Brésil : les petits soldats de Bolsonaro (REPORTAGE)

Élu à la tête du Brésil, le nouveau président Jair Bolsonaro inquiète les gauchistes. Il s’appuie sur une base électorale très jeune et très connectée. Cette jeunesse, Bolsonaro compte sur elle pour éradiquer le marxisme de la société, plus particulièrement de l’école et de l’université. Il a promis de créer de nouveaux collèges militaires gérés par l’armée, où patriotisme et nationalisme seront les piliers de l’éducation. La première bataille du nouveau président brésilien est idéologique : pour la gagner il s’est entouré de lobbyistes particulièrement efficaces et décomplexés comme les partisans du mouvement « École Sans Parti ». Ces derniers ne tolèrent pas que les professeurs de l’école publique se fassent le relai des « idéologues marxistes ». Appuyé par de jeunes députés bolsonaristes, ce mouvement n’hésite pas à afficher le visage des professeurs gauchistes militants qui se servent de leur travail pour contaminer la jeunesse sur les réseaux sociaux. Le reportage hostile et très orienté de la chaîne Arte :

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3 Comments

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  • HuGo , 12 avril 2019 @ 8 h 55 min

    cela me paraît, au contraire, une saine réaction dans un pays qui partait à vau-l’eau. Société multiculturelle, multiethnique, marxisante, extrêmement déliquescente, très délinquante, à haut taux d’homicide ; c’est tout à fait vrai !
    Qui pourrait nier l’antichristianisme ? C’est le même processus que nous voyons croître en EURRSL ?
    Qui croira que les enseignants au Brésil soient moins respectés dans ce nouveau contexte alors que chez nous nous le vivons ?
    Le nombre de profs qui diminue ? Ce fait souligne vraiment leur mauvaise foi alors que le Président n’est effectif que depuis un mois ? C’est avouer assurément que c’est le résultat du manque de discipline du lourd passé, du laissez-aller, du je-m’enfoutisme depuis des années comme chez nous d’ailleurs !!!
    Je leur conseillerais de prendre un arrêt de travail de huit années au moins, car il sera très certainement réélu ; bien sûr, cela fait mal à Arte de devoir constater qu’il est trop populaire au Brésil, à l’instar de DJ Trump ou de V. Poutine.

  • Charles Martel , 12 avril 2019 @ 12 h 02 min

    Je prie pour qu’un jour, en France, nous ayons ce même renversement de tendance… J’ai été en collège militaire sous la présidence de Giscard d’Estaing, pourtant, tous mes professeurs étaient marxistes et l’un avait même sa carte du parti communiste ! Mais ça, les journalistes d’Arte le trouvent normal ! L’enseignement français est gangrené depuis des lustres par l’infiltration marxiste. C’est l’université française qui a donné à la planète ses pires tortionnaires. Mais aucun des journalistes qui leur avaient été favorables, au Monde ou à Libération, n’a jamais accepté de rectifier lorsqu’on a su la vérité !
    Ce sont les serviteurs du Prince du Mensonge, c’est à leurs mensonges qu’on les reconnait.

  • Godefroy de Bouillon , 12 avril 2019 @ 13 h 13 min

    Vive Bolsonaro !
    A quand un président comme cela chez nous ?

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