Croissance : le gouvernement contraint de revoir son objectif

Selon le ministre de l’Économie, Bruno le Maire, la France n’atteindra pas la barre des 2,3 % de déficit public en 2018. Un revers que le gouvernement justifie par une faible croissance du PIB au second trimestre mais également par la reprise de la dette de la SNCF. Invité du JT de RT France, Mathieu Plane livre son analyse sur la situation :

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3 Comments

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  • Boutté , 30 août 2018 @ 17 h 08 min

    Bien oui ! Quand on autorise la vente à l’étranger de nos perles économique et que l’on chasse les dirigeants capables à coup d’impôts, il ne faut pas s’étonner que le train de la croissance nous passe sous le nez .

  • Melisenda , 6 septembre 2018 @ 12 h 26 min

    En bref, si ce gouvernement de bras cassés n’a pas atteint l’objectif de la croissance, c’est la faute à l’autre et à “à pas de chance”.

    Tout est dit.

  • JB , 7 septembre 2018 @ 15 h 08 min

    Et je me permets d’attirer votre attention au taux du chômage, au taux d’endettement et à la croissance en Hongrie sous le férule de cet horrible, horrible Mr. Orbàn. Il s’avère que les directives européennes dans ces domaine, qui sont inventé et imposé par la France et l’Allemagne, même parmi les peuples qui ont été jetés dans les griffes du socialo-communisme, la Hongrie respecte ces règles bien plus que la France !

    Je vous attire aussi l’attention que les Hongrois ont inventé aussi l’eau chaude, figurativement parlant : L’immigration est un problème ? La solution imbattable, pas immigration de tout. Il m’arrive à penser dans mes heures de faiblesse que les hongrois sont le peuple le plus intelligent au monde !

    Comment font-ils ? Et qu’on ne parle pas de l’aide européenne car les profits faits et sortis annuellement du pays par les entreprises occidentales le dépassent très largement.

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