Gilets jaunes : la convergence entre les chefs d’entreprise et les salariés pourrait prolonger le mouvement

3 Comments

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  jejomau , 18 novembre 2018 @ 9 h 33 min

  Attention à Macron : il est bien possible qu’il veuille laisser pourrir le mouvement et que, à l’istar de l’affaire Benanlla qui a révélé l’existence de barbouzes, ce mouvement soit infiltré, que des drames se produisent… et que, comme par hasard, le Macron prenne la décision d’interdire un parti (suivez mon regard) qui serait jugé cause du désordre pour les élections européennes… Ou autre chose encore qui verrait de toute façon des pseudo-populistes interdits de voter…
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  betsynette , 19 novembre 2018 @ 12 h 16 min

  J’ai 78 ans, je tiens avec les gilets jaunes, ce qui a été dommage , ce sont les dernières élections ou un qui dame qui mangeait à la gamelle des socialistes, s’est entouré de quelques bobos venant de nulle part et qui voulaient partager cette nouvelle gamelle, tous incapables sauf de voter des …..taxes…..encore …..des taxes,ce matin sur une chaîne une blonde, disait tout le mal qu’elle pensait des Français, mais elle reste attachée à la gamelle, car c’est ces personnes qu’on lèsent pour la faire jouir,sur la 23, une autre blonde……je suis blonde ou j’étais…….disait du mal des gilets jaunes car qu’elques gogos parlaient mal……et pendant ce temps ali baba et ses quarantes voleurs se demandaient comment encore puiser dans les poches des Travailleurs, pas de solutions, ils bouchent les trous qu’ils ont fait, ils s’en moque que les Français soient malheureux, eux jouissent comme des goinfres, pauvres ….RIENS……qui vivent sur le dos de personnes …..BIENS……car ceux qui rapportent de l’argent, ce ne sont pas cette classe méprisante , incapable, et qui ne mérite que le vrai……mépris…….de nos vaillants Français, les bobos ce n’est que de la M..de.
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  sonja , 19 novembre 2018 @ 16 h 16 min

  Il semble que Macron et ses médiocres ministres et ses insignifiants députés, ne comprennent pas ce mouvement. Les lobbys sont là pour les « driver ».
  Oui, la coupe est pleine et la hausse de l’énergie a fait déborder le vase du possible. MAIS, c’est l’accumulation de ses erreurs depuis son élection par défaut (24%), qui amène à la saturation: ses insultes régulières des français à chacun de ses déplacements en France, en Europe et à l’étranger.
  Pendant sa campagne déjà il dénigrait notre culture !!! Puis contre le Gl De VILLIERS. C’était le début du piétinement de Sa Fonction et il continue à affaiblir les fonctions régaliennes de l’Etat…
  Sans conscience de notre faiblesse quant à nos services publics délabrés, la nécessité d’étoffer nos hôpitaux et le personnel se trouvant en péril face aux besoins grandissants. Et ce n’est pas avec la médecine en ligne que les patients seront mieux soignés.
  Il a un mépris de la condition humaine que l’on n’imaginait pas revenir depuis 2 siècles : Balzac, Zola, Hugo…
  Il se prend pour le roi et des courtisans sans cervelles sont nommés sans cohérence ni capacité de restaurer l’admiration pour notre pays afin d’’y réintroduire les investisseurs.
  Il s’attelle à ruiner ce qu’il restait de notre souveraineté; en cela, c’est bien le jouet d’Attali, de Soros et de la sphère des destructeurs des classes moyennes et supérieures. Il humilie ceux qui ont fait des études et éduqué leurs enfants dans le respect de nos anciens et du patrimoine culturel et terrien acquis.
  Il a l’arrogance des lâches, installé dans l’hubris, le copinage malsain, autiste et flagorneur, il dit et décide sans réfléchir au long terme. Il affirme son satisfecit avec une hypertrophie du MOI pathologique: qui lui a donné le nom de Jupiter? Persévérant dans ses erreurs, il essaie de détourner l’attention du peuple par des déplacements qui n’intéressent personne.
  Il y a des solutions simples qu’il refuse d’appliquer à cause des promesses qu’il a engagées pour être « élu », il sait pourtant qu’un minimum d’inscrits ont voté pour lui et pas ceux qui sont désignés par les journalistes. Pas les anciens ni les jeunes ni les travailleurs, mais les bobos gauchistes aisés sans scrupules ni empathie sinon leur nombril et le court terme.
  Simplement et pour notre survie et la refonte du pays, il faut sortir du court terme: c’est urgentissime. Nous sommes déjà dans la dissolution mondiale et l’uniformisation fatale… Le monde macronien est binaire : il y a ceux qui réussissent et d’autres qui ne sont rien. et ce sentiment de supériorité, invité à la discrétion dans une République qui fait de l’égalité l’un de ses trois piliers, semble correspondre à ce que Freud appelle le « retour du refoulé ». Le Président sait très bien qu’il n’a pas le droit d’écraser de son mépris les alcooliques du nord, les illettrées et mafieux de Bretagne, les « sans-costumes », et pourtant, comme si son inconscient brimé se réveillait, le trait jaillit, la main balaie avec arrogance ce peuple qui « déteste les réformes ». Où va-t-il ? Où allons nous avec lui ? Un processus européen piloté d’un pôle bruxellois sans souveraineté et qui ne peut nous empêcher de repenser a cette question du Général de Gaulle : « mais qui est le vrai fédérateur derrière tout ça ? ».

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