10 h 15 min

    J’ai toujours pensé que Frigide avait été manipulée. Ses propos, souvent “le …” entre deux chaises” ont démontré clairement que son action visait, non pas à une oeuvre de salubrité publique mais à sa propre communication.

  • mariedefrance , 22 mai 2013 @ 10 h 15 min

    L’herbe de provence n’est jamais très haute !
    pauvre d’elle, toujours rase motte.

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