François Hollande et la presse stipendiée VS Google

Le Zemmour du mardi. « Quand le Président de la République française rencontre le patron de Google, ce sont deux mondes qui se font face, deux époques, deux pouvoirs. Hollande, à l’Élysée, reçoit encore dans les ors de la République. Le patron de Google dispose, lui, d’or sonnant et trébuchant. Dans sa langue, on dit du cash. C’est un grand d’hier qui reçoit le maître d’aujourd’hui. C’est un État nation, qui, allié aux autres États d’Europe, essaye de ligoter le géant, tels les nains avec Gulliver. En quelques jours, Hollande a tapé tous azimuts : il a demandé à Bruxelles de faire payer Google pour la filière du cinéma, hier il a annoncé une loi qui obligerait Google à verser de l’argent aux journaux qui lui fournissent de l’information. Le géant américain ne veut rien savoir, ne veut rien payer. Il nous regarde de haut. Il ne gagne pas d’argent avec les sites d’information, pas de publicité avec les news, il n’a pas besoin de ces nains. Depuis des années, il se rit des frontières et des fiscs français et étrangers : il ne paye pas d’impôts nulle part, mettant en concurrence les États entre eux, les ridiculisant. Le seul à l’avoir fait plier est la Chine…”

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8 Comments

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  • jeanhaimard , 30 octobre 2012 @ 17 h 38 min

    Comme Poutine il lui a dit d aller lècher les babouches ailleurs c est tout ce qu il est capable de faire

  • tintin , 30 octobre 2012 @ 19 h 36 min

    On taxe avant d’interdire, on taxe car on ne peut pas encore interdire.

    Sans les subventions, tous les médias français auraient déjà fait faillite, (le monde, l’express, le figaro etc.), le régime les subventionne avec nos impôts et tous ces torchons, sont alors la voix officielle des propagandes Républicaines.

    La République croit qu’elle peut organiser la censure d’internet, comme hier elle prît le contrôle des bureaux de Press, en organisant les messageries de presse et en plaçant toutes les rédactions sous subventions !

    On taxe google comme on voulait taxer l’imprimerie de Gutenberg à défaut de pouvoir totalement la censurer ou la prohiber.

    Zemmour tombe enfin le masque, cette (…) républicaine prend le parti de la République, contre Gutenberg !

  • Dodds , 30 octobre 2012 @ 20 h 51 min

    “deux mondes qui se font fasse” Le rédacteur de cet article n’est pas très en forme …. : “Deux mondes qui se font FACE” …. Quand même …. pffff !!!

  • Eric Martin , 30 octobre 2012 @ 21 h 21 min

    C’est corrigé, toutes mes excuses !

  • Dodds , 31 octobre 2012 @ 10 h 13 min

    Pas de problème. L’inattention, cela arrive.

  • JPL , 31 octobre 2012 @ 10 h 40 min

    C’est une arme à double tranchant, car Google pourrait tout aussi bien considérer qu’il devrait être payer pour diffuser à travers le monde les articles de presse français.
    La presse française croule déjà sous un flot continue de subventions et d’avantages fiscaux extravagants en faveur des journalistes, mais ce n’est pas assez il en faut encore plus pour cette nomenklatura.
    Que google résiste devant tant d’exagération. Si Google cède demain le pouvoir n’hésitera pas à censurer les internautes eux-mêmes ou de les taxer à outrance. C’est la seule chose que sachent faire les socialistes et les castes en place haineuse et jalouse.

  • tintin , 31 octobre 2012 @ 20 h 01 min

    De plus il ne s’agit pas de la presse “française”, mais de la presse “française républicaine socialiste” !

    La presse qui n’est ni républicaine (pour la démocratie directe ou la monarchie par exemple), ni de gauche, ne reçoit elle, aucune subvention !

    Les subventions à millions sont conçues pour être indirectement versées uniquement aux soutiens du régime.

    C’est encore plus sophistiqué que ce que faisaient les communistes…

    Exemple : Robert Lafont n’a le droit à aucune subvention ! http://www.lafontpresse.fr/

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