Alliance des partis autoproclamés “libéraux” au Parlement européen et d’En Marche

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  • Trucker , 11 novembre 2018 @ 14 h 40 min

    Progressistes qui agissent dans le sens de la régression de la société….et démocrates qui remettent en cause systématiquement le résultat des consultations démocratiques lorsqu’elles ne leur sont pas favorable…..

    Bienvenue dans l’Union des Emfumeurs

  • Trucker , 11 novembre 2018 @ 14 h 42 min

    …..enfumeurs….en un mot car je sens venir le correcteur automatique….

  • Charles , 11 novembre 2018 @ 15 h 03 min

    Le progressisme nous conduit pas à pas vers le monde “bionique”
    avec des enfants “bioniques” donc “fabriqués” en situation”optimale”.
    Ceci en lien avec les techniques de PMA & GPA.

    https://www.youtube.com/watch?v=fOzVgZmiu4U

  • jejomau , 11 novembre 2018 @ 15 h 57 min

    “Si jamais il n’y a pas un changement en profondeur en France avec les prochaines élections, nous allons vers une guerre civile” (Père Boulad)

    Dans cet entretien, le père Henri Boulad explique ses motivations pour avoir demandé la nationalité hongroise, donne sa vision de l’Europe et de l’Islam, et adresse un message aux chrétiens européens et aux Français.

    Vous venez d’acquérir la nationalité hongroise. Quelles ont été vos motivations ?

    Tout a commencé le mois dernier par une visite du vice premier ministre hongrois pour me remettre de la part du premier ministre Victor Orban une décoration et une invitation à venir en Hongrie. Lors de cette visite, le vice premier ministre m’a demandé si j’avais un désir quelconque, l’idée m’est alors venue de demander la nationalité hongroise… Il faut savoir que depuis des années – je me rend fréquemment en Hongrie depuis 1992 – j’aime le peuple hongrois par sa profondeur, son enracinement chrétiens, sa conviction et son attachement à des valeurs humaines. Les Hongrois m’apprécient aussi, la Hongrie est le pays où le plus grand nombre de mes livres ont été traduits.
    Je trouve que Victor Orban est très courageux par sa position pour sauver l’héritage de son pays et de l’Europe face à cette immigration folle vers l’Europe. Comment se fait-il que l’ensemble des pays européens soient dans une toute autre direction ? Les raisons sont surtout idéologiques – cela n’a rien à voir avec l’Evangile ni l’accueil de l’étranger – idéologie libérale qui consiste à tout accepter et qui dissout toutes les identités par le multiculturalisme et la mondialisation. La Hongrie n’est pas tombée dans ce piège.
    Je ne savais que Victor Orban me connaissait et avait lu mes livres. Lorsque nous nous sommes rencontrés le 16 mars dernier, Il m’a dit : travaillons ensemble, on peut faire quelque chose ensemble. Jamais je n’avais pensé à cela. Je me suis donc dit : une porte s’ouvre, c’est providentiel. Victor Orban et moi partageons la même vision, nous pouvons ensemble imaginer une autre Europe et réfléchir à quelle stratégie mettre en place pour l’orienter dans une autre direction que celle où elle est en train de sombrer. Je crois que ce petit pays de 10 millions d’habitants qu’est la Hongrie peut faire basculer l’Europe, et il est en train de la faire basculer, et j’ai l’intention de m’y investir !

    Quel sentiment cela vous procure-t-il d’être devenu hongrois ?

    Ce n’est pas uniquement d’ordre sentimental, c’est beaucoup plus profond. Car au-delà de l’obstacle de la langue que je ne connais pas et que je connaîtrai sans doute jamais, il y a une communion des valeurs, un sentiment que nous sommes sur la même longueur d’onde, que nous pensons la même chose. Je dirai donc que cette nationalité concrétise ma sympathie et empathie spontanée avec le peuple hongrois dans lequel je sens une sincérité profonde, une honnêteté.
    Je ne crois pas au hasard, je crois à la Providence. Le fait que Victor Orban m’ait envoyé jusqu’à Alexandrie son vice premier ministre pour m’inviter, c’est un signe de Dieu, je le prends comme tel. Et tant que le Seigneur me donne un peu de santé et une tête qui fonctionne assez bien, je veux m’investir ! Il n’y a pas une minute à perdre, nous sommes devant des enjeux énormes. Et donc c’est au-delà du sentiment, c’est pour moi une obligation, un devoir, c’est un signe donné par Dieu qui me dit : engage-toi, j’ai besoin de toi. Moi qui ne suis rien, qui vient d’Egypte, qui ne connait pas la langue, et bien pourquoi pas. Puisque le Seigneur m’ouvre une porte, j’entre !

    https://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/père-boulad-le-petit-pays-quest-la-hongrie-peut-faire-basculer-leurope-et-jai-lintention-de-my-inves.html

  • hermeneias , 12 novembre 2018 @ 11 h 21 min

    Oui pas facile de se dire “libéral” aujourd’hui !
    C’est très connoté et ambigue des 2 côtés de l’Atlantique ….Cela sent mauvais et c’est aller au casse-pipe

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