Accusé de propager des fake news, un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés LREM qui souhaitent sa suppression de Twitter. Interrogé par RT France, son fondateur se défend de désinformer l’opinion publique :
Accusé de propager des fake news, un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés LREM qui souhaitent sa suppression de Twitter. Interrogé par RT France, son fondateur se défend de désinformer l’opinion publique :