Ivan Rioufol : « Le multiculturalisme, c’est la guerre »

Ivan Rioufol sur le nouveau gouvernement italien Salvini-Di Maio : « Je comprends le désarroi de Laurent Joffrin (Libération) car c’est tout un monde qui s’effondre devant lui (…) C’est le réveil des peuples et des frontières (…) Le malaise italien c’est l’immigration et la place de l’islam. »

Source : CNEWS, samedi 19 mai 2018, 19h25

Related Articles

3 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • COLMAR , 20 mai 2018 @ 22 h 51 min

    Ach, Joffrin z’appelle Mouchard, fils de son père grand ami de Jean-Marie. Quant à Rioufol, il est bien gentil mais le Figaro est toujours bien dans les clous de la bien pensance.

  • Droal , 21 mai 2018 @ 15 h 11 min

    Le “vivre-ensemble”, c’est le vivre ensemble dans SA communauté.

    Qui se ressemble, s’assemble.

    Je vis depuis 26 ans à coté de deux communautés, la Communauté musulmane et la Communauté socialiste. Je ne vis pas ensemble, mais à côté de deux communautés dont les membres vivent ensemble à l’intérieur de leur communauté. Depuis 26 ans je vis ensemble dans ma Communauté de 2 personnes : moi et Droal.

    Mais il y en a aussi qui vivent tout seul. Cela s’appelle le vivre-tout-seul qui coexistent avec le mourir-tout-seul (dans le cas où le déséquilibré après avoir crié “Allah Akbar !” – qui signifie, en français, “Christ est ressuscité!” – n’est pas abattu par les organisateurs du génocide).

    Dans certains cas, il y a aussi le mourir-ensemble, de type Bataclan (appartenir à la même communauté n’est pas nécessaire). En général, cela arrive quand la police n’intervient pas tout de suite par crainte de faire des erreurs. Et dans ce cas précis, elle n’en a fait aucune.

    Mon frère Bloy, citait souvent la phrase de Blanc de Saint-Bonnet:

    “Tout homme est l’addition de sa race”.

    Toute femme aussi d’ailleurs.

    Et puisque les Républicains savent très bien que l’homme est “un arbre qui marche” dont la race est la racine de sa Mère la Terre et les branches, les racines du Ciel de son Père , les républicains ont tout niqué depuis 1830, avec Mickey, Donald & affiliés.

    Ci-après, le dernier paragraphe du discours de Bayeux que De Gaulle prononça le 16 juin 1946 et dont l’esprit détermina la forme de la Constitution de la 5e République, la République de 1958 :

    “Des Grecs, jadis, demandaient au sage Solon:

    « Quelle est la meilleure Constitution ? »

    Il répondait :

    « Dites-moi, d’abord, pour quel peuple et à quelle époque ? »

    Aujourd’hui, c’est du peuple français et des peuples de l’Union française qu’il s’agit, et à une époque bien dure et bien dangereuse ! Prenons-nous tels que nous sommes. Prenons le siècle comme il est. Nous avons à mener à bien, malgré d’immenses difficultés, une rénovation profonde qui conduise chaque homme et chaque femme de chez nous à plus d’aisance, de sécurité, de joie, et qui nous fasse plus nombreux, plus puissants, plus fraternels. Nous avons à conserver la liberté sauvée avec tant et tant de peine. Nous avons à assurer le destin de la France au milieu de tous les obstacles qui se dressent sur sa route et sur celle de la paix.

    Nous avons à déployer, parmi nos frères les hommes,
    ce dont nous sommes capables,
    pour aider notre pauvre et vieille mère,
    la Terre.

    Soyons assez lucides et assez forts pour nous donner et pour observer des règles de vie nationale qui tendent à nous rassembler quand, sans relâche nous sommes portés à nous diviser contre nous-mêmes ! Toute notre Histoire, c’est l’alternance des immenses douleurs d’un peuple dispersé et des fécondes grandeurs d’une nation libre groupée sous l’égide d’une État fort. »

    C’est clair qu’un mec comme çà devait dégager assez vite, dès juin 1946, et dès il y a exactement 50 ans, à la fin de ce mois.

    Ci-après, le dernier paragraphe du discours de Bayeux que De Gaulle prononça le 16 juin 1946 et dont l’esprit détermina la forme de la Constitution de la 5e République, la République de 1958 :

    “Des Grecs, jadis, demandaient au sage Solon:

    « Quelle est la meilleure Constitution ? »

    Il répondait :

    « Dites-moi, d’abord, pour quel peuple et à quelle époque ? »

    Aujourd’hui, c’est du peuple français et des peuples de l’Union française qu’il s’agit, et à une époque bien dure et bien dangereuse ! Prenons-nous tels que nous sommes. Prenons le siècle comme il est. Nous avons à mener à bien, malgré d’immenses difficultés, une rénovation profonde qui conduise chaque homme et chaque femme de chez nous à plus d’aisance, de sécurité, de joie, et qui nous fasse plus nombreux, plus puissants, plus fraternels. Nous avons à conserver la liberté sauvée avec tant et tant de peine. Nous avons à assurer le destin de la France au milieu de tous les obstacles qui se dressent sur sa route et sur celle de la paix.

    Nous avons à déployer, parmi nos frères les hommes,
    ce dont nous sommes capables,
    pour aider notre pauvre et vieille mère,
    la Terre.

    Soyons assez lucides et assez forts pour nous donner et pour observer des règles de vie nationale qui tendent à nous rassembler quand, sans relâche nous sommes portés à nous diviser contre nous-mêmes ! Toute notre Histoire, c’est l’alternance des immenses douleurs d’un peuple dispersé et des fécondes grandeurs d’une nation libre groupée sous l’égide d’une État fort. »

  • Droal , 21 mai 2018 @ 15 h 15 min

    Veuillez m’excuser pour le doublon, mais ça peut-être lu deux fois, voire plus si affinités.

Comments are closed.