L’Italie : nouveau cauchemar de Bruxelles ? Le décryptage de Jacques Sapir

Depuis le 1er juin, un nouveau gouvernement italien s’est constitué, non sans mal, sous la houlette de Giuseppe Conte. Il est composé notamment des deux formations politiques arrivées en tête aux dernières élections générales de mars dernier : la Lega et le Mouvement 5 étoiles. Une des premières décisions de Matteo Salvini, patron de la Lega mais également ministre de l’Intérieur italien a été de refuser d’accueillir les 629 clandestins repêchés par l’Aquarius, le bateau de l’association immigrationniste SOS Méditerranée, financée par George Soros. Après avoir bouleversé l’échiquier politique du pays, les dernières élections générales vont donc bel et bien bousculer les habitudes du siège de l’Union Européenne à Bruxelles. Une première pour un pays fondateur de l’UE. Le décryptage de Jacques Sapir, économiste, spécialiste des questions monétaires et auteur de nombreux ouvrages, dont Souveraineté, démocratie et laïcité, publié chez Michalon et L’Euro contre la France, l’Euro contre l’Europe, aux éditions du Cerf :

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  • Droal , 18 juin 2018 @ 13 h 03 min

    Sommes toutes, la Génération de 68, au pouvoir depuis un demi-siècle, a fêté sa Grande Victoire sur De gaulle avec une discrétion que l’on pourrait qualifier de « discrétion de violette ».

    On peut penser que tous ces braves gens veulent rester dans la grande humilité qui les caractérise.

    Pour lors, le Mannequin à Jacques serre partout les boulons avec son inaltérable sourire de grand €uropéen qui est tellement con à force d’être intelligent qu’on se demande comment c’est possible…

    Donc, 20 siècles d’Histoire qui n’ont pas eu lieu et un peuple européen blanc ayant épuisé 3 régimes qui n’a jamais existé, n’existe pas et n’existera jamais…

    Si la France a disparu, il y a 50 ans, c’est maintenant le cher Ouestschengen de la Génération de référence, qui se décompose de plus en plus rapidement et ce n’est pas le « Règne » des partis de croisière qui va changer quoi que ce soit…

    Le peuple €uropéen, c’est comme le peuple mondial, ça n’existe que dans la tête des Fous de Bruxelles et nulle part ailleurs.

    Un scoop : l’eau n’est pas sèche, le feu n’est pas mouillé.

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