Sélection à l’université : Éric Zemmour analyse le choix du gouvernement

“Comme un baigneur qui renonce à plonger dans l’eau après l’avoir longtemps tâtée du pied, le gouvernement a finalement renoncé.”

Source : “On n’est pas forcément d’accord” avec Éric Zemmour du 31 octobre 2017

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2 Comments

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  • borphi , 31 octobre 2017 @ 17 h 01 min

    Excellente analyse de Zemmour !!!!
    Que d’ambiguïtés chez Macron et son gouvernement !

  • Jean NOGUES , 1 novembre 2017 @ 10 h 47 min

    L’université française va donc continuer sa lente transformation en l’hydre à plusieurs têtes suivante

    1) une monstrueuse salle d’attente du docteur Paul Emploi

    2) un aimant géant qui va fixer les limailles et copeaux de l’obsolète usine de l’enseignement secondaire français, dont les produits nobles poursuivront leurs études et parcours hors de ‘l’université, qui serait d’ailleurs bien en peine de les prendre en charge.

    3) un vaste atelier national sur le modèle 1848, où des cohortes d’autodidactes de tous horizons occuperont comme ils le pourront les copeaux et limailles (sociologie, psypsy à gogo, histoire des arts premiers en Nouvelle-Guinée, thèses oecuméniques sur l’histoire des religions dans la région Centrafrique, cours de troisième cycle sur les droits de l’homme, thèses sur les dates comparées des premières apparitions d’acné chez les adolescents des dernières tribus d’indiens d’Amazonie et chez les adolescents des dernières peuplades d’australopithèques dans le bush, etc etc)

    4) le plus grand parti politique-laboratoire de gauche et d’extrême-gauche du monde, complètement déconnecté par principe des méprisables activités économiques des misérables humains extérieurs à cet ensemble unique au monde et que bien entendu, le monde entier nous envie..

    5) un bureau de recrutement d’enseignants de toute sorte pour assurer la continuité et la pérennité de l’institution.

    6) une pépinière monopolistique de futurs cadres politiques de la République Française.

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