Un avocat gilet jaune démonte les arguments mensongers d’Emmanuel Macron sur l’ISF (VIDÉO)

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  • Domtoulouse , 29 janvier 2019 @ 9 h 05 min

    A lire d’urgence : les pages de SAint-Simon sur le projet de dîme royale de Vauban : ce grand militaire voulait simplifier les impôts en créant une taxe unique, basse et de large assiette. Si le projet avait été mis en oeuvre, on aurait certainement fait l’économie de la Révolution car l’ancien régime est tombé sur la question des impôts. Le projet de Vauban a échoué précisément parce qu’il y a des parasites (les agioteurs de Saint-Simon) qui profite de la complexité du système fiscal.
    Ce monsieur qui délivre ses sophismes avec un aplomb incroyable est un pur produit de l’agiotage, il ne pense qu’en terme de contrainte administrative, de niche fiscale, d’incitations autoritaires, bref du jacobinisme le plus pur, celui dont la France crève. Instituer l’isf afin de flécher l’investissement ? c’est à dire créer un impôt pour qu’il ne rapporte rien à l’Etat ? C’est pervertir l’impôt régalien que d’en faire d’abord un instrument de politique économique. L’impôt est fait pour financer les missions de l’Etat. Il doit le faire de la façon la plus rationnelle possible et pas en multipliant les exemptions que négocient les lobbies.
    Le noble métier de ce monsieur devait être celui d’avocat fiscaliste, scrutant les trous dans la loi de finance pour permettre aux ex-redevables de l’isf de rafler les niches fiscales diverses et variées. L’utilité économique de ce genre de parasite est certaine …

  • jejomau , 29 janvier 2019 @ 10 h 49 min

    l’ISF est un impôt créé par Miterrand par et pour les socialistes.

    C’est un mauvais impôt par sa philosophie. Maintenant on peut comprendre les Gilets Jaunes qui se braquent sur le mot “fortune” quant, eux, sont plutôt sur la paille!

    Mais c’est un faux débat.

    En vérité, puisqu’on parle de valeurs mobilières (sur quoi porte l’ISF), il faut plutôt chercher à re-créer un petit actionnariat français investi sur des entreprises françaises. Voilà le fond du problème.

    Par exemple, lors de la cession de titres, les plus-values sont soumises au barème progressif de l’impôt sur le revenu… dès le premier euro! Ce n’était pas le cas il y a 20 ans. Ce n’est d’ailleurs pas le cas par exemple en Espagne. Il faudrait que cette imposition se fasse (toujours par exemple) au-delà de 10 000e de plus-value. La Loi pourrait inciter en se focalisant uniquement sur des valeurs sélectionnées d’entreprises nationales ou, dont la majorité de blocage des titres soit détenue en France. Comme les titres sélectionnés dans le cadre d’un PEA. Bref, toutes sortes d’astuces sont possibles. Le principal : c’est de libérer l’argent et d’encourager les petits commerçants et petits patrons d’entreprises à investir… sans être taxé à tire-larigot !

  • Charles , 29 janvier 2019 @ 13 h 45 min

    Attention cet avocat est un mélanchoniste masqué.
    Voir article sur riposte laïque.
    Trop brillant pour être un GJ honnête

    https://www.youtube.com/watch?v=H-lpHvtsSd0

  • Marquais , 29 janvier 2019 @ 19 h 04 min

    Ce jeune homme raconte n’importe quoi de préférence. On Pourrait le reprendre au moins sur une assertion sur deux. En Fait cet ISF est une spoliation à peine masquée qui n’a été inventée par les socialistes que pour faire plaisir à ceux qui ne le payent pas. Soit parce qu’ils sont sous la barre, soit par fraude , soit en quittant la France avec armes et bagages § La vérité est là toute nue et rien ne peut prouver autre chose que cette évidence. Ne parlons pas des toiles de Picasso et autres barbouilleurs que en sont exemptes, ( merci Messieurs les Ministres collectionneurs) et autres babioles, bijoux anciens etc…etc. Non, ne cherchez pas, comme disait Coluche le Grand, c’est pas chez vous

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