Gollnisch souligne la drôle d’« innocence » de DSK

“Ce n’est pas parce qu’il était accusé que Dominique Strauss-Kahn était coupable. Mais ce n’est pas parce que Mme Diallo a menti pour se faire admettre aux USA qu’il est innocent !” réagit mardi Bruno Gollnisch au fait que le procureur Cyrus Vance Jr. renonce à poursuivre Dominique Strauss-Kahn. “Faut-il croire qu’il ne s’est donc rien passé ?” fait mine de s’interroger dans un communiqué le député français au Parlement européen. “Je ne conseillerais pas à DSK de raconter ce qui s’est passé dans la chambre. Ce n’était pas un crime, voilà tout” semble lui rétorquer Me Benjamin Brafman, un des avocats de DSK, interrogé dans Le Parisien de mercredi…

“A supposer même que l’ « innocence » de M. Strauss-Kahn se réduise à un « rapport sexuel tarifé », comme le disent ses partisans, cela signifierait au mieux que cet homme marié assouvissait ses instincts en recourant à la prostitution, se mettant, lui et sa fonction, comme la suite l’a prouvé, à la merci du scandale et du chantage” observe l’élu du Front national qui note que, parallèlement, “la plupart des socialistes affectent de condamner la prostitution”

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4 Comments

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  • Mephisto , 24 août 2011 @ 7 h 59 min

    pour une fois je suis entièrement d’accord avec B. Gollnisch et malheureusement cette affaire fera jurisprudence. Les femmes qui auront le courage de porter plainte pour viol se verront rétorquer qu’elles ont “menti” sur leur CV pour être embauchées, qu’elles ont “menti” sur le montant exact de leurs revenus en “gonflant”les frais de garde de leur enfant ettc etc et qu’elles sont par conséquent peu crédibles sur les circonstances de leur viol. Déjà qu’on leur reproche souvent “de l’avoir bien cherché”, d’avoir provoqué”, j’en passe et des meilleures.
    Ce Monsieur sort peut êtr elibre du tribunal, cela n’en fait pas un innocent pour atant et il n’a en aucune façon été “blanchi” comme se plaisent à le répéter journalistes et ses amis du PS.
    Si cet individu avait le culot de se présenter en 2012 (et les gens pourraient être assez stupides pour l’élire) imaginez un peu l’image qu’il véhiculerait à l’étranger lors des conférences internationales alors qu’aux Etats Unis ou au Royaume Uni il serait banni à vie de la vie politique, et surtout qu’elle confiance les chefs d’états étrangers pourraient ils accorder à un menteur et courreur de jupons patenté ?
    Notre pays est déjà à la dérive, il serait définitivement coulé.
    Mais après tout peut-être qu’après cela les Français se réveilleraient et se mettraient à “bosser” au lieu de “glander” à attendre que la CAF et les ASSEDIC fassent tomber la manne sans avoir à se lever le matin.

  • Bedel , 24 août 2011 @ 8 h 07 min

    Le moment est venu de nettoyer les écuries d’Augias et vite !

  • Matabosch , 24 août 2011 @ 8 h 57 min

    Quand le 18 Mai 2011, France Soir publie, dans ses colonnes, des propos surréalistes suivant dire d’un responsable du Parti Socialiste, de surcroît très proche de Dominique Strauss-Kahn : « Les affaires se seraient succédées en France et à l’étranger. La quasi-totalité n’aurait jamais débouché sur le plan médiatique ou judiciaire à l’exception de deux d’entre elles. L’une concernait en France une journaliste et l’autre aux États-Unis une haut fonctionnaire du Fonds Monétaire International. Les autres se seraient déroulées en l’absence totale de la moindre procédure de police ou judiciaire ainsi que de la moindre allusion dans la presse. Elles auraient eu pour victimes plusieurs jeunes femmes, dont des militantes du PS et des Beurettes, selon nos informations émanant de proches, pourtant bienveillants à l’égard de DSK. Toutes ces affaires se seraient réglées à l’amiable entre les parents de ces victimes et des responsables du PS. Ces derniers auraient réussi à calmer, avec beaucoup de difficultés, ces sympathisants socialistes, – certains s’étaient armés d’une hache ou d’un couteau -, les persuadant de ne pas déposer plainte… » ;

    Quand ce même responsable du Parti Socialiste, de surcroît très proche de Dominique Strauss-Kahn, toujours selon France Soir du 18 Mai 2011, déclare : « Depuis plusieurs mois, j’ai demandé que Dominique ne se déplace plus sans être accompagné par deux ou trois gardes du corps. Il ne faut jamais le laisser seul. Non pas pour le défendre contre une quelconque agression, mais je choisis les mots justes, non diffamatoires, pour empêcher mon ami disons… de céder à la complexité de sa vie sexuelle. Cela, bien sûr, dans l’éventualité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2012… » ;

    Quand l’avocat Emmanuel Pierrat a avoué, le 07 Novembre 2008, au Courrier International, « avoir dissuadé plusieurs femmes voulant porter plainte contre Dominique Strauss-Kahn suite à une drague lourde… », le harcèlement sexuel et les tentatives de viol devenant soudainement de la drague lourde. « parce qu’il est trop bien protégé…et que l’opprobre aurait été jeté sur elles par une presse bobo parisienne de gauche aux ordres… », explique « avoir été approché par une femme gravitant dans le milieu politique, qui avait répondu à une annonce censée améliorer sa situation professionnelle. Confrontée à des avances pressantes du politicien, elle a pris la poudre d’escampette avant que les choses ne dégénèrent… » et, recevant Tristane Banon en son cabinet, l’a « dissuadé de porter plainte contre Dominique Strauss-Kahn », bien plus, il en a fait état, reniant la déontologie due à sa charge, auprès des instances socialistes dont le premier secrétaire en était François Hollande entouré par tous les éléphants du parti, la député Aurélie Filippetti vendant la mèche le 19 juillet 2011, au journal Le Monde.fr : « J’ai effectivement entendu parler de cette affaire à l’époque par l’intermédiaire de l’avocat Emmanuel Pierrat, mais je n’ai jamais eu de contact direct avec Tristane Banon…. » ;

    Quand Tristane Banon, dans l’émission de Thierry Ardisson, « 93 Faubourg Saint-Honoré » sur Paris Première, le 5 Février 2007 accuse ouvertement Dominique Strauss-Kahn d’avoir tenté de la violer, sans que l’impliqué ne porte plainte en diffamation, – certes le nom de Dominique Strauss-Kahn a été bipé -, qu’elle précise le lieu du rendez-vous très insolite, « une garçonnière proche de l’Assemblée Nationale, avec pour tout mobilier un grand lit et une télévision… », qu’elle fait un récit très détaillé de la tentative de viol. « La partie interview a duré cinq minutes et demie… », le temps que l’ancien ministre de l’Economie pose sa main sur elle et lui propose de transformer l’entretien en ce que la terminologie du Fonds Monétaire International appellerait une « physical affair », et qu’elle conclue d’un cinglant « J’ai déjà croisé des dragueurs un peu lourds, dit-elle. Mais là, c’était effrayant. Il n’était plus lui-même. » ; quand un journaliste qui a enquêté sur l’affaire relativise : « Il a mis sa main sur sa cuisse, elle a dit non et puis basta… », ce qui n’enlève rien au caractère désagréable de l’expérience d’autant que le psychiatre Paul Bensussan estime qu’une « drague aussi crue peut être très impressionnante lorsqu’elle vient d’un homme public car elle traduit une abolition du sens du risque de la part d’un personnage dont la position exposée devrait lui interdire de tels comportements. » ;

    Quand Thierry Ardisson, dans son émission « 93 Faubourg Saint-Honoré » sur Paris Première, le 5 Février 2007, déclare qu’il connait une douzaine d’amies qui ont été approchées de trop près par Dominique Strauss-Kahn, et dans l’émission de Daniela Lambroso, sur RTL, le 28 Juillet 2011 « Enfin je dirais simplement que tout le monde était évidemment au courant de l’attitude qu’avait Dominique Strauss-Kahn avec les femmes. Et ceux qui disent qu’ils n’étaient pas au courant sont des menteurs…. » et que Yannick Olland, sur l’antenne de Radio Monte Carlo, dans l’émission « Carrément Brunet », révèle des comportements très déplacés de Dominique Strauss-Kahn, dans des avions, auprès d’hôtesses de l’air… et, toujours dans le cadre de dite même émission, une certitude… « Selon le personnel d’air France, Dominique Strauss-Kahn serait un client difficile avec des gestes déplacés au point d’avoir été giflé par une hôtesse de l’air qui aurait porté plainte », vite, voire trop vite, démentie par Air-France et les syndicats d’Air-France car « la justice et les médias étant silencieux à son sujet, qu’elle dévolution a été donnée à cette plainte… ? As-t-elle était classée sans suite ? Des pressions ont-elles été exercées sur l’hôtesse de l’air afin qu’elle soit retirée… ? » ;

    Quand le journaliste Sylvain Besson écrit, dans le journal Le Temps : « Dans le cas de Dominique Strauss-Kahn, le problème semble aller au-delà d’un manque de maîtrise vis-à-vis des femmes. Il a un comportement transgressif, il considère que les règles ne s’appliquent pas à lui, confie une personne qui a travaillé à ses côtés. Ce complexe de maître du monde se serait aggravé après 1999, lorsque Dominique Strauss-Kahn dut démissionner du ministère de l’Économie à cause d’une affaire de financement politique où on lui reprochait une lettre antidatée… » et agrémente son dire par un retour sur l’affaire Piroska Nagy : « Depuis quelques jours, les médias laissent suppurer des allusions à sa gourmandise, – L’Express -, ou à de vieilles histoires, – Le Figaro -, qui circulaient bien avant son arrivée au Fonds Monétaire International, en 2007. L’intéressé a réagi en promettant de poursuivre en justice ceux qui relaieraient des rumeurs malveillantes sur son compte. De quoi s’agit-il ? Pour l’essentiel, de témoignages montrant que le dérapage de Dominique Strauss-Kahn au Fonds Monétaire International était programmé. La faute à un comportement pesant, presque obsessionnel envers les femmes, que le contexte permissif du milieu politique français a sans doute encouragé… », des révélations que corrobore Christophe Deloire, directeur du Centre de formation des journalistes à Paris et coauteur du best-seller Sexus Politicus, « Les raisons en sont à la fois historiques et philosophiques. En France, depuis les favorites royales, on considère que la conquête des femmes est un attribut du pouvoir… Les journalistes politiques n’aiment pas évoquer ces sujets, sauf entre eux, parce que la loi française sur la vie privée est très stricte, mais aussi parce que pour certaines journalistes femmes, parler de ces aventures serait parler de leur propre vie privée». Quant aux politiciens, «ils considèrent que c’est leur liberté, et la beauté de la vie… » ;

    Quand Jean-Christophe Cambadélis, député socialiste de Paris et bras droit de Dominique Strauss-Kahn, confie au journaliste Sylvain Besson : « Je ne me crois pas autorisé à faire de la psychanalyse sauvage à propos du directeur du Fonds monétaire international… » et que l’auteur de l’article s’épanchant sur d’autre affaires de mœurs impliquant Dominique Strauss-Kahn, rajoute :« Aurélie Filippetti, aujourd’hui porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, a gardé un mauvais souvenir d’une tentative de drague très lourde, très appuyée de son camarade de parti. Depuis, je me suis arrangée pour ne pas me retrouver seule avec lui dans un endroit fermé, explique-t-elle. D’autres témoignages décrivent toujours le même comportement : une sollicitation immédiate, insistante et directe, suivie de coups de téléphone et d’envois de SMS qui peuvent durer des jours. Mais les médias français observent un silence presque absolu sur ces pratiques. »

    Quand… Quand… Quand… Quand…. des pages entières publiées dans les médias, principalement étrangers, – les médias français, cupidement, pratiquant l’omertà-, pourraient ainsi être recensées et répertoriées sur les « frasques », les « dragues lourdes » et la « complexité de la vie sexuelle » de Dominique Strauss-Kahn… Quand… Quand… Quand… Quand…. Oui mais… ! Si le personnage n’était qu’un citoyen lambda, face à un tel déversement d’accusations, à une telle avalanche d’obstructions à la justice, à un tel parangon de déni de la bienséance humaine et d’injustices flagrantes, les services sociaux, depuis des lustres, auraient pris le mors aux dents afin qu’un « prédateur sexuel » et qu’un « ennemi public N° 1 », l’opprobre des médias s’abattant sur lui, soit mis hors d’état de continuer à nuire. L’affaire aurait été confiée à la police des mœurs… Le citoyen lambda et ses complices seraient considérés « présumés coupables », non « présumés innocents » et un procès retentissant, avec une pléiade d’inculpations et de mises en détention, aurait été diligenté afin que justice soit faite et que dignité soit rendue aux victimes…

    Bien non… ! Le personnage en question a nom « Dominique Strauss-Kahn » et, à titre de membre du parti Socialiste, « d’éléphant de ce parti » notoirement connu, surtout dans le cadre d’une « foulitude » d’affaires politico-financières crapuleuses toutes sanctionnées par des « non-lieux », des « relaxes », des « blanchiments » et des « dossiers et des plaintes classées sans suite », à titre d’ancien ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur dans les gouvernements Édith Cresson et Pierre Bérégovoy et d’ancien ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie du gouvernement Lionel Jospin, et à titre de Directeur général du Fonds Monétaire International, il a droit à tous les égards d’une justice plus que bienveillante à son encontre. De fait, tout le système judiciaire français, n’instruisant pas des plaintes, acceptant que les membres du bureau politique du Parti Socialiste et un avocat inscrit au barreau fassent obstruction à la justice en toute impunité en dissuadant les victimes à déposer plainte, acceptant que les membres du bureau politique du Parti Socialiste proposent des arrangements en compensation pour étouffer les affaires, acceptant que les membres du bureau politique du Parti Socialiste par des moyens probablement illégaux, – Céline Dupont n’a-t-elle point écrit : « Madame Banon mère a oublié de dire qu’elle a monnayé son silence auprès de responsables du Parti Socialiste. Un poste intéressant lui a été donné… » -, achètent le silence des victimes ou de leurs proches…, se rend ainsi complice « d’un prédateur sexuel. »

    Et, par cela, la justice française se refusant à faire appliquer la loi à l’encontre de Dominique Strauss-Kahn, ouvre grande les portes « vers plus d’abus et de perdition » à l’oligarchie française dont elle fait partie intégrante, et elle avalise et « légitimise le droit de cuissage, le droit de jambage, le droit de quitage, l’usage de la position d’autorité pour commettre des abus sexuels, etc, etc, etc. »

    Pauvre justice soi-disant indépendante et pauvre France, – dès communes au sommet de l’Etat en passant  par les Conseils généraux, les Conseils Régionaux et les structures annexes multiples de types succursales… -, gérée et gouvernée par des dépravés… Et dire que nos ancêtres ont fait la Révolution de 1789 pour « s’arracher aux affres de la monarchie… »

  • champoiseau , 25 août 2011 @ 18 h 44 min

    N’y a-t-il pas une loi pour les violeurs multi-récidivistes? Et dire qu’on a évincé les preuves apportées par l’avocat de Nafissatou Diallo au vu de mensonges qu’elle aurait proférés il y a des années alors que straus kaka a menti effrontément disant qu’il ne l’avait pas violée puis que finalement il se l’était “envoyée” mais qu’elle était consentante!!!!!!!!. A vomir! Que ce soit aux usa ou en France où l’attendent ses”copains” en pleurnichant c’est la même pourriture relayée par les “merdia”!

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