Notre-Dame : les 400 tonnes de plomb fondu lors de l’incendie inquiètent les riverains (REPORTAGE)

3 Comments

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  Jean-Louis COUVERT , 3 août 2019 @ 19 h 35 min

  Le plomb en question ne risque pas de s’envoler avec des courants d’air (une tonne de plomb n’est pas une tonne de plumes). Ceci dit, le plomb n’est dangereux qu’en ingestion, donc je pense que les riverains ne courent pas de grands risques (je sais ‘ils” me diront que je n’habite pas là-bas) mais l’idée qui se cache derrière cette “inquiétude” ne serait-elle pas : puisqu’il y a un risque sanitaire, rasons ce qui reste de Notre-Dame pour enterrer ledit plomb… Et promouvoir un quelconque projet qui aidera à détruire un peu plus les racines chrétiennes de la France, donc son identité ? ? ?
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  Goupille , 4 août 2019 @ 9 h 56 min

  Comique…
  On se demande ce que la CGT 4ème a à voir en cette affaire puisque les vents dominants leur ont épargné toutes retombées gazeuse. Il n’est que d’aller à Saint Denis pour voir ce qu’une municipalité communiste édifie à côté d’un monument patrimonial religieux. Le même archéo-anticléricalisme est toujours à l’œuvre dans ces têtes de rats.

  Le centre de Paris est totalement pollué en tout et n’importe quoi à cause des cars et voitures et de sa situation de cuvette. La Seine est un cocktail de métaux lourds et résidus de tout et n’importe quoi aussi. Alors Notre-Dame, là-dedans…

  Quant au délai imposé à la réalisation du “grand geste architectural contemporain” du petit autocrate présidentiel, on peut espérer que c’est la levée massive des Catholiques de France qui le retardera, plus que le plomb.
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  André Rossi , 4 août 2019 @ 11 h 19 min

  Je ne savait pas que le plomb fondu s’évaporait, je croyais qu’il coulé et se refroidissait en arrivant au sol !

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