Discrimination anti-française : le témoignage d’Angelo, SDF

Ce jeune SDF français est à la rue depuis plusieurs mois avec sa femme et son bébé. Et il n’obtient aucune aide… parce qu’il est français et non clandestin !

Source : Contribuables associés

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29 Comments

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  • le lecteur , 24 juin 2015 @ 19 h 07 min

    Comment faire pour aider ce jeune père de famille ? Si quelqu’un peut me renseigner…

  • bygp , 24 juin 2015 @ 19 h 51 min

    Je doute qu’elle tourne beaucoup vu que médiatiquement parlant, seule la démagogie est profitable. La vérité devient tabou, bientôt le mot “vérité” lui même le sera…

  • Robert , 24 juin 2015 @ 22 h 18 min

    La charité a été dévoyée par un clergé inculte qui n’a plus la foi en les fins dernières auxquelles il a substitué une sorte de paradis sur terre et par les vrais dirigeants d’une société marchande qui y ont vu le moyen imparable de nous faire accepter toujours plus d’immigration, d’assistanat et de contrôle de l’Etat sur nos vies.
    Une famille de Rom qui débarquera chez nous, saura se donner en spectacle et toucher la corde sensible quitte à vivre dans un taudis quelques années, sera toujours prioritaire sur nos anciens qui mangent de la viande pour chiens pour avoir des protéines, ne se soignent plus depuis longtemps et n’intéressent personne parce qu’ils ne font pas de cinéma pour qu’on s’apitoie sur eux. Un clandestin éthiopien fraichement débarqué, grâce à tous les collabos, aura toujours la priorité sur le français qui, après une mauvaise passe, s’est retrouvé à la rue avec sa déchéance rapide il y a dix ans.
    Parce que le spectacle de l’exhibition de son malheur et les relations des assoces complices de l’invasion valent mieux pour obtenir de l’aide qu’une véritable misère qui se cache et cherche à préserver un semblant de dignité, de fierté.
    Le français est supposé toujours plus riche, capable d’être soutenu par sa famille, que l’ingénieur débarqué du bled après avoir abandonné son pays mais avec quelques moyens que le français n’a pas et qu’il se gardera d’exhiber pour faire pleurer sur lui.
    La banque alimentaire est débordé par les demandes d’aide ou les immigrés sont toujours mis en avant, sans gêne pour tricher et profiter, quand les français n’ont que leur reste de dignité pour subir ce spectacle de désolation d’un pays qui les abandonne.
    Le culte de l’Autre suprême qu’a si bien décrit Jean Madiran dans Présent quand il était encore catholique, c’est cette perversion du sens du bien commun, cette affectivité brouillonne et niaise qui tombe dans tous les panneaux que nous tendent devant la réalité les profiteurs de la misère pour imposer leurs idées.
    Le clergé s’égare et nous égare quand il confond deux plans, spirituel et temporel, en absolutisant l’hospitalité oubliant au passage que celle-ci a des lois dont le respect du pays d’accueil et de ses règles et en diabolisant, voire en menaçant d’excommunication, ceux qui osent émettre des critiques sur cette folie d’une distribution illimitée de richesses que nous n’avons plus et devons emprunter pour payer les frais d’entretien de notre pays et les salaires des fonctionnaires.
    Ce clergé croit être généreux avec l’argent des autres, ce qui lui permet de faire oublier que le premier bien d’un fidèle c’est Dieu et que la charité ne se sépare jamais de la vérité.
    Or, la véritable charité, c’est que notre prochain, c’est celui que Dieu nous a confié, envers qui nous oblige notre devoir d’état, bien avant le lointain envers qui nous n’avons qu’un devoir secondaire en fonction de nos moyens.

  • bygp , 25 juin 2015 @ 2 h 02 min

    Vous faites bien de parler des cathos car je suis très proche, affectivement et quotidiennement des principaux coordinateurs de l’UDV (Union Diocésaine du Var) dont les plus importantes actions caritatives en terme d’investissement et d’ampleur de projets concerne essentiellement les “SDF importés”.
    Mais j’ai compris la raison de ce phénomène : ils obtiennent 10 fois plus de financements en provenance des organismes étatiques pour ce type de projet orienté “aide à l’accueil et à la régularisation des immigrés clandestins” que pour des projets plus en faveurs des exclus de souche française.
    La question cruciale est de savoir quelle est l’intention qui se cache derrière ces faits et qui décide…

  • jsg , 25 juin 2015 @ 5 h 36 min

    Honte à tous ces INCAPABLES qui se réfugient derrière LA réglementation, derrière LE MANQUE DE FINANCEMENT, pour laisser à la rue une couple avec un enfant. De plus j’ai cru comprendre qu’il était artisan avec un employé, qu’il s’est retrouvé devant des difficultés ? Si c’est le cas, ça peut arriver me semble-t-il !
    Tout le monde n’est pas fonctionnaire ou élu pouvant mettre le pays en coupe réglée sans se retrouver à la rue EUX !
    Pauvres France, qui tolère ça ! dont les citoyens admettent que les gens qui sont au service des citoyens se comportent de la sorte !
    Quand, enfin, les emplois administratifs et les positions d’élus seront réellement soumis à des règles pénales pour tous leurs manquements ?
    ÇA SE PASSERAIT EN CHARENTE MARITIME ?
    Certes, cette famille n’est pas issue des gens de la mer… et au fait, ceux ci avec leur notoriété, ne pourraient-ils pas faire pression ?

  • Maurice , 25 juin 2015 @ 8 h 10 min

    C’est ce que j’ai pensé, qu’il dise qu’il est migrant sans papier et il sera pris en charge par des assocs !
    Des sans-abri, il y en a des dizaines dans le bois de Vincennes qui vivent sous des tentes depuis des années ! Certains ont même un travail ! Ce sont ceux qui n’en ont pas qui surveillent les affaires de ceux partis travailler. (il y a quelques années, il y a eu un reportage TV de fait sur eux)

  • Maurice , 25 juin 2015 @ 8 h 14 min

    Peut-être vit-il dans un véhicule, dans une maison abandonnée, sous un pont, dans un abri de fortune, etc. , les solutions sont multiples !
    Pour manger il y a les assocs qui font des distributions, ainsi que pour se vêtir ; beaucoup vive de cette manière. Il y a quelques années, c’est un employé de la ville de Paris qui vivait ainsi sans « qu’officiellement » les services le sachent.

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