Pétain : pour Éric Zemmour, “Macron dit tout et son contraire”

4 Comments

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  Trucker , 8 novembre 2018 @ 10 h 22 min

  ……c’est pourquoi son p’tit nom à Macron est ” et en même temps “……
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  BUREAU , 8 novembre 2018 @ 11 h 31 min

  Dire tout et son contraire, c’est la particularité de Macron. Hier, à VERDUN, une femme a refusé de lui serrer la main et lui a demandé d’essayer de vivre avec 1300 € par mois. Je salue cette femme et j’aimerais l’imiter si Macron s’approchait de moi.
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  Paule C , 8 novembre 2018 @ 11 h 54 min

  Autrement dit, il raconte n’importe quoi…Mais on s’en était déjà aperçus.
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  Droal , 8 novembre 2018 @ 14 h 04 min

  La France a eu de grands antisémites.

  Pétain bien sur, mais aussi François Mitterrand qui reçu la Francisque des propres mains du Maréchal.

  A noter que Mitterrand eu comme conseiller Jacques Attali qui considère le juif berbère Zemmour comme un antisémite.

  Le plus grand antisémite qu’on ait eu fut évidemment De Gaulle Charles, « Monsieur De gaulle » comme le nomme respectueusement Roger Holleindre.

  Raymond Aron affirme que De Gaulle a réhabilité l’antisémitisme dans sa conférence de presse du 27 novembre 1967, traitant de « la guerre des six jours ».

  Cinq mois après, en mai 1968, l’antisémite De Gaulle dégageait face à Daniel Cohn-Bendit (homme politique franco/allemand qui a la particularité d’avoir « en même temps » gagné et perdu la deuxième guerre mondiale).

  Le 27 avril 1969, De Gaulle donnait sa démission.

  Il était remplacé par un ex-employé de Rothschild, le ci-devant Pompidou, auquel a succédé bien plus tard un autre ex-employé de Rothschild, le ci-devant Macron Emmanuel (je rappelle que Rothschild qui gagne plus de 2500 € net par mois, n’est pas antisémite et n’est pas gaulliste).

  De 1967 à 2018, c’est donc 51 ans d’antisémitisme estampillé « gaulliste brut de décoffrage » et voilà t’y pas qu’Emmanuel vient de se revendiquer comme un « gaulliste convaincu ».

  Daniel Horowitz écrivait dans le Monde du 22 décembre 2011 a propos de la conférence du 27 novembre 1967 :

  « C’est ainsi que quand de Gaulle déclare que les juifs lui apparaissent comme un « peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur », le fond de sa pensée semble être que ces propriétés ne sont acceptables que si elles sont associées à la France, seule habilitée par la Providence à en faire un usage adéquat.
  Aujourd’hui ces propos pourraient tomber sous le coup de la loi. Celle de 1972 contre le racisme précise en effet que « ceux qui, par l’un des moyens énoncés à l’article 23, auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d’un emprisonnement d’un mois à un an et d’une amende de 2 000 à 300 000 F ou de l’une de ces deux peines seulement. »

  Il me semble que dans ce cas, beaucoup de rues et avenues pourrait être débaptisées, notamment la place Charles de Gaulle à Paris et l’aéroport Charles de Gaulle.

  On pourrait par exemple lui donner le nom d’une grande écrivaine française, Place Simone Veil, et le nom d’un grand intellectuel français, Aéroport Cyril Hanouna, grands/es Français/ses qui ne sont vraisemblablement pas antisémites.

  A étudier et le plus tôt possible sera le mieux.

  Qu’Allah nous protège.

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