Élisabeth Lévy à propos de l’acharnement anti-Zemmour : “Si on était encore le pays des Lumières, on argumenterait, on débattrait” (VIDÉO)

Élisabeth Levy : “Un syndicat de journalistes qui demande la mise à pied d’un de leurs confrères, c’est assez cocasse. La liberté d’expression devrait être sacrée. Si on était encore le pays des Lumières, on argumenterait, on débattrait.”

Source : Sud Radio

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  • Jean NOGUES , 5 octobre 2019 @ 11 h 10 min

    Cela se confirme à chacune de ses interventions : bravo et merci à Elisabeth Lévy. Cette dame courageuse et d’une grande intelligence nous fait du bien quand elle nous parle. Prions pour qu’elle conserve sa liberté de parole publique, car au train où ça va dans le petit monde faisandé des médias français autorisés unis (MFAU), elle risque tôt ou tard de rejoindre Eric Zemmour dans la charrette où veulent la pousser ceux qui prétendent nous faire la morale, et qui se rendent odieux rien que pour ça. On est assez grands pour savoir par nous-mêmes ce qui est bien ou mal, non ? le catéchisme face à des icônes désuètes, c’est démodé, non ? les camps de rééducation, ça suffit, non ? bientôt, grâce à ces MFAU, si on ne les arrête pas, la France sera un camp de rééducation de 550 000 km 2 ! Personne ne les écoute plus ; on a peur de dire ce qu’on pense devant eux, de peur que ça soit déformé pour nous faire un procès ! on a peur même de dire ce qu’on pense à un institut de sondage, des fois que….. ! on se voit obligés de s’autocensurer quand des oreilles inconnues nous entendent ! on a tous peur d’écrire librement (*) ! ils ne se parlent qu’entre eux, puisqu’ils n’invitent à leurs prétendus ”débats” que ceux qui pensent comme eux, alors forcément ils se retrouvent entre eux, et ils n’ont rien à se dire d’intéressant entre eux puisqu’ils sont tous d’accord, le petit doigt sur la couture du pantalon, avec une pensée unique descendant d’on ne sait quel Dieu de l’Olympe Bien Pensant (DOBP). Ils n’ont pas encore compris qu’ils commencent vraiment à nous barber grave avec leur permanent réductio ad hitlerum : ça risque de faire proliférer les groupuscules qui, rien que pour les narguer, feront semblant d’adorer Hitler (tout en sachant très bien ce qui en est : ce ne sera que pour faire baver de rage ces rabat-joie, comme quand un Gavroche singe un vieux schnock emm….deur rien que pour le faire ”bisquer”. Avec des zozos comme Moix, ça marchait à tous les coups : on le branchait à propos de n’importe quoi, par exemple à propos d’une recette de cuisine ou de la dernière désespérante donzelle posant dans Gala ; un mot de travers, et vlan, ça ne ratait jamais : l’intéressé dégobillait ses insultes antiracistes, antinazies et tout le saint-frusquin de la panoplie du parfait bien-pensant, mieux qu’un limonaire dont on vient d’actionner la manivelle. On pouvait se faire des paris entre nous : ”je te parie que rien qu’en parlant de la dernière tornade aux USA, il va nous sortir les camps de la mort et Hitler, tu verras, je vais le brancher en lui faisant remarquer que cette tornade s’est produite justement, comme par hasard, pendant le mandat de Trump, et tu verras, je te parie que ça va tout enclencher…..dix contre un, d’accord ?”). Qui ressemble le plus au célèbre Goebbels, maître du bourrage de crâne public ? Eric Zemmour, ou ces petits censeurs pires que les jansénistes hépatiques bilieux de sinistre mémoire ?

    (*) Rappel : ”donnez moi deux lignes écrites par n’importe qui sur n’importe quoi, je me charge de l’envoyer aux galères” (Fouché, terroriste repenti, ministre de la Police de Napoléon Bonaparte ).

  • Jacques Peter , 5 octobre 2019 @ 20 h 49 min

    La liberté d’expression est devenue le soldat à sauver à tout prix.

  • ESTEB , 6 octobre 2019 @ 10 h 22 min

    Merci Jean NOGUES pour cette magnifique intervention..Juste et bien révélatrice de la présence d une police journalistique qui régule la pensée unique des uns et la dificulté pour les autres de s exprimer……….

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