Le Maghreb, le svastika et le croissant : en réponse à Jean Dutrueil

Je me dois de répondre à la réponse argumentée (et enrichie de digressions) de Jean Dutrueil à mon article sur « le menhir et le croissant ». Je le ferai en déclinant les différentes pierres d’achoppement. 

A) Le Maréchal Lyautey et le respect des identités

Jean Dutrueil nous dit: « Lyautey était respectueux des Marocains non pas tant par islamophilie que par respect des peuples et cultures différentes, missionnaires en Afrique. Les missionnaires ont volontairement détruit les us et coutumes des peuples indigènes afin de les déraciner pour qu’ils soient plus facilement « christianisables ».

Les biographes du maréchal ont tous noté qu’il était bien « islamophile » et « arabophile », bien au-delà d’une simple nécessité de politique coloniale. Ces trois citations me semblent corroborer cela :

« Nos religions, affirme-t-il, nous apprennent le respect réciproque de nos convictions » (19 octobre 1922).

Le 7 mars 1923, Lyautey, cloué au lit par la maladie, remercie le sultan d’être venu lui rendre visite et veut « remercier le Très Haut que, chrétiens et musulmans nous adorons en commun ».

Sur son mausolée à Rabat, on peut lire cette épitaphe :

« Ici repose Louis Hubert Gonzalve Lyautey qui fut le premier Résident général de France au Maroc 1912-1925, décédé dans la religion catholique dont il recut en pleine foi les derniers sacrements, profondément respectueux des traditions ancestrales et de la tradition musulmane gardée et pratiquée par les habitants du Maghreb auprès desquels il a voulu reposer en cette terre qu’il a tant aimée. Dieu ait son âme dans sa paix éternelle. »

Les assertions de Jean Dutrueil sur le mépris des réalités ethniques par le christianisme et sur le respect dû aux traditions musulmanes m’ont, je l’avoue, laissé pantois. Il y avait cinq grandes aires de civilisation autour de la Méditerranée dans l’Antiquité : la Mésopotamie, l’Egypte, la Phénicie-Syrie-Israël, la Grèce et Rome. Les trois premières ont été liquidées par l’islam et le panarabisme, alors que l’hellénisme et la romanité ont subsisté, même transformés par le christianisme. Quant à respecter l’islam, cela participe de l’esprit de tolérance (Claudel, au secours!), autrement dit du relativisme culturel qui nous conduit à l’abîme. Je rappelle d’ailleurs qu’en Afrique du nord, les populations punico-berbères étaient chrétiennes et que les derniers évêques n’ont disparu que vers 1050. Respecter toutes les ethnies, ce n’est pas respecter toutes les religions. Il y a là un confusionnisme regrettable.

B) Le FN et l’Algérie française

Jean Dutrueil prétend « A première vue, l’écrasante majorité des militaires ayant combattu en Algérie s’étaient révoltés contre le revirement du Général De Gaulle trahissant la promesse du maintien de l’Algérie dans l’Empire rebaptisé à cette époque Union française. Mais en y regardant de plus près, peu étaient partisans de l’Algérie française, rebutés par le mirage multiculturel. Ils se révoltèrent avant tout contre De Gaulle qui traita avec leurs ennemis algériens du FLN, qu’ils avaient pourtant vaincus. »

Cela va à l’encontre de la simple évidence, d’autant que nous sommes encore un certain nombre à avoir été témoins ou acteurs de cette époque. L’OAS aussi bien civile que militaire, combattait bien-sûr pour l’Algérie française et pour l’intégration (concept central) des musulmans dans la pleine citoyenneté française. Le 1er mars 1961 est publié le premier tract de l’Organisation Armée Secrète. Citons ce passage :

« Algériens de toutes origines, en luttant pour l’Algérie Française, vous luttez pour votre vie et votre honneur, pour l’avenir de vos enfants, vous participerez ainsi au grand mouvement de rénovation nationale. Dans cette lutte, vous suivrez désormais et exclusivement les mots d’ordre de l’OAS. Soyez certains que nous nous dresserons tous ensemble les armes à la main, contre l’abandon de l’Algérie, et que la victoire est assurée si nous savons la mériter. »

Il faut d’ailleurs sans cesse répéter que cette Organisation n’était pas fasciste, mais prenait au sérieux l’universalisme abstrait caractéristique de la conception française de la nation (aussi bien monarchique que républicaine), si bien exprimée par Renan (cela au mépris des réalités ethniques, religieuses, bref civilisationnelles). Ni Salan, ni Soustelle, ni Bidault n’étaient d’extrême-droite. Certes, le charismatique Susini se proclamait fasciste. Certes, quelques officiers se réclamaient du « national-catholicisme ». Mais ils demeuraient très minoritaires. En revanche, il est vrai que l’extrême-droite « encartée » soutenait l’Organisation secrète: Jeune Nation, Aspects de la France, la Cité catholique, etc… Et il est vrai aussi que le Front national s’est conçu, à sa fondation, comme fédération des groupes d’extrême-droite. 
En fait, le fascisme n’était pas là où on veut nous l’indiquer: le FLN était financé par le banquier nazi suisse François Genoud, exécuteur testamentaire de Hitler. Encore un nazi fasciné par les musulmans.

De Gaulle, partant des réalités, avait bien conscience de la nécessité de se débarrasser de l’Algérie, inassimilable à ses yeux et coûteuse (20% des dépenses publiques, en pure perte). Dès le 12 juin 1945, dans une directive au Garde des Sceaux, il écrivait :

« Sur le plan ethnique, il convient de limiter l’afflux des Méditerranéens et des Orientaux, qui ont depuis un demi-siècle profondément modifié la composition de la population française. Sans aller jusqu’à utiliser, comme aux Etats-Unis, le système rigide des quotas, il est souhaitable que la priorité soit accordée aux naturalisations nordiques (Belges, Luxembourgeois, Hollandais, Danois, Anglais, Allemands, …). » 

Et l’on connaît cette confidence à Alain Peyrefitte :

« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! »

Cette dernière citation nous prouve qu’il n’y a nul anachronisme à parler de l’intégration/assimilation des colonisés il y a 50 ans et des immigrés extra-européens aujourd’hui. Il s’agit de la même problématique. 

C) Hitler et l’islam

Jean Dutrueil affirme : « Hitler était de gauche, il s’allia avec les musulmans « modérés » proche-orientaux et iraniens avant tout pour des raisons géopolitiques et énergétiques. » Rien ne vaut des citations qui démontrent que pour Hitler, il s’agissait bien plus qu’un choix d’alliances de circonstances et que l’islam le fascinait. 
Voici donc quatre extraits des « Propos de table d’Hitler » (notes de son secrétaire Martin Bormann).

Le 13 janvier 1942 : « Je vais devenir très religieux. Je vais devenir homme d’Eglise. Je serai bientôt le grand chef des Tartares. Déjà Arabes et Marocains mêlent mon nom à leurs prières. Chez les Tartares, je deviendrai Khan. La seule chose dont je serai incapable, c’est d’accepter de partager le mechoui avec les cheiks. Qu’ils me tiennent quitte, moi, végétarien, de la viande. S’ils n’attendent pas trop longtemps, je me rabattrai sur les harems ! » 

Le 1 août 1942 : « Nous ne comprenons pas que les prêtres s’imaginent Dieu à la ressemblance d’un homme. De ce point de vue, les disciples de Mahomet sont, de loin, supérieurs aux prêtres, parce qu’ils n’éprouvent pas le besoin de se figurer Allah physiquement ! ».

Le 28 août 1942 : « La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. (…) Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!), il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel. Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empéchés. » 

Le 2 avril 1945 : « Les peuples régis par l’islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. » 

Dans « Au cœur du troisième Reich, propos d’Adolf Hitler », Albert Speer rapporte cette confidence du führer :

“Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n’avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante.” 

Le dirigeant nazi le plus proche de l’Islam était sans conteste le dirigeant des SS et occultiste déjeanté Heinrich Himmler qui disait dans un discours adressé à des SS musulmans en 1943 :

« Je n’ai rien contre l’islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. L’Islam n’est pas très dissemblable à notre conception du Monde. »
Dans Le Nazisme et l’islam (2004), Claudio Mutti affirme en s’appuyant sur une citation de Léon Degrelle, dirigeant nazi belge, que “Hitler avait indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était d’origine catholique et qui comme enfant avait chanté dans le chœur de la paroisse, montrait un grand intérêt pour l’islam et sa civilisation”. Il montre comment cet engouement fut partagé par de nombreux dignitaires du NSDAP et comment il alla, dans un nombre significatif de cas jusqu’à la conversion et l’exil dans les pays arabophones, notamment en Egypte où ils exercèrent des fonctions sous Nasser : Johann von Leers (Omar Amin), adjoint de Joseph Goebbels, Joachim Daeumling, ex-chef de la Gestapo de Düsseldorf, William Boeckler (Abd el-Karîm), l’ex-SS-Gruppenführer Moser (Hasan Suleymâm), qui occupa un poste d’instructeur militaire; l’ex-commandant de la garde du corps de Hitler Léopold Gleim (an-Nâsir), Louis Heiden (al-Hâj), qui traduisit Mein Kampf en arabe.

Claudio Mutti s’est converti à l’Islam sous le nom d’Omar Amine. Personnage phare du néo-fascisme italien, il se qualifia lui-même de « nazi-maoïste ». En Grande-Bretagne, David Myatt, fondateur du British National Socialist Movement, se convertit lui aussi à l’Islam en 1998.

D) Hitler et la gauche

S’agissant du positionnement à gauche selon Jean Dutrueil ou à l’extrême-droite pour la politologie classique, laissons là encore la parole au caporal autrichien. Interrogé par un journaliste sur son appartenance supposée à la « droite bourgeoise », il répondit que le nazisme n’était d’aucune classe, ne se rattachait ni à la droite, ni à la gauche, mais préservait les éléments purs des deux camps et affirma: « Du camp de la tradition bourgeoise, je prends la solution nationale, et du matérialisme du dogme marxiste, le socialisme vivant et créatif ». (The Essential Hitler: Speeches and Commentary, Max Domarus, p 171). Sur le révolver calibre 7,65 mm que possédait Hitler, était gravé l’inscription suivante: « gegen der rote Front und die Reaktion » (contre le Front rouge et la Réaction), renvoyant dos à dos les extrêmes droite et gauche.
Il est vrai que Josef Goebbels tordait la bâton plutôt vers la gauche. En 1932, dans sa célèbre brochure (Die verfluchten Hakenkreuzler. Etwas zum Nachdenken) exposant le programme du parti nazi (NSDAP) il conclut ainsi :

« Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme !
Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme !
Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !
Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands ! »

Si l’on écarte les pétitions de principe pour rentrer dans le concret, dans les réalisations politiques, on ne peut que constater que les nazis, en trois ans d’occupation de l’ouest de l’URSS, ont conservé la structure sociale intégralement étatisée, remplaçant la nomenklature bolchévique par une nomenklature nazie indigène ou allemande gérant les entreprises et les kolkhozes en totale continuité. Et puis, il y a surtout ce trou noir de l’historiographie, à savoir la République sociale italienne, dite république de Salo, où pendant un an et demi, Mussolini, débarrassé de la monarchie, des conservateurs et de l’Eglise, a pu appliquer intégralement son programme, notamment de nationalisation massive (sauf agriculteurs et artisans), faisant de l’Italie du nord un vrai pays « communiste ».

E) Le « monde libre » et l’islamisme

Le longue digression de Jean Dutrueil sur ce sujet m’a rempli de perplexité.

Dire que les Américains (et les Britanniques) privilégient les monarchies péninsulaires assises sur des réserves d’hydrocarbures colossales pour préserver des intérêts énergétiques est un simple lieu commun. Cela s’est effectué d’ailleurs au prix de rapports souvent tendus avec Israël qui n’a pu assuré son indépendance que par les armes tchèques et russes en 1948 et a dû reculer à Suez en 1956. Les Américains ont aidé Nasser au début et ensuite Sadate et Moubarak: leur critère n’était pas idéologique, mais pragmatique: soutien aux régimes antisoviétiques. 

Parler de régimes « progressistes » pour les dictatures militaires panarabistes sous prétexte qu’elles étaient soutenues par l’URSS peut faire sourire. Nasser, le FLN algérien et le Parti socialiste de la Renaissance arabe (les Baaths syrien des Assad et irakien de Saddam Hussein) sont idéologiquement plutôt nationaux-socialistes. Je ne vois pas qu’ils aient fait faire plus de progrès à leur pays que les monarchies incriminées. Ce serait plutôt l’inverse.

En fait, le choix pour nos Etats de civilisation européenne est périlleux, puisque devant choisir entre la peste islamiste et le choléra panarabiste, qui par ailleurs impactent démographiquement nos pays. En fait, il faut laisser les querelles sur les principes (pourquoi préférer le panarabisme plutôt que l’islamisme ou vice-versa) et demeurer pragmatique. Autrement dit s’orienter à l’opportunité. Soutenir les émirats peut dans certains cas être préféré. Dans d’autres cas, on soutiendra Haftar ou Sissi, ce dernier étant d’ailleurs aidé par les Séoudiens, preuve que l’Orient est compliqué, comme disait le Général. En revanche, une certitude: l’Iran (la vieille Perse antiarabe) doit redevenir un allié « de revers », dès lors qu’elle se débarrasse peu à peu de la chienlit chiito-islamiste.

L’arrivée du général Sissi au pouvoir en Egypte et le retournement du général Haftar en Libye combattant les islamistes de Cyrénaïque sont une immense chance pour la sécurité extérieure de la France, sécurité qu’elle n’a cessé de saborder depuis qu’elle est le caniche des Yankees !

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29 Comments

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  • patrick Canonges , 1 juillet 2014 @ 17 h 15 min

    Je continue à ne pas voir de relation entre “la volonté d’imposer le Dieu unique” et le drame rwandais induit par des dissensions ethniques et sociales instrumentalisées par la colonisation politique et religieuse des Belges.
    C’est justement parce que l’évangélisation a été trop rapide et donc trop superficielle qu’il y a eu ce drame inouï. Les vieux démons de l’Afrique païenne ont resurgi devant des Européens incapables de comprendre ce qui se préparait et ce qui s’est accompli.

  • Jean Dutrueil , 1 juillet 2014 @ 17 h 49 min

    @ Patrick Canonges,

    J’en reviens à votre commentaire sur le génocide rwandais:

    Vous dite cette phrase que je trouve aussi abominable que scandaleuse (attention ce n’est pas vous que je critique mais votre phrase, je précise):

    “Au Rwanda justement, l’Église s’est trop contenté d’une évangélisation superficielle sans avoir la volonté d’éradiquer la morale dite traditionnelle, « raciste » et égocentrique des deux identités (ethnies) en présence”.

    Voici maintenant ce que dis le spécialiste Bernard Lugan, en total opposition avec ce dogmatisme chrétien et arrogant:

    “C’est en effet au XXe siècle que la société rwandaise fut déstructurée : d’abord, par une évangélisation à la fois massive et superficielle, mais dans tous les cas éradicatrice de la morale traditionnelle et de ses interdits”

    C’est justement à cause de l’éradication de la morale traditionnelle et de ses interdis qu’a eu lieu le génocide rwandais.

    Votre propos démontre toute la supercherie du christianisme, qui se dit soit disant une religion d’amour, mais est en réalité tout sauf de l’amour car il se sent systématiquement obligé d’évangéliser tous ceux qui lui sont différents aux mépris de leur coutumes, religions et traditions ancestrales.

    Dénonçant tout ce qui lui est différent comme barbare en se gardant bien de se pencher sur la théologie de ces religions, (ainsi si l’hindouisme par exemple peut rebuter un non initié au premier abord, une étude plus approfondie lui permettra de découvrir une théologie incomparablement supérieure, riche et tolérante à la théologie chrétienne, que ce soit dans la conception du monde ou dans l’essence de Dieu)

    Le christianisme est comme l’islam: une religion intrinsèquement impérialiste qui refuse la différence. Elle a infusé une mentalité universaliste aux européens qui chrétiens puis post-chrétiens ont détruit les civilisations de l’Amérique et de l’Afrique colonisées, destruction qui est la cause première du chaos dans ces parties du monde, avant de se saborder eux même par une immigration massive extra-européenne au nom de cet universalisme mortifère prenant directement racine dans le christianisme.

    D’ailleurs celui-ci, devenu un véritable parti de l’étranger puisqu’il est beaucoup plus pratiqué par une partie de nos envahisseurs subsahariens ayant rajoutés leur coutumes animistes dans un espèce de patchwork qui n’a plus grand-chose à voir avec le christianisme européen des missionnaires, que par nous-mêmes, n’arrive absolument pas à être un étendard identitaire européen contre la mondialisation et l’envahissement migratoire.

    C’est notamment pour cette raison que nos compatriotes désertent les églises, alors que 85% d’entre eux sont taraudés par des questions spirituelles dont le christianisme ne peut répondre.

    “Le monde moderne est plein de valeurs chrétiennes devenues folles” dit la phrase culte, néanmoins les médecins savent très bien que la folie a très souvent une racine originaire pourrie.

    Un recours (et non un retour) à la vison païenne du monde, localiste, ethno-différencialiste (c’est-à-dire acceptant que de la différence biologique des races, découle aussi une différence politico-religieuse), respectueuse des identités, coutumes et traditions ancestrales, prônant non pas le fait de “devenir des petits enfants” comme il est dit dans les évangiles mais au contraire incitant vers le beau, le grand, bref la conduite l’aristocratique comme condition d’union à Dieu, nous permettrait de sortir du chaos dans lequel les conceptions chrétiennes d’universalisme misérabiliste nous ont fourré!

    Pardonnez-moi si mon propos vous heurte, mais ce n’est absolument pas vous qui êtes une personne cultivée et très intéressante que je critique, mais l’universalisme pédant chrétien qui vous lie. Si nous, conservateurs, restons imbibés de ce fumeux universalisme chrétien, nous ne redresserons jamais la France qui disparaitra, et Dieu ne versera même pas une larme : après tout il n’a que faire des peuples qui méprisent la diversité du monde qu’il a créé.

  • Jean Dutrueil , 1 juillet 2014 @ 17 h 57 min

    @ Patrick Canonges,

    pardonnez-moi je viens de poster le commentaire de 17h49 avant d’ avoir vu votre nouvelle réponse de 17h15 qui fera l’objet d’un article sur le catholicisme et le génocide rwandais.

    Bien à vous

  • patrick Canonges , 1 juillet 2014 @ 18 h 50 min

    Votre réponse nous emmène, au-delà du raisonnement historique ou anthropologique, dans le domaine de la Foi. En effet, comme le disait Karl Popper, le critère de la proposition scientifique, c’est qu’elle est réfutable. La Foi ne l’est pas.
    Car votre dernière réponse est une simple pétition de principe, que je ne peux pas réfuter par le raisonnement.
    Vous êtes païen, et vous posez comme axiome que le paganisme est supérieur au christianisme. Soit!
    Toute réponse sur le même registre de la Foi serait totalement vain.

  • Jean Dutrueil , 1 juillet 2014 @ 21 h 54 min

    Je trouve la réponse de Patrick Canonges à mon article sur Lyautey, globalement bonne mais je ne vois pas très bien, en quoi elle conteste mon propos, ses arguments s’additionnent plus aux miens qu’ils ne les contredisent.

    Je répondrai de manière succincte en mettant des liens bibliographiques.

    1) Concernant l’islam et Lyautey,

    Encore une fois je me répète, Lyautey n’était pas tant islamophile que respectueux de la religion des indigènes pour ne pas troubler leur culture politico-sociale.

    Etant jeune il était un catholique fervent, il avait même fait le séminaire pensant devenir moine, puis il ressenti des incohérences dans la foi catholique et le refus de celle-ci dans l’acceptation de son homosexualité. Par conséquent il s’en détourna pendant la majorité de sa vie pour devenir un agnostique voire un athée. C’est seulement à la fin de sa vie qu’il s’en rapprocha pour préparer sa mort faute d’avoir trouvé une religion qui répondait davantage à ses attentes.

    Sur cette question, j’invite le lecteur à lire le livre de Dominique Venner « Un Samouraï d’Occident » qui décrit bien cette évolution de Lyautey.

    Concernant son rapport à l’islam, il était respectueux de cette religion, qu’il appréciait mais en tant que français de culture catholique, il se défendait de rentrer dans une mosquée. Par contre il était extrêmement hostile à l’évangélisation des Pères Blancs qui sévissait en Algérie et qui selon lui participait à la destruction de la cohérence culturelle des indigènes à l’instar de l’universalisme de la troisième république. Lyautey disait refuser « une algérisation du Maroc », c’est-à-dire une assimilation à la république française et au catholicisme qui se croient universels alors qu’ils sont fatalement européens. Sur ce propos j’invite l lecteur à lire la très bonne biographie de Jacques Benoit Méchin ou encore les écrits de Bernard Lugan

    2) Les militaires et l’Algérie française.

    Comme beaucoup, à cause de l’influence gauchiste jusque dans les études historiques, je croyais que la révolte de nos militaires face au pouvoir central avait pour but de maintien de l’Algérie française, mais les lectures autobiographiques de ces très grands soldats que furent de Saint Marc, Bigeard, Venner, et Holeindre me firent considérablement changer d’avis. En effet aucun d’entre eux et de leur nombreux frères d’armes prônaient le maintien de l’Algérie telle qu’elle. En règle général ils voulaient une Algérie politico-ethniquement séparés, Touaregs en bas, arabo-berbères dits algériens au centre, européens au nord servant de frontière protectrice de l’Europe, soit un abandon pure et simple mais sans livraison des harkis et encore moins du pouvoir aux membres du FLN qu’ils combattaient.
    Pour ce qui est de l’OAS ce fut un peu la même chose, peu se battaient pour le maintien d’un Algérie telle qu’elle et cette organisation totalement incohérente était plus un front anti De Gaulle qu’un véritable projet politique, ainsi selon Dominique Venner qui y participa, il y avait des communistes « anti-bourgeois gaullistes », des partisans de l’ethno-dfférencialisme pour l’Algérie, des partisans du lâchage de l’Algérie mais pas au FLN, etc. L’organisation manquait totalement d’unité à tels point que les chefs s’entretuaient physiquement ! Ce fut d’ailleurs cette incohérence plus que la répression extérieure qui scella l’échec de l’organisation.

    3) Concernant Hitler et la gauche

    Nous savons tous qu’il y a les paroles et les actes qui peuvent parfois être en dichotomie. Actuellement, le FN se dit « ni de gauche ni de droite » mais faut être aveugle pour ne pas voir son glissement toujours plus à gauche devenant un véritable parti chevènementiste : étatisme ; laïcisme, interventionnisme économique (voire la position ahurissante de Marine Le Pen, prenant parti pour les grévistes de la SNCF) et nationaliste et non patriote, la différence et de taille : en effet, Marine Le Pen croit en l’assimilation, c’est-à-dire que la majorité des extra-européens pourront épouser les valeurs de la république. C’est faux, car ces « valeurs » ont été conçues par des cervelles européennes et donc les concernent avant tout.

    Celui qui n’accepte pas cette évidence de De Gaulle : citation n’est tout simplement pas de droite, je pense qu’il y a un moment il faut savoir clarifier un peu les choses.
    Pour ce qui est d’Hitler, sur un aspect très différent ce fut aussi la même chose, le nationalisme et le socialisme sont deux abâtardissements issus de la pensée politique de gauche. L’oncle Adolphe était étatiste, centralisateur, interventionniste, etc. bref imbibé de notions profondément libérales, n’est-ce pas ? Concernant sa vision raciale elle était aussi de gauche, eh oui, il prônait une hiérarchie mais surtout une domination universaliste de la race blanche sur toutes les autres aux mépris de leur différence. Il était très proche en réalité de la conception de Jules Ferry qu’admire François Holande qui disait pour justifier la colonisation : « Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. », vous avez bien lu ? Je répète : vous avez bien lu ? Léon Blum aura aussi des propos fort semblables.

    La pensée de droite n’est absolument pas suprématiste mais ethno-différencialiste. C’est-à-dire que chaque race a sa beauté bio-culturelle. Ainsi lorsque les militaires monarchiste de Charles X partirent à la conquête de l’Algérie afin de la débarrasser des barbaresques pirates raflant les français de la côte provençale, ils refusèrent d’assimiler les indigènes arabo-berbères au catholicisme et au mœurs occidentales (famille nucléaire, monogamie, législation française, etc.) et créèrent les bureaux arabes pour protéger les us et coutumes locales. Napoléon III maintint cet état de fait et se déclara « Empereur des Français et des Arabes » pour bien marquer la distinction des deux peuples. C’est la gauche universaliste et son bras droit catholique via les missionnaires Pères Blancs qui bouleversa la donne, bouleversement qui est à l’origine du chaos que connaît actuellement l’Afrique !
    Le refus de la notion raciale par la gauche française actuelle est tout simplement la deuxième face partageant la même médaille (refusant les différences raciales) avec le suprématisme hiltéro-gauchiste d’antan.

    Hitler avait peut-être beau jeu de dire « qu’il n’était ni de droite ni de gauche » mais il était clairement identifié à gauche par ses adversaires de droite qui lui refusèrent l’accès à l’exécutif qu’ils détenaient malgré les élections très avantageuse de 1932 pour le parti national-Socialiste, même le documentaire très politiquement correcte sur la seconde guerre mondiale intitulé « Apocalypse » l’avoue !

    4) Concernant l’Amérique et l’islamisme.

    C’est DELIBEREMENT ET DE MANIERE CONSTANTE QUE LES AMERCAINS ONT SOUTENUS TOUS LES COURANTS LES PLUS RETROGRADES DE L ISLAM DEPUIS 1945, soutient qui EST LA CAUSE PREMIERE DU CHAOS IRAKIEN, SYRIEN, LYBIEN, PAKISTANAIS ET AFGHAN ainsi que de la radicalisation des musulmans de la TERRE ENTIERE !!! Si Messieurs Canonges et Préval ne sont pas d’accords avec ce fait, je les invite tout simplement à pétitionner auprès de la DGSE et plus particulièrement auprès des ex officier du renseignement Alain Chouet, Alain Rodier, Eric Denécé, Claude Moniquet, Alain Charret mais aussi les ex directeurs Pierre Lacoste, Claude Silberzahn et Yves Bonnet (directeur de l’ex DST) qui une fois à la retraite ne se privent pas de remettre les pendules à l’heure!

    Un petit extrait de l’ancien directeur du département des affaires arabes et du contreterrorisme Alain Chouet dans son fameux livre « Au cœur des services spéciaux » :

    « Dès 1941, Pearl Harbor et la Seconde Guerre mondiale ont fait voler en éclats l’isolationnisme ombrageux du Congrès. A la fin de la guerre, les puissances coloniales européennes n’ont plus les moyens de leur impérialisme. Dans le sillage des opérations militaires en Afrique du Nord, au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est, les diplomates et les « conseillers techniques » américains s’activent un peu partout, rapidement stimulés par la Guerre froide et l’affrontement larvé avec l’URSS. Dès le début des années 1950, la politique constante des Etats-Unis va être de dresser autour de l’URSS une muraille de traités militaires d’alliance et de coopération. En Europe, c’est l’OTAN, qui inclut la plupart des pays d’Amérique du Nord, d’Europe occidentale et la Turquie. Au Moyen-Orient, c’est le pacte de Bagdad conclu en 1955, qui sera rebaptisé CENTO après la défection de l’Irak en 1958. En Asie du Sud-Est, c’est l’OTASE et, dans le Pacifique, l’ANZUS, qui réunit les Etats-Unis, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

    D’une manière générale, les pays arabes se sont montrés réticents face à ces systèmes d’alliance. Ils étaient clairement dirigés contre l’Union soviétique qui n’était pas leur ennemie et qui, au contraire, soutenait leurs revendications nationales ou indépendantistes. Au Moyen-Orient, ces traités regroupaient des pays comme la Turquie et l’Iran, que les Arabes considéraient comme des menaces dans les années 1950 et 1960. Enfin, et surtout, les différents régimes arabes pouvaient difficilement s’aligner sur les Etats-Unis, qui avaient fait du soutien inconditionnel à Israël et à l’Arabie saoudite les piliers de leurs politique moyen-orientale. Leur méfiance est d’autant plus renforcée qu’ils constatent au fil des ans que, partout dans le monde arabe, les Etats-Unis jouent en accord avec leur allié saoudien, la carte des extrémistes islamistes contre l’URSS bien sûr, mais aussi contre les forces nationalistes et progressistes locales ».

    Et ce qui vaut pour le monde arabe, vaut pour le reste de l’espace musulman ; ainsi Alain Chouet poursuit : « Pendant plus de vingt ans, soutenus par les Etats-Unis et les pétromonarchies, l’armée et les services indonésiens ont instrumentalisé des groupes islamiques extrémistes dans la lutte contre les communistes, qui s’est terminée dans un bain de sang, puis dans la répression des irrédentismes, notamment celui du Timor-Oriental chrétien. En Iran, ils [les Etats-Unis] ont favorisé la chute du Chah, trop « progressiste », au profit des mollahs, avant de s’en mordre les doigts. Au Soudan, ils ont contribué à la chute du régime Niméiry, trop complaisant à l’égard des communistes, pour le remplacer par les Frères musulmans. Au Pakistan, ils ont joué sur le coup d’Etat du général Zia ul-Haq pour organiser la montée en puissance des islamistes extrémistes garants de l’alignement du pays et de la résistance afghane sur le dispositif antisoviétique. En Somalie, ils ont tout fait pour débarrasser le pays du dictateur Siyaad Barre, parfaitement insupportable et prosoviétique, mais se sont montrés incapables et peu désireux d’endiguer la vague islamiste qui a pris sa place.

    En 1993, Graham Fuller, haut fonctionnaire de la CIA, publie aux bons soins de la Rand Corporation (think tank quasi officiel de la CIA) un rapport officiel prédisant que l’accession des islamistes au pouvoir en Algérie est inévitable, ce qui ne manque pas d’apparaître à ces derniers comme un vif encouragement à poursuivre leur offensive. Et leur allié israélien emboîte le pas des Etats-Unis, en favorisant la création et la croissance du Hamas dans les territoires palestiniens pour contrer l’OLP. Tout le monde le regrette aujourd’hui, mais cette stratégie avait reçu la bénédiction des Etats-Unis et de l’Arabie, qui jugeaient Arafat et ses comparses trop gauchistes ».

    Je pense que son propos est CLAIRE, non ?

    Si les américains ont un temps soutenus Nasser, une fois celui-ci se rapprochant des soviétiques, ils sont soutenus les frères musulmans jusqu’au dernier jour de la destitution de Morsi par Sissi.

    Concernant l’Arabie saoudite si effectivement elle a soutenu Sissi conte les frères musulmans c’est avant tout pour sa propre défense : en effet les américains se dégageant peu à peu de la péninsule arabique pour se redéployer dans le pacifique laisse l’Arabie saoudite nue, face au géant iranien qui lorgne sur son pétrole qui est essentiellement situé sur sa côte est sur lequel réside de nombreuses minorités chiites. Par conséquent, ne voulant pas avoir le chaos d’une guerre civile entre islamistes et nasséristes sur son flanc ouest pour ne pas aggraver sa situation géopolitique elle a soutenu le général Sissi d’autant plus que l’Égypte est une véritable bombe à retardement à cause de sa démographie galopante.

    Mais ne nous inquiétons pas elle soutiens toujours nos islamistes de banlieues et les discours rétrogrades des mosquées françaises via ses pétrodollars, lire encore une fois Alain Chouet !

    Bien à tous !

  • Jean Dutrueil , 1 juillet 2014 @ 22 h 24 min

    @ Patrick Canonges,

    Malheureusement votre réponse est éronnée. Pourquoi? Car la distinction entre la foi et la raison est une notion venant du christianisme et notamment de sa phrase évangélique: “rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César”.

    Dans les paganismes, cela est totalement différent: il n’y a pas de différence ente foi et raison ,entre spiritualité et science car le spirituel et le biologique sont intimement liés.

    Le biologique notamment cérébrale est une programmation provoquant une perception spirituelle spécifique. Ainsi la perception des sémites est différente de celle des européens même en matière de spiritualité, cf mon article Dieu et les Races sur le site;

    Les païens ont une spiritualité fondée sur l’observation spécifique à chaque ethnie des lois naturelles car selon eux la nature est une émanation de Dieu et non une création subalterne comme c’est le cas dans les trois religions abrahamiques.

    Je pourrai vous retourner l’argument: Vous êtes chrétien, et vous posez comme axiome que le christianisme est supérieur au paganisme. Soit! mais ce dernier n’a jamais prétexté avoir la Vérité Unique à imposer aux peuples, les déstructurants en les arrachant leurs coutumes ancestrales.

    Ce ne sont pas les païens rwandais qui sont allés prêcher la bonne parole aux européens qu’ils ne leur avaient strictement rien de demandé…et de leur dire que leur religion catholique était, pour vous paraphraser une simple morale dite traditionnelle bonne à éradiquer puisque, « raciste » et égocentrique.

    Je vous signale que leur religion raciste et égocentrique avait réussi à trouver un équilibre de paix entre Tutsi et Hutus, équilibre balayé par les petits blancs colonisateurs universalistes et catholiques!

  • Jean Dutrueil , 1 juillet 2014 @ 22 h 52 min

    ah oui monsieur jeanluc,

    Et le christianisme lui même n’est pas totalement imprégné de paganisme?

    Voici ce que j’écrivais dans un précédent article:

    “la vie de Jésus fut fortement influencée par celle des dieux indo-européens avec qui elle partage le schème archétypal du Sauveur en tant que deuxième fils trinitaire de Dieu descendant sur Terre, s’incarnant dans une vierge accouchant dans une crèche au solstice d’hiver (25 décembre) autour d’un âne (l’impur) et d’un bœuf (le pur), révéré par trois rois mages guidés par l’étoile polaire, prêchant dès l’âge de 12 ans, s’entourant adulte de 12 apôtres symbolisant les constellations du zodiaque, prêchant la tolérance et l’amour (notamment des plaisirs), ayant vécu 33 années, mort (parfois sur une croix symbolisant le centre raccordé aux 4 points cardinaux qu’on trouvera des milliers d’années avant le christianisme chez les hindous mais aussi à l’autre bout de l’arc indo-européen chez les celtes) puis ressuscité 3 jours plus tard. Tous ces dieux (Horus, Mithra, Vishnu, Dionysos, Orphée, Sérapis, etc.) étaient des dieux tolérants représentant la sacralité du monde”

    Je vous invite à lire les études de l’ unversitaire Phillipe Walter qui remet beaucoup de pendules à l’heure!

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