“Du budget dépend tout le reste”, explique Nicolas Doze lundi midi sur BFM TV. Par exemple, “la crédibilité de la France vis-à-vis des marchés financiers, la fiabilité de la signature de la France et ce qu’on va emprunter, plutôt avec un taux proche de celui de l’Allemagne ou avec un taux qui va tendre vers [celui] de l’Italie ou de l’Espagne”. “Du budget dépend notre capacité à attirer ou à faire fuir les investisseurs internationaux. Du budget dépend la confiance des chefs d’entreprise : est-ce qu’ils mettent le pied sur le frein ou le pied sur l’accélérateur, est-ce qu’ils embauchent ou est-ce qu’ils débauchent ? Du budget dépend la vraisemblance, tout simplement, de notre amitié historique avec l’Allemagne et la question essentielle de savoir si la France veut faire plus ou moins d’Europe…”
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