La gaystapo a encore frappé : il devient interdit de dire que « les femmes n’ont pas de pénis »

Dans un article du 21 septembre dernier, le Daily Mail raconte comment un étudiant en philosophie de l’université de Durham, Angelos Sofocleous, a été renvoyé de son poste de rédacteur du journal de l’université pour « transphobie » : il avait retweeté un article mentionnant que « les femmes n’ont pas de pénis ».

Outragés par cette insupportable déclaration, une « horrible m… transphobe », certains de ses camarades progressistes ont donc obtenu son renvoi du journal. L’ex-président de l’association « LGBT Humanists UK » a notamment déclaré que ce post était « factuellement incorrect », et « pas digne de débat ».

La raison invoquée par la direction de l’université pour le destituer de son poste de rédacteur est que « cette position requière d’être impartial ».

Président de la Société Philosophique de l’université de Durham, M. Ryan Lo a quant à lui déclaré à cette occasion que cette Société « ne pouvait tolérer les pratiques racistes, sexistes et transphobes ».

Angelos Sofocleous s’est défendu :

« Ce que j’ai dit était un simple fait biologique », « nous avons atteint une ère étonnante où l’on vire les gens pour avoir mentionné un fait ».

La dictature du lobby LGBT se met en place.

Via Le Salon Beige

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3 Comments

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  • Urbon , 15 octobre 2018 @ 13 h 22 min

    Quand est ce que les gens comprendront que ce genre de position, absurde, sur la sexualité n’est rien d’autre que du marketing ?

    Le but, nous vendre une individualité asexuée, n’ayant que le plaisir pour finalité… Et laisser la reproduction aux laboratoires pharmaceutiques.

    L’identité sexuelle d’une personne ne se reproduisant plus n’a en fait aucune utilité. Et comme il est encore impossible dans l’état actuel de nos valeurs morales de nous vendre des bébés comme si c’était des marchandises, on fait tout notre possible pour en susciter le désir. Concrètement, on normalise tous les formes de sexualité incompatibles avec la reproduction et on empêche ceux qui se reproduisent encore de se différencier des autres en société.

    Par on, j’entend surtout une floppée d’abrutis qui pensent vivre avec leur temps, alors qu’ils ne font que fantasmer l’avenir en invectivant le progrès, parce qu’il ne va pas assez vite.

    Quand il faudra expliquer à son gosse qu’il n’arrivera à rien dans la vie parce que produit d’une première série en laboratoire, qu’il n’y a plus de mise à jour prévue, et que les nouvelles séries sont bien plus performantes, qu’en plus elles sont remboursées par la sécu… Ce jour là qui se demandera comment on a pu en arriver là ?

    Nous commençons à vivre une révolution technologique et morale d’importance. Plus rien n’est sacré ici bas, même plus la naissance d’un individu, ni sa mort. Du moins, c’est ce vers quoi nous allons. Tout cela sera marchandable. Pour l’heure c’est l’union de l’homme et la femme qu’on désacralise, le reste suivra logiquement : Les technologies, produits de la génétique et de la biologie, sont déjà là.

    Reconnaître une différence entre l’homme et la femme est une insulte au progrès. Un blasphème pour les exaltés… Le débat moral n’aura donc pas lieu. Les pharmaciens peuvent se frotter les mains.

    Mais attention là ! Je vais trop loin, on pourrait déjà m’attaquer pour diffamation.

    La plupart des pharmaciens sont des cons comme les autres, persuadés qu’ils sont qu’on leur demande leur avis quand on ne leur laisse aucun choix.

    Choisir sa sexualité, c’est refuser d’en avoir une. Ni plus, ni moins. Il n’y a pas trente six façons d’unir un homme et une femme pour qu’ils se reproduisent. Il y a seulement trente six façon de prendre son pieds sans risquer l’accident. À proprement parler, on sort donc du champs de la sexualité.

    L’avenir s’annonce des plus obscènes mais puisque c’est l’avenir… Dépêchez vous de faire des gosses avant que cela ne soit interdit !

  • BUREAU , 15 octobre 2018 @ 18 h 06 min

    Et on veut nous faire avaler ça ! Je ne connais aucune femme avec un pénis ou alors, c’est une anomalie.

  • Christiane , 16 octobre 2018 @ 15 h 30 min

    La stupidité est sans limite, elle devient insondable.

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