Qwant : les dessous cachés de la Start Up Nation (ENQUÊTE)

Ce devait être le fleuron de la French Tech, l’une des promesses les plus ambitieuses de la start-up nation : Qwant, le moteur de recherche français dédié au respect de la vie privée de ses utilisateurs, qui promettait de mener le combat contre les géants de la Silicon Valley au nom de la « souveraineté » technologique. Subvention de plus de 20 millions d’euros, obligation de l’installer dans chaque administration, actionnaires sulfureux et ramifications troubles… Enquête au cœur de la start-up nation :

> l’enquête complète

Source : Le Média

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  • Pierre Dorion , 23 mai 2020 @ 17 h 11 min

    Les bêtises qu’on dit pour s’accaparer les fonds publics. Qwant c’est peut-être anonyme, mais pas tellement francophone.
    Qwant s’est inspiré du clavier anglais “qwerty” au lieu de “azerty”. Le vocabulaire tout à l’anglais de l’interface de Qwant ne fait qu’imiter ceux qu’on pointe du doigt : Masq by Qwant, Qwant School, Lite.qwant, “music”, “maps”…

    On peut bien nous vendre la navigation anonyme sur le Net, mais le cocorico français passe de travers.
    Qwant nous informe dans ses “modalités” : “Qwant utilise ainsi différentes interfaces de programmation telles que celles de Microsoft Bing, Twitter, YouTube, ou iTunes.” Même si mon serveur est situé au Québec, les algorythmes font que les résultats passent parfois tout à l’anglais, même pour les nouvelles de France !

    Je préfère utiliser un service en français et qu’on me suive partout.
    Les 20 millions investis par l’État français, c’est cher payé pour désactiver la fonction “suivre”.
    La première qualité de Qwant : des bons vendeurs assoiffés de fonds publics.

    Y a-t-il d’autres étudiants du secondaire qui voudraient nous proposer un engin de recherche francophone ? L’anonymat n’est pas important, on a qu’à “turn la switch à off” comme dirait M. Qwant.

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