Tensions et violences entre policiers et Gilets Jaunes place de la République (VIDÉOS)

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  • Droal , 3 février 2019 @ 12 h 31 min

    Les gj ont bien du courage à s’attaquer à un régime qui a établi la liberté, l’égalité et la fraternité par 5 années de terreur par décapitations, qui vont de juillet 1789 à juillet 1794.

    1825 jours d’imposition d’une terreur non-stop n’est pas à la portée du premier peuple venu.

    Il faut tout de même remarquer que les révolutionnaires étaient des hommes et des femmes de l’Ancien régime dotés d’une trempe certaine et d’une détermination inouïe.

    La question qu’on peut se poser est de savoir si les 10 milliardaires qui ont réussi dans ce pays vont pouvoir anéantir ceux qui ne sont riens, ceux qui ne sont pas des Français d’origine étrangère, mais des Étrangers d’origine française.

    On se souvient qu’au siècle dernier, l’Allemagne avait eu le dessein d’anéantir la totalité des étoiles jaunes, dessein qui échouât puisque seulement « le tiers des étoiles tomba sur la terre ».

    Le peuple élu ressenti tout de même le vent du boulet et il n’en est même pas encore vraiment revenu.

    Au final, on a le petit reste des étoiles jaunes contre le petit reste des gilets jaunes. Le peuple élu contre la nation élue.

    La nation élue s’est comptée le 29 mai 2005.

    15 449 508 (54,67%) étrangers à l’€urope – d’origine française – n’ont pas plié le genou devant Mammon, c’est-à-dire devant la sixième république (Constitution €uropéenne) auprès de laquelle la cinquième République n’est plus qu’une coquille vide, comme chacun peut le constater à l’envie.

    15 449 508 riens qui témoignent que 20 siècles d’histoire de France ont bien eu lieu.

    15 449 508 est à peu près le nombre de juifs restant dans le monde avant la deuxième guerre mondiale.

    15 449 508, ce n’est pas rien, c’est presque rien.

    Pour prendre un peu de hauteur, voici ce que Léon Bloy (1846-1917) écrit:

    « L’essence française est une chose tellement à part, tellement réservée, qu’on ne trouve à lui comparer que l’essence juive, l’estampille de l’une ou l’autre race paraît être la NÉCESSITÉ DIVINE, l’ineffable et irréfragable décret qui les associe pour jamais aux vicissitudes providentielles.

    Celle-ci crucifie son Dieu parce qu’il est fils de ses Rois, celle-là fait mourir le fils de ses Rois parce qu’il est la plus claire image du Fils de son Dieu et le dénouement du drame de l’Homme est à leur merci.

    Mais ce dénouement est inconnu et voilà pourquoi les larmes de La Salette ont coulé… »

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